Le début d'une équipe

La retour de la gentillesse de l'ange Eidan

L'aube avait à peine sorti son nez de son royaume, que j'étais déjà éveillé. Une autre journée de plus où cette épidémie enlèverait des âmes du fil du destin de leurs utilisateurs. L'ange, par miséricorde, me gardait sain de toute impureté pour le moment. Je lui avais donc dédié, ainsi qu'à ma mère, la volonté de devenir plus fort. Comme chaque matin, sous la pluie, les exercices s'enchaînaient. C'était une condition selon mon grand-père. Selon mes grands-pères, il paraît. Je ne connaissais malheureusement pas trop ma famille maternelle. Ils avaient coupés les ponts tenant le clan responsable de la mort de celle qui me donna naissance. Je ne pouvais que les comprendre, mon père en était responsable et une partie de la vengeance, accomplie depuis longtemps.

A force de faire des exercices, je ne vis pas l'heure passée. Lorsque je sortis de ma transe, je pus constater qu'il ne me restait que 10 minutes pour être ponctuel à mon rendez-vous.

M'habillant rapidement, je m'élançai vers la sortie devant les regards incrédules de mes compatriotes que j'ai maudits durant des années, qui n'avaient pas l'habitude de me voir si joyeux. Arrivé devant la porte, je heurtai quelqu'un. Ces vêtements traditionnels, cette moustache, cette ancienne paire de lunettes. Devant moi se trouvait Esuke-san ou Esuke sensei, bref mon grand-père.

Celui-ci, surprit par tant d’enthousiasme, me questionna :

« - Eidan, mon garçon, où cours-tu comme cela ? Tu sais bien qu'il est dangereux ces temps-ci de se promener ainsi sans protection avec l'infection virale qui sévit dans les environs.

- Ne t'en fais pas Esuke-sensei, je n'irais pas sans oublier mon masque. D'ailleurs, tu pourrais m'en donner un autre, lui répondis-je.

- Pourquoi ? Explique toi de suite, dit-il sur une mine un peu sévère

Quel idiot…. Je lui ai fait penser que j'avais détruit le mien, pensais-je

- Ne t'en fais pas, grand-père. C'est pour un nouvel ami qui est genin comme moi. On doit s'entraîner ensemble.

- Tu devrais porter un peu le deuil de tes deux sœurs et du reste du clan. Deux vénérables anciens ont été victimes de ce terrible accident. Tiens prend celui-ci, j'irais me chercher un autre dans la remise, dit-il, en me tendant un masque qu'il avait sorti de son sac shinobi.


- Je te le répète une fois de plus, je ne vais pas m'habiller en blanc pour des gamines qui ne sont pas de ma famille. Ton fils non plus n'est pas mon père. Tu es le seul qui a tenu à me garder et à m'élever. Le clan m'a toujours mis à l'écart jusqu’à ce que je prouve mon pouvoir. Désormais, Cher Grand-père, je m'ouvre à ce monde au lieu de rester fermer comme vous tous à vos traditions, traditions qui nous ont affaiblies. Je fais désormais mes propres choix et j'ai décidé de m'allier avec d'autres pour le bien de Kiri. Donc, je te dis à ce soir, je rejoins mon ami. »

Sans plus de cérémonie, je sortis du domaine et m'élançai vers l'académie à toute vitesse. Je n'allais pas témoigner de respect à des gens qui m'ont fait vivre dans l'obscurité toute ma vie. De surcroît encore plus si j'étais l'auteur de ces assassinats.
Merde, je suis déjà en retard de dix minutes, je prendrais donc un raccourci. Formant deux mudra :

Hikariton : Kara no Henka.

Une aura de photons m'entoura et je pus aller plus vite même si mon champ de vision venait de diminuer.
Le trajet fut express. Je me posais en équilibre sur le toit de l'académie. Je désactivais mon jutsu.

Le jeune Kaguya, dans la tenue sûrement clanique des Kaguya, il m'attendait dans son éternelle pose blasée, adossé à un mur de l'aire d'entraînement. Hors de question de le faire attendre, je me déplacer à côté de lui. Dans un sourire que je voulais amicale, je sortis en levant ma main en signe d'accueil :

« Salut Fubuki, ça va mon vieux, désolé pour le retard. »

Je me rendais vers le point de rendez-vous qu'on a posés hier soir, à l'aire d'entraînement, je le voyais depuis le perchoir où j'étais il y a 5 minutes, il était 8h45.

Depuis là où je suis maintenant, je pense que je vais arriver au camp d'entrainement dans 7 minutes, je serais en vacance de 8 minutes, sa passe.

Quand j'arriva à l'aire d'entraînement, il n'y avait personne, j'allais attendre donc ,


Sa fait déjà 9 minutes qu'il est en retard, il est pas très ponctuelle on dirait !

Bon, je vais aller le cher...

Quand j'entendi :

Salut Fubuki, ça va mon vieux, désolé pour le retard.

Sa va, moi aussi,'si j'avais pas été impassiant, j'aurais été en retard !

