Présentation : Moera [FINIT]

Petite, frêle et menu, Moera porte sur son corps les marques de plusieurs années de séquestration. Aillant passé une bonne partie de sa vie enfermer dans une cellule sombre et humide, taillé à même la roche, Moera à souffert du manque de soleil et de la malnutrition de ses geôliers. Très maigre, elle reprend doucement des formes, mais reste très squelettique dans l'ensemble. Malgré ses côtes visibles, ses épaules et hanches saillantes - ainsi que sa petite taille dut sans nul doute à un problème de croissance - la jeune femme se démarque par un visage souriant auréolé d'une crinière rouge. Sa longue chevelure rouge descend en cascade dans son dos pour caresser ses hanches,
au dessus et en dessous desquels ont ne trouve aucune marques, aucune cicatrice de sa détention.

A quoi cela est dut ? Pour le moment, personne ne le sait, car tout ce qui entourait Moera le long de sa vie son mort. Cependant, cela lui permet de se promener sans attiré l'attention. Même si ses grands yeux clairs lui donne un charme enfantin, la rouquine porte en grande parti des vêtements délabré qu'elle a récupérer.
Elle se moque pas mal de son accoutrement, l'essentiel étant que les loques lui tienne chaud. D'un point de vue extérieur, Moera ressemble à une sans-abri dont on n'arriverait pas à trouver la planque habituelle.

Ainsi donc, la rouquine ne porte pas de richesse sur elle. Même son pendentif de Jashin, qu'elle garde autour de son cou, est fait de métal brut et c'est usée avec le temps. Elle le garde cependant bien caché sous ses vêtements pour évité d'attiré les regards.

Il n'y pas grand chose d'autre à dire sur elle. Elle est fine, petite, portant une longue chevelure rouge et un sempiternelle sourire qui la rend adorable pour les coeurs tendres. Rien d'autre ne la démarque des autres hommes qui s'entour, si ce n'est sa capacité à guérir.

Malgré une vie passé dans une secte de Jashin, Moera n'est pas avide de sang et de souffrance comme on pourrait le présumer. D'une manière générale, la rouquine est curieuse et aimable. Deux qualités que son insouciance met sur le devant de la scène. Moera est une véritable enfant qui découvre le monde, malgré son corps adulte et son esprit meurtrie.

Plus que quiconque, elle connais le mot " souffrance " pour l'avoir expérimenté pendant de longues années qui lui semblait une éternité et elle n'aime rien de plus que de voir la chaleur d'un sourire ou de ressentir l'euphorie lui caresser la joue comme une brise qu'on se plairait à savouré. La jeune femme, aime faire plaisir, parce que cette joie excite sa propre sensibilité et lui provoque autant de bonheur que la souffrance à laquelle elle s'est habituer. De nature pacifiste, elle ne cherchera jamais à faire du tord à quelqu'un, cependant sa curiosité malhabile la pousse à se jeter dans les coins dangereux auxquels elle peine à s'échapper.

Comme Moera à passer nombres d'années enfermer, sans avoir aucun contacts social avec l'humanité - si ce n'était les prêtes de Jashin qui venait la nourrir et plus si affinité - on la retrouve parfois faire quelques maladresse face à un homme dont elle ne connais pas les sentiments, ni le grade, ni quoi que ce soit. Elle est en perpétuelle apprentissage.

Que dire d'autre ? Elle n'est pas méchante, juste une enfant qui découvre l'amour et l'amitié, dans un monde secouer de souffrance et de peine qui lui sont si familière qu'elle peine à les voir. Moera est gentille, purement et simplement, elle veut faire plaisir et voir les autres sourire, c'est pour cela qu'elle ne parle pas de sa quête ni de son but. La raison pour laquelle Moera à été enfermer pendant toutes ses années, est également la raison de la quête solitaire à travers le monde. Moera à été protéger par cette petite branche de la secte de Jashin, car elle possède en son sein le don de l'immortalité. Rien, ni personne, ne peut lui retiré la vie. Ce n'est pas à défaut d'avoir essayer de la blesser, de lui transpercer le coeur et les poumons, d'avoir cesser de la nourrir et de l'avoir contaminé avec la plus affreuses des maladies, mais Moera survivait toujours. Et, depuis qu'elle a réussit à quitter la couvent, son but est très simple : Trouver la mort.