Je leva la main et dit :

Yo Eidan, sa va, et toi, pas grave pour le retard

«  Yo Eidan, ça va, pas grave pour le retard. »






Ouf, il ne semblait pas offusqué par mon retard. Levant mon regard vers mon domaine, je pus voir que Zeus faisait encore des siennes. Un ciel pourtant si magnifique se retrouvait d'une couleur, dépourvue de saveur et d'immenses lances électromagnétiques le traversant. Un temps pourri habituel à Kiri.
Il était temps selon mes propres estimations de mes qualités pour apprendre une technique. La pique du scorpion, le fer de lance des Kinbara. Durant des générations, la famille avait créé leur propre version du Gian pour cet art divin qui coulait aujourd'hui dans mes veines. Un jutsu célèbre et efficace du Désert, un endroit sec et aride qui couvrait tel un manteau le village de Sunagakure no Sato. Etant né dans les générations kirièennes du clan, il m'était arrivé de me demander qu'elle serait ma vie si j'existais dans l'age d'or de Suna.
Repoussant ses pensées au loin dans mon esprit, en parfaite synchronisation, mes mains repoussèrent aussi mes cheveux.
Mes yeux marrons se plongèrent dans ceux du Kaguya. Le clan Kaguya, je connaissais ce nom dans mes manuels d'histoire mais la signification m'échappait, comme si Thot lui-même bloquait ma connaissance. Après mon apprentissage, je devrais lui demander de me conter un peu l'histoire de son clan.

«  Je suis désolé, j'ai été retenu par un des anciens du clan. Des crises passagères ont acculés certaines membres du clan. Une petite paranoïa règne. Mais ne t'inquiète pas, personne ne peux me priver de sortie. Je tenais à te dire qu'aujourd'hui je teste une technique emblématique de mon clan. Elle est assez dangereuse. Ensuite, j'aimerais que tu me contes un peu ton histoire et celle de ton clan. Sinon, que vas-tu apprendre aujourd'hui ? »

Ces paroles étaient sortis de ma bouche. Vu son comportement, le direct restait la meilleure stratégie. Cependant je savais qu'il y avait une contrepartie dans cette question : l'obligation de révéler quelques informations pour moi-même. Toutefois, un allié avait droit à quelques privilèges.

En attendant la réponse du jeune demi-albinos, je retirais mon blouson et mon manche longue me retrouvant ainsi buste tenu. C'était une habitude, le genre de comportement qui voyage dans le sang sur des générations. Peuple du soleil et de la chaleur du Pays du vent, les sensei demandaient toujours à leurs pupilles de se mettre torse nu afin de mieux sentir la lumière les photons la constituant, le pouvoir irradiant, pouvoir dont nous avions le secret génétique.



J'espérais qu'il répondrait rapidement, car mon esprit commençait à entrer dans ce mode sérieux qui favorisait l'entrainement et la mémorisation des portes sceaux du chakra, autrement dit les mudras.

Je suis désolé, j'ai été retenu par un des anciens du clan. Des crises passagères ont acculés certaines membres du clan. Une petite paranoïa règne. Mais ne t'inquiète pas, personne ne peux me priver de sortie. Je tenais à te dire qu'aujourd'hui je teste une technique emblématique de mon clan. Elle est assez dangereuse. Ensuite, j'aimerais que tu me contes un peu ton histoire et celle de ton clan. Sinon, que vas-tu apprendre aujourd'hui ?

Un ancien du clan, okay. J'espère qu'il va pas me mètre en poussieres avec sa technique. Que je contre l'histoire de mon clan ? Je le connais pas bien.

Moi je voulais apprendre Hessedan, une technique de projection, en gros j'envoie mes phalanges à une vitesse dépassant la vitesse du son. Mais je ne l'ai jam...

Qu'est ce qu'il fait là ?

Il commençait à se mètre torse nu !

Bon, c'est un peu bizzare, mais c'est peut-êtreune tradition, mais je vois à ces yeux qu'il se concentre. Haha,,moi aussi alors...

J'enlevais la tenue qui couvraient tous mon corps, un kimono seul couvraient mon corps en dessous, on voyait juste au niveau du coup jusqu'au bas des poumons mon torse un peu musclés et je me préparé.

L'apprentissage de la Technique

Fubuki me paraissait perdu dans ses pensées. Il me parla d'une technique nommée Hessendan, une technique propre au Kekkai Genkai des Kaguya. D'après ses dires, elle consistait en un lancer de projectiles. Projectiles de nature osseuse, en soit, de simples phalanges.
Cependant un jutsu ninja possède toujours sa part de danger. Il avait cité la vitesse du son. Une technique donc basé sur une rapidité d'exécution implacable.

Je voyais déjà un moyen d'allier cette technique aux miennes lors d'un combat. Mais aussi, un moyen de l'utiliser contre lui. J'avais beau avoir changé de mentalité, il me restait une part d'ombre.
Elle me poussait à la prudence. J'avais de nouveau de la compassion mais ma cruauté me pousserait toujours à éradiquer une menace. Après tout ne disait-on pas couper le mal à la racine ?
Traduction simple pour le guerrier, tuer son adversaire avant qu'il ne vous tue. Même si il était un allié, un ami ou un frère.

Il était donc nécessaire d'apprendre ou d'innover ses jutsus pour demeurer toujours efficace face à une menace.
C'est sous ses pensées que j'entamais le mudra d'exécution de l'Hikariton : le mudra du dragon.
J'absorbais ainsi l'énergie photonique de mon organisme. En accord avec les techniques principales, cette étape représentait une facilité pour n'importe quel guerrier Kinbara. Cependant afin de ne pas trop dépenser notre chakra, nous avions appris à ressentir la lumière de l'astre solaire. Cette addition représentait toute une réserve possible de « gouache dorée » pour achever notre œuvre. Ainsi sous l'impulsion d'une part de notre chakra, la maîtrise de l'Hikariton était née.

Le principe des piques du scorpions était autant semblable à l'illumination qu'au jutsu du manteau de désillusion. Toutefois une difficulté résidait dans cette technique. La concentration de photons devait s'extraire de mon organisme en un point.

Réalisant les mudras, j'activais la technique. Je le sentais, le pouvoir jaillir de mon corps mais je devais le contrôler et l'amener en un seul flux. Je fus laborieux mais en ouvrant mes yeux, je le vis.
C'était infime, mais un faible faisceau laser de lumière était parti de ma main droite.

Casse-tête, je pouvais doser le niveau de puissance du laser. Mais, la précision était toute autre.

Après deux nouveaux essais, la fatigue commençait à se faire sentir. Un instant, je détournais mon regard vers Fubuki. Le jeune homme semblait exténué tout comme moi. Une chose me frappa, un intense feu de détermination dansait dans ses yeux. Il était donc aussi déterminé que moi à embrasser le chemin de la puissance.
Il me poussait au défi, la pique du scorpion comptera parfaitement à mon palmarès avant que lui est achevé sa technique.

Je me remis donc au travail avec plus d'entrain. Je devais réfléchir au fait que je ne parvenais point à cadrer mon tir sur le mannequin en paille qui me faisait l'affront de rester indemne.
Je t'aurais, sale épouvantail. La précision demeurait compliqué car le faisceau d'énergie répartie dans mon laser était encore assez exténuant à tenir dans une direction. Cependant, le seigneur Light lui même prenait d'après mes souvenirs de ce rêve étrange comme des êtres qui se plient sous la volonté.
La haine et la domination étaient peut-être nécessaires à l'achèvement de cette technique. Ces deux sentiments ne collaboraient que dans un seul domaine : la survie ou l'envie de tuer.
Me remettant pleinement dans une méditation partielle, je me connectai au monde spirituel des photons. Je les ressentais en tant qu'entités, en tant que particules doués d'une vie différente de la mienne.
La vérité tel le Saint-esprit me frappa. Désormais je pourrais apprendre toutes mes techniques ultra facilement. L'envie de tuer, de faire souffrir,donnait la motivation à l'organisme de se surpasser mais si je voulais plier cette énergie à mon commandement, un pacte avec les photons était essentiel.
C'est que ma mère voudrait, que je fasse preuve de confiance envers mon meilleur ami,mon pouvoir et Light lui serait content de mes progrès même si je ne sais toujours pas qui il est.

Je repris pied dans la réalité, je me tournais vers Fubuki.

Désolé, mon pote. Mais je dois vérifier ma théorie. Au pire, tu seras un bon ami de perdu. Mais il n'est pas question d'échouer. La pique du scorpion majestueux que je suis détruira ce mur adjacent et non le corps de mon jeune ami.

Ce que j'allais accomplir allait dépasser n'importe lequel des Kinbara au temps de leur service en tant que genin. La pique du scorpion serait maîtriser en une journée au lieu des deux habituelles pour l'apprentissage de la dimension du faisceau que je comptais faire. Pour augmenter le diamètre, il me faudrait plus de pratique.

Toujours dans la direction de Fubuki, les mudras déjà appliqué, je levais ma main en direction d'un point élevé par rapport à son crane.
J'ouvris la porte à la haine et ayant une dernière pensée pour les photons :

« Photon, mon plus fidèle allié, prête-moi ta force pour que je puisse libérer mon potentiel. Aujourd'hui et maintenant, par ta volonté, le scorpion piquera sa proie.

Hikariton : la pique du scorpion

. »


L'énergie déborda de mon corps et je ne pus que répondre à l'appel des fées, de la transe dans laquelle la lumière et moi ne faisions plus qu'un.

Il commence à se concentre, à faire un mudra, puis un mini faisceaux de laser se précipita sur le mannequin, mais passait à côté de lui, je pouffa un peu de rire, mais je me déconcentré.

Allait, je vais réussir

Je mettrais un peu de chakra vers le milieu de mes doigts, la formidable énergie de chakra serait assez puissante, pensai je, mais je me trompai, les projectiles avançait à faible allure pendant 2 pauvres mètres et retombèrent.

Bon, là j'allais mètre peu plus de puissance, et deux fois de suite, elle retombèrent au pied du mannequin, sa avait pas l'air mais s'était fatiguant, puis je senties le regard d'Eidan sur moi, je commença à tourner ma tête et je vis qu'il fit les mudras de sa technique et tendis sa main vers moi, et un rayon se dirigea vers moi, plutôt le dessinée ma tête, je me baissé et esquive d'assez gros rayon de peu, et je dit, d'un air calme :
Moi' je suis pas un mannequin, je points un mannequin, et je dit d'un air un peu moqueur, sa s'est un mannequin !

La transe se perpétuait, mon corps parsemé d'énergie. Le chakra s'écoulait comme une rivière irriguant chaque morceau de mon corps.
Ce chakra se déversa en un point avant d'être converti en lumière. Les photons serait mon bateau, moi, j'en serais l'Amiral. Le laser partit sans s'attarder sur les détails du paysage. Je ne connais pas la situation de l'esprit de Fubuki, mais je vécu ce moment au ralenti. Le temps semblait s'être arrêté autour de moi. Seul le laser bougeait dans cet univers spatio-temporel. Il se dirigea pile sur la cible que je lui avais donné. Je dois avouer que je suis suffisamment soulagé pour me sentir moins coupable. Fubuki était hors de danger.

Assez vivant d'ailleurs pour faire une blague.

" Moi, je suis pas un mannequin, je suis point un mannequin, ça c'est un mannequin!!!, me dit-il d'un air moqueur en me montrant les mauvaises répliques de pailles d'un corps humain."



Cependant, je n'avais pas la tête concentrée sur ces dires. Ce qui m'intéressait, c'était le fait que j'avais réussi ma technique. Ma pique demeurait assez faible, mais le principe de trajectoire, désormais acquis.

Ayant fini la partie difficile de mon entraînement, je me concentrai de nouveau sur la pratique de mon allié.
Le jeune semblait concentré mais une légère déception marbrait son visage. Je compris très vite pourquoi. Sa technique de projectile n'atteignait pas le mannequin de combat. C'était le moment du test : Resterait-il bloqué par l'échec, abandonnant comme un lâche ou possède-t-il le fichu courage d'un guerrier pour se relever et persévérer ?

En soit, j'allais tester sa dignité. Kiri n'était pas un endroit pour les faibles, nous étions des résistants. Les tempêtes, futile. Les grandes marées, un jeu d'enfant. La nature elle-même tremblait devant nous. De ce fait, notre mental représentait la meilleure des armes. Un mental de lâche, et vous vous faisiez bouffés par la vie. Un homme défaitiste dans sa tête ne pouvait être un guerrier, car un guerrier ayant dans son esprit l'ombre de la mort, activait son pouvoir. Une mort totalement indigne.

Fubuki, fais-tu parti des puissants ou fais-tu parti des larbins ?

Tel était la question, et Dieu m'avait accrédité à apporter son jugement en son nom.

" Je voulais juste tester une théorie, Fubuki. Le succès est mien. Et ta technique, elle avance ?"

Oui, un Kinbara ne s'excuse pas. Je n'allais point faire un affront en détruisant ce principe juste pour un ami.

Bon, j'ai encore appris un truc sur lui, il n'aime pas les blagues apparament !!!

Il n'avait pas non plus l'intention de s'excuset, encore moins de ne pas le refaire ! Encore une personne un peu psycopathe, j'en rencontré plain en ce moment.
Puis il me dit, d'un air provocateur :

Je voulais juste tester une théorie, Fubuki. Le succès est mien. Et ta technique, elle avance ?

Bon, j'allais lui montrer, fallait pas ce foirer sur ce coup là.

Ben oui, regarde

Je pointais mon doigt en mode pistolet vers la tête du mannequin, je lança quasiment tous le chakra restant dans mes réserves, puis ma phalanges sorti de mon doigts, fonca vers le mannequin, puis, c'est dingue, je vois au ralenti ! Et il dit un trou dément dans la tête, et je regarda Eidan en disant :

Alors ?

Le jeune homme me regarda un peu bizarrement comme si il me jaugeait. Ayant sûrement la réponse à sa question silencieuse, Fubuki se retourna vers son mannequin. Une main fut levé, un esprit fut mis à l'épreuve.
Je me demande si j'avais un talent sensoriel, me confirait-il la vision du schéma du chakra qui se produisait lors d'une technique. Car c'était un grand instant, du moins petit, mais grand pour nous des genin pratiquant leurs quelques jutsu.

De sa main, des œuvres magnifiques en sortirent. L'élément qui reliait nos muscles, qui activaient nos muscles, avaient une autre utilité pour cet être. Les phalanges partirent telles des flèches, sifflant dans le vent avant de transpercer complètement la tête du mannequin.
Fubuki brillait d'une dignité noble. D'un sourire que je trouvai extrêmement arrogant, il me sortit :

« Alors ? »

Il me défiait, ce petit. Tiens, je ne lui avais jamais demander son âge. En soit, cela n'avait aucune importance. Il était courageux et possédait la fougue nécessaire à mes plans.

La pluie s'était arrêtée un instant. Ahh...les rayons du Soleil...si bons. L'être aux cheveux d'or que je suis, il retrouvait enfin son habitat naturel.
Je m'avançai dans sa direction et posa ma main sur son épaule. Je n'en avais que faire de son accord ou non, j'étais un manieur de Lumière, il me devait le respect.

«Je vois que la réussite est aussi tienne. Oui, nous sommes sur le chemin vers un idéal meilleur pour le village. On devrait faire suite à notre entraînement d'une mission pour voyager et pratiquer notre devoir hors des frontières. Ben, il ne nous reste plus qu'à améliorer encore nos semblants de techniques. Moi, j'accorde un regard tout particulier à l'excellence. »

Je lâchai son épaule et m'élançai d'un bond dans les airs, le soleil traversant le soleil d'une de ses milles mains. Si je devais tomber réellement amoureux, ce serait de la Déesse Amaterasu, la seule chose pure de ce monde. Les mudra étant déjà établis au préalable, je retentai la pique du scorpion d'une autre position afin de tester de nouveau ma précision, prévision de l'augmentation de la puissance de la technique dévastatrice, en l'honneur de la Déesse du Soleil.
Le scorpion du désert ne rata pas sa proie, l'empoisonnant de son acide phosphorescent au point de faire disparaître son visage indigne et répugnant.

La tête de l'épouvantard gisait en ce moment à mes pieds. Bien sur, je ne m'étais réceptionné sans aucun souci. Peut être avais-je des gènes de félins dans les veines. Je l'espérais fortement, même si c'est peu probable, car le chat possédait un kekkai genkai de renom : les 9 vies.
Peut-être n'étions nous, que des âmes de demi-anges dans ses corps mortels, nos mémoires elles, effacées à chaque début d'existence.

Une question métaphysique qui emplissait souvent ma conscience. Cependant j'avais ce pouvoir, et donc je devais l'utiliser avec excellence. Pour Kiri, je brûlerais de mes flammes sacrées tous les infidèles, tous les Sodome et Gomorrhe qui voulaient menacer mon pays.

L'ère nouvelle est arrivée. J'espère de toute mon âme et de tout mon chakra, réaliser cet idéal avec l'aide de Fubuki et des autres.

Tel Aro Volturi, je rechercherais les talents et nous monterions une alliance dans notre village.

Tiens dans mon délire, je l'avais oublié. Après tout, j'attendais sa réponse même si j'avais déjà pris la liberté de poursuivre mon entraînement.

Bon, moi j'ai quasiment plus de chakra, je vais proposer une petite pause ... Mais sa technique est impressionnante, qui gagnerait entre lui et moi !

J'allais lui demander quand il pris mon épaule et dit :

Je vois que la réussite est aussi tienne. Oui, nous sommes sur le chemin vers un idéal meilleur pour le village. On devrait faire suite à notre entraînement d'une mission pour voyager et pratiquer notre devoir hors des frontières. Ben, il ne nous reste plus qu'à améliorer encore nos semblants de techniques. Moi, j'accorde un regard tout particulier à l'excellence.

L'excellence, je vais te l'a montrer l'exell...
Quand il retira sa main, bondit, créer sa technique, qui pulvérise de sa lumière performante le cou du mannequin, puis se réceptionné tels un chat.

Tu veux voir de l'excellence, je vais te l'a montrer l'excellence !

Je bondit assez haut, fit des rotation sur moi même en l'air, active ma technique avec le reste de chakra que je lisais, et des projectiles, mes phalanges, sortirent de mes doigts en rafales, et transpercerent 17 fois le mannequin (2 fois sur le bras droit, 1 fois sur la tête, 7 fois sur le torse, 2 sur la jambe droite, 4 fois sur la jambe gauche et 1 fois dans le dos, en faisant un ricocher).

Alors ? Après avoir comtempler ma performance, tu bien manger et te reposer ?

J'avais dis sa avec une pointe d'humour, parce que j'avais déjà posé une nappe, et je sortais de petits beignet avec 4 mochis

Un déjeuner bien mérité

Ah Ah Ah, ce jeune guerrier des os était hilarant. Sa démonstration conservait plutôt un certain style. De mieux en mieux, il m'avais répondu en montrant que son mannequin était plus déchiqueté que le mien. Cet amusement devait se lire dans mes yeux. N'ayant rien trouvé d'autre, je me mis à l'applaudir très discrètement.
Son comportement reflétait sa dignité. Mais il avait le cran, le cran nécessaire qui me permettrait de toujours progresser afin de lui être supérieur. Après tout je restais un céleste dans mon esprit formaté de mythes divins. Un céleste ne faiblissait pas devant un mortel.
Deux jeunes hommes tournés vers l'excellence, deux jeunes hommes représentant le corps et le sang.
Deux êtres miséricordieux envers ceux qui souhaitent profiter de leur jeunesse éclatante, deux bourreaux détruisant tout ceux qui ne suivent pas le droit chemin.
Alliance Kiri, l'organisation que je souhaitais monter comme un puzzle pour mon village. Un puzzle constitué des pièces les plus rares et juvéniles de la Brume.

Tiens cela leur fera les pieds qu'un étranger est monté une team qui assurera leur santé à tous ces bourrins du peuple de l'eau. La grâce d'Apollon amené sur des fils de la mer.

Mais cet idéal demeurait lointain. Survivrais-je pour réaliser ce rêve ? Deviendrais-je l'un des sauveurs du village le plus individualiste du Yuukan en y apportant la paix et la possibilité d'une union ? Ou mourrais-je en essayant ?

Le temps et l'avenir n'étaient pas de mon domaine. Les archanges ne nous avaient point transmis ce don en nous octroyant leur plasma.
Ce qui est de mes actes, c'est que jamais je ne faiblirais avant d'avoir atteint la puissance divine pour mon projet.

Un bruit de tissu, filant sur le doux souffle d’Éole fut porté à mes oreilles. Fubuki avait dressé une nappe et sortait ce que je pensais être des denrées.
Yatta !!!!,Quand je vous dis que ce type est génial !!!

Il a pensé au déjeuner. Mon ventre criait famine depuis déjà quelques minutes. Reprendre des forces ne fait pas de mal surtout que j'avais déjà user une bonne partie de ma réserve de Chakra.

Une belle amitié était né du Hasard, comme la première. Comme quoi, mes lecteurs, votre cher serviteur est béni par les Dieux.

Sans trêve de cérémonie, je répondis avec entrain :

«  Une performance fort de style, je dois bien l'avouer. Avec plaisir vieux, je crevais la dalle depuis un moment. Tu as des ramen ? »

Attendant sa réponse, je pris position regardant avec attention les quelques mets qu'il déposait avec une lenteur non-apprécié par mon ventre, devant mes yeux de morfale.

Oui, sorry. J'en oublie mes bonnes manières. Merci Dieu pour ce bon repas et bon appétit aux lecteurs qui mangent.

Avant que je ne m'asseois, je remarque une once de joie sur son visage.

Ce type n'est vraiment pas méchant, bizarre mais pas méchant.

J'avais des nappes et des denrées culinaires, je sortais mes aliments préférés, des mochis ! Puis un peu de saké, toujours bon le saké, même le matin ! Puis il me demanda avec des yeux, ces yeux !

Une performance fort de style, je dois bien l'avouer. Avec plaisir vieux, je crevais la dalle depuis un moment. Tu as des ramen ?

Lui et les ramène, sa fait des étincelles. Bien sûr, j'ai pensé à tout.

Bien sûr que non !

Et je sortais le bol de nouilles, que j'avais fait moi même.

Bah oui, j'en ai même fait 2 vols, je sais que tu dévore sa en 1 seconde

La Blague avait été de mauvais goût même si en soit les ramens étaient présents. Je remerciai les divinités pour le repas et je commençais à introduire dans ma divine bouche le met raffiné, des nouilles faites par mon ami lui-même. Je ne savais pas qu'il était un passionné de cuisine et de gastronomie.
Passant une serviette sur mon menton pour essuyer la goutte de sauce qui s'y trouvait. Qui avait dis que même lors d'un repas, nous ne pouvions pas être élégant. Mes forces revenaient petit à petit, ces ramens m'avaient requinqués.
L'heure n'était plus à l'entraînement mais à la digestion.  Couché sur le sol, le passe temps favori : regarder le ciel et ses attributs. La connexion entre le Paradis et le monde des mortels m'était ainsi révélée.
Fubuki semblait repu lui  aussi. Je lui avais laissé le temps de souffler mais depuis ce matin, je lui avais demandé l'histoire de son clan, demande qu'il avait omit de toute manière. Mais c'était mal me connaître. Quand Eidan vous questionnait, l'intérêt pour vous c'est de répondre.
Prenant une longue inspiration, les bras croisés derrière ma tête, je murmurai de manière assez forte pour être entendu par mon interlocuteur :

«  Fu, maintenant qu'on est dans un moment de détente et que tu as le temps de parler. J'aimerais vraiment que tu me conte l'histoire de ton clan. Je pourrais la trouver dans la bibliothèque de l'académie mais c'est une histoire racontée par des gens ayant connus des Kaguya, mais celle contée par un Kaguya possède l'assurance de la vérité. En outre, je t'ai promis de te conter celle du clan Kinbara. Et un Kinbara honore toujours ses dettes. »

Je laissais l'adolescent réfléchir à mes propos, je repris ma position, guettant de nouveau le ciel. Lorsqu'un aigle passa dans le ciel, un sourire s'étira sur mon visage encore juvénile. L'aigle était un augure puissant tel la construction de Rome dont le chef fut inauguré en raison de l'apparition d'un aigle.
Quelque chose me serait dévoilé en ce jour ou le lendemain. Il restait d'or et déjà a savoir si c'était la véritable histoire du Clan Kaguya qui me serait contée.
Espérons-le, mes chers, espérons-le.

Je mangeais mes mochis à la vitesse de la lumière, ne pensant juste à me régaler, quand je vis qu'il déguster lentement ses ramens préparés par mes soins :

Je vais peut être faire comme lui, il faut s'adapter dans la vie !

Il me restait 2 mochis, j'en pris un dans ma serviette que je mangea délicatement, puis le dernier je le pourrais vers Eidan, même si sa me rendait le coeur.

Il me fixa dans les yeux et dit (Eidan, pas le mochis !)

Fu, maintenant qu'on est dans un moment de détente et que tu as le temps de parler. J'aimerais vraiment que tu me conte l'histoire de ton clan. Je pourrais la trouver dans la bibliothèque de l'académie mais c'est une histoire racontée par des gens ayant connus des Kaguya, mais celle contée par un Kaguya possède l'assurance de la vérité. En outre, je t'ai promis de te conter celle du clan Kinbara. Et un Kinbara honore toujours ses dettes.

Je réfléchi et dit :

Okay, je veux bien, si on fait je te contre une partie de la mienne, toi un autre de la tienne, je vais pas te faire ça des heures non plus

Bon, par quoi commencer ...

Moi, enfaite, je suis tous seul, les autres de mon clan sont dispersés, et même que apparament, y en à un qui est Nukenin, donc je vais commencer d'une par la base de nos pouvoir, puis par une tragédie, puis tu com,enchères la tienne,
Okay

Apparament, les pouvoirs attribués, et notre nom de famille serait venu de la première personne à avoir du chakra, Kaguya Ôtsutsuki, et physiologiquement, tu as du le remarquer, ont a deux points rouge sur le front, et donc comme je te l'ai dit, ont a le pouvoir de former et réformer nos os, ont a une grande capacité de régénération.

Puis après des centaines, ou de milliers d'années après je sais plus. Notre clan ne vivait plus que pour le combat, donc mes ancêtres ont menés un grand raid contre Kiri, et ils se sont fait laminés En faisant un geste de la main je dirait ceci Il restait de cette assaut que le plus doués, un jeune garçon qui a été recueilli par Oroch, je ne sais plus, et il en a fait son larbin, mais est mort d'une grande maladies, inconnue, voilà, à toi !

L'histoire shinobi: l'apprentissage laissée par les anciens

Le jeune Kaguya, après avoir dégusté ce qui semblait être des mochis, me regardait d'un œil sérieux. Je pensai qu'il allait me conter son histoire et ma suggestion s'avéra fondée.

Ainsi son clan descendait directement de la « Mère du Chakra », Kaguya Ôtsutsuki. Son clan pouvait donc être considérés par ces haut clans qui ont étés représentés par des héros de la Guerre ninja, Sasuke Uchiha et Hinata Hyûga. Finalement il n'y avait rien d'étonnant à la puissance de son talent héréditaire. Ce clan foulait ce continent depuis des milliers d'années.

Dommage pour lui, son clan périssait dans les flammes du temps. Mais quelle logique aussi. On pouvait demeurer un guerrier, cependant la logique demeurait présente dans un esprit humain. Ce clan avait entreprit de détruire mon village d'accueil juste pour quelle raison, de fun ? J'en fus un peu dégoûté de ce fait et donc de l'ascendance de mon allié. Cependant, l'hospice ne pouvait se moquer de la charité. Nous n'étions pas mieux. Suna avait subi notre joug, une époque de terreur proche de la brume sanglante.

Il restait d'autres survivants, disséminés à travers le monde et même un déserteur. En soit, ils n'étaient plus très nombreux dans le village à manipuler les os, ce qui faisait de Fubuki une mine d'or. L'un des derniers shinobi avec ce puissant Kekkai Genkai.
Le jeune homme, repoussant une mèche de ses cheveux neiges pour me montrer son front. Deux points rouges, positionnées à égale distance l'un de l'autre. Mes yeux ne connaissait pas de telles caractéristiques physiques pour un clan. Toutefois, devant moi se tenait l'un des derniers descendants de Kaguya, ses deux points devaient venir de son héritage extraterrestre. Depuis ma jeunesse, des idées avaient vu le jour dans mon esprit. La seule solution logique serait que les premiers manieurs de chakra descendaient sûrement d'une race ne venant pas de ce monde.

Un nom resta aussi pris dans mes réflexions. Orochimaru, le grand scientifique originaire de Konoha avait connu un des membres de son clan. Le serpent perfide avait-il réussi à reproduire ce talent ? Était-ce possible qu'il est réussi, ce fou ?

Cette réflexion en amena d'autres, et encore d'autres comme des cellules qui se divisent pour se multiplier. Fubuki recherchait-il à reformer son clan ou recherchait-il juste à devenir un bon shinobi grâce au talent de ses ancêtres. Le jeune homme semblait soucieux. Il m'avait raconté une part de son existence, la balle attendait dans mon camp.

J'honorais donc ma part du marché :

« Tes ancêtres se sont laissés submergés par la corruption du pouvoir. Kiri est puissant, c'était une tentative suicidaire. Tu as honoré ta part du marché. C'est donc mon tour. Je ne peux te certifier d'où proviennent les racines du Clan. Mes ancêtres sont apparus au pays du vent, Kaze no Kuni, au temps de la construction de Sunagakure. A l'origine, le clan ne possédait que deux affinités : le raiton et le katon. Ce n'est que bien des années plus tard, qu'un membre en forma une affinité combinée : l'art de la Lumière. Suite à la découverte de cet art, les descendants dont moi purent directement s'éveiller à l'Hikariton. Ce pouvoir nous permit de gagner de l'influence dans notre pays et nos membres s'étaient illustrés durant les grandes guerres même celle de l'alliance shinobi. Un jour, un membre influent et très précoce, un des génies du ninjutsu de sa génération arriva. Son nom restera gravé à jamais dans le désert : Shunsuke Kibara. Le clan atteint son apogée quand shunsuke tua Gaara no Sabaku, alors Kazekage. Il put devenir ainsi le successeur de sa victime. Il fit régner sur la terre du vent, la haine et la terreur. Le clan devint alors le clan principal de Suna. Mais suite à sa mort dans des conditions mystérieuses, le clan paya pour ses actes. Ils furent bannis tels des chiens. N'ayant plus de patrie mais toujours cette soif de pouvoir, mes ancêtres avaient eu vent de rumeurs sur le Mizukage 8ème du nom, Aizen Samidare et de son régime qu'il dirigeait d'une main de fer. Le clan put ainsi venir sur Mizu no kuni avec un objectif à long terme : la vengeance. Oui aussi, durant nos conflits civils pour la tête du clan, nous avions pour habitude de nous massacrer mutuellement.

Voilà une partie de l'histoire de mon clan. Bon la pause est terminée pour moi, je me remet à la maîtrise de l'intensité de mon laser. »


Fubuki en savait déjà assez sur le clan. La folie n'avait pas encore pervertie mon cerveau, le fait que le sang de nombreux membres tâchaient mes mains demeuraient une chose secrète. Il pourrait me vendre au gouvernement et il était hors de question que je finisse ma vie soit en prison soit décapité. Myaki avait payé pour moi, c'était suffisant.

Me relevant sans soucis, je me remit en face d'un mannequin encore indemne. Désolé bout de paille, mais cette technique devait être parfaite…

La perfection était angélique, je commençais à ouvrir les ailes.

Après avoir vu que Eidan n'avait pas mangé le mochis donner, je le mangea sans grande courtoisie, bah oui, j'ai faim moi !
Puis il commença à me contai l'histoire de son clan :

Tes ancêtres se sont laissés submergés par la corruption du pouvoir. Kiri est puissant, c'était une tentative suicidaire. Tu as honoré ta part du marché. C'est donc mon tour. Je ne peux te certifier d'où proviennent les racines du Clan. Mes ancêtres sont apparus au pays du vent, Kaze no Kuni, au temps de la construction de Sunagakure. A l'origine, le clan ne possédait que deux affinités : le raiton et le katon. Ce n'est que bien des années plus tard, qu'un membre en forma une affinité combinée : l'art de la Lumière. Suite à la découverte de cet art, les descendants dont moi purent directement s'éveiller à l'Hikariton. Ce pouvoir nous permit de gagner de l'influence dans notre pays et nos membres s'étaient illustrés durant les grandes guerres même celle de l'alliance shinobi. Un jour, un membre influent et très précoce, un des génies du ninjutsu de sa génération arriva. Son nom restera gravé à jamais dans le désert : Shunsuke Kibara. Le clan atteint son apogée quand shunsuke tua Gaara no Sabaku, alors Kazekage. Il put devenir ainsi le successeur de sa victime. Il fit régner sur la terre du vent, la haine et la terreur. Le clan devint alors le clan principal de Suna. Mais suite à sa mort dans des conditions mystérieuses, le clan paya pour ses actes. Ils furent bannis tels des chiens. N'ayant plus de patrie mais toujours cette soif de pouvoir, mes ancêtres avaient eu vent de rumeurs sur le Mizukage 8ème du nom, Aizen Samidare et de son régime qu'il dirigeait d'une main de fer. Le clan put ainsi venir sur Mizu no kuni avec un objectif à long terme : la vengeance. Oui aussi, durant nos conflits civils pour la tête du clan, nous avions pour habitude de nous massacrer mutuellement.

Voilà une partie de l'histoire de mon clan. Bon la pause est terminée pour moi, je me remet à la maîtrise de l'intensité de mon laser.

A lui et la réussite, je m'étonnai, s'était la première fois que je ressentais du bonheur d'avoir une connaissance, un ami, j'étais content qu'on se parlait sans retenu, j'amais bien, je n'avais jamais connu ça auparavant !

Si tu veux tu m'entraine Eidan, moi, après chaque repas, je dois faire une petite sieste ou juste me reposer,
Je vais te regarder, mon pote !

En disant sa, je m'étais levé, et je m'adossa au mur le proche d'Eidan, pour le regarder.

Le jeune homme semblait dans ses pensées un moment à me dévisager. Je me demandais à quoi est-ce qu'il pensait. L'histoire de mon clan délivrait-elle autant d'interrogation et de philosophie pour que le garçon soit limite aux abonnées absent.
Tant pis, la pique du scorpion devait être amélioré. Je me retournai en direction de mon adversaire factice en positionnant mes mains de façon à pratiquer de nombreuses fois ma technique héréditaire.
Le jeune homme daigna enfin sortir de sa léthargie pour me dire :

« Si tu veux, tu t'entraînes Eidan, moi, après chaque repas, je dois faire une petite sieste ou juste me reposer, je vais te regarder mon pote ! »


Ce comportement était au-delà de ma compréhension. Il fallait battre le fer tant qu'il était encore chaud. C'est dans l'épreuve, que nos capacités se développaient plus. Cependant je pensais trop comme un guerrier et non comme l'insouciance, virus bactériologique qui touchait la majorité des adolescents du monde.

Retournant à mon business, à savoir faire son affaire à la monstruosité de paille qui se tenait en face de moi avec son sourire en fil niais. Attends mon coco, je vais te refaire le portrait à coup de laser.

Déclenchant une nouvelle salve, le mannequin fut troué à de nombreuses reprises. Il était temps d'augmenter la densité des photons à l'intérieur. J'avais déjà retenu le principe, il suffisait juste de laisser plus de chakra se déverser dans l'alliage de photons.

Je retentai la technique en y incluant de plus en plus de chakra, le laser s'agrandissait à chaque essai. Cependant il me fallait un temps d'adaptation pour ajuster à chaque grossissement la précision nécessaire afin de la rendre létale.

Cette technique pourrait repousser des ennemis mais une idée m'avait dit de conserver cette « petite forme » pour le corps à corps. Elle pouvait s'avérer utile pour trouer mon adversaire, notamment le rendre aveugle. Il me fallait continuer à m'exercer.

En une heure ou deux, je n'avais pas la notion du temps, j'avais marqué de mon art 3 mannequins.
Il me restait encore de la force et l'objectif ne serait jamais atteint, du moins pas aujourd'hui. J'étais un céleste, seuls les mortels ne pouvaient atteindre l'excellence.

Durant tout ce temps, Fubuki me regardait. C'était mon seul ami dans ce village, j'espère juste le premier.
Arrêtant un moment, je lui souris puis je sortis un paquet de cigarettes que j'avais pris à mon grand-père ce matin. Je m'étais toujours dis qu'il fallait tester de nouvelles sensations. Mettant un joint que j'allumais avec un peu de chakra hikariton, je tirai une longue taffe avant d'être pris d'une longue toux. Cette merde était super forte, la fumée me brûlant l'organisme. Mais la sensation qui se déversait dans mes veines comportait une partie exaltante. Tendant une à  Fubuki, je lui dis :

«  Mon pote, cela te dit une cigarette. Tu devrais essayé c'est fort mais la sensation est quand même agréable . »



Je m'adossais sur un mur, une sorte de bloc à coté de lui, et je continuai à tirer sur la cigarette. Mes pensées allaient loin, dans ma hauteur, je réfléchissais à mes objectifs et à la vie que j'avais déjà vécu. Dure réalité, oui j'avais raison de vouloir trouver des coupables et de les punir. Après tout l'être humain était faible et je ne l'étais pas.

Fin du rp