La souffrance, elle l'aime, mais n'en veut plus, alors elle suit les légendes qu'on lui a raconter, les écrit qu'elle a lu, et cherche un arbre sacrée inconnu par la majorité de la population. On dit que "l'arbre de Negai" est capable d'exaucé n'importe lequel vœu de chaque personne, mais son existence n'est qu'une légende. Un rêve que Moera compte bien conquérir pour pouvoir exaucé le souhait qui lui est le plus cher.  

Je vous pris de vous assoir pour que je puis-ce vous conter l'histoire de Moera dont vous vous demandez surement la provenance.

On ne sait pas vraiment d'où viens ce petit sortilège vivant. Enfin, l'ordre sait que sa mère était une fidèle de Jashin qui habitait depuis des années dans le couvent ... vous savez, celui qui à été massacré, enfin cela viendra plus tard. Donc, sa mère était une fidèle, mais elle n'a jamais voulu donner le nom de son père, même sous la torture. La naissance de sa fille à été un vrai événement en son temps, ses petites cris ont réveillé tous les moines présent ce jour-là et, c'est à peine quelques jours plus tard, qu'on à retrouver sa mère morte sur l'autel sacrée de Jashin et ce bébé potelet gesticulant dans le sang à ses cotés. On suppose qu'un fidèle jaloux l'aurait assassiné et s'en serait pris par la suite au bébé, mais c'est là que les choses deviennent intéressante.

Personne n'a trouver le coupable, comme personne ne savait le nom du père, mais ce n'a pas d'importance, car l'ordre à trouver quelques chose de bien plus précieux ce jour-là : Un artefacts lié à leur dieu. Pour s'épargner des efforts inutiles, les plus hauts moines ont décidé d'abrégé la vie de la petite fille, mais malgré les nombreux coups de poignards qui lui furent porté elle n'a jamais cesser de hurler. Dès lors son immortalité révéler, il n'eut nul besoin de conseil pour déterminé que cet enfant ferait désormais entièrement partie de l'ordre.

Moera fut confier à une nourrice, qui lui prodigua le minimum des soin dut à son jeune âge et dès qu'elle eut assez âgé pour apprendre l'art des jutsus, alors les moines s'appliquèrent à les lui enseigner. Cependant, un aussi grand pouvoir apporte aussi son lot de fardeau. Moera ne peut mourir, mais il lui est impossible d'utilisé ce qu'on appelle chakra et sa maladresse remarquable, à son âge, railla l'envie des moines de lui apprendre les techniques de leurs ordres. Ils auraient put insisté, c'est vrai, mais Moera souffrait des préjuger que lui avait léguer sa mère et rare était les personnes qui l'appréciait un temps soit peu, mais comme la petite n'avait jamais quitter le couvent et qu'elle ne connaissait rien d'autre que Jashin elle ne s'était jamais enfuit.

Pour protéger leur artefacts, et l’empêcher de s'enfuir quand viendrait le moment redouté de l'adolescence, les moines de Jashin l'enfermèrent dans une cellule d'où elle ne sorti plus jamais - jusqu'à récemment, mais nous n'en somme pas encore ici - et où ils purent tester l'étendu de la vie qui palpitait en elle. Ni les armes blanches, ni les rituels, ni la faim, ni la soif, le froid, le poison ou la maladie n'eurent la vie de Moera qui, malgré tout, ressentait toute l'étendu des souffrances que ses facteurs engendrait. La petite rouquine vécu de douleur insoutenable toute sa vie, car rien ne pouvait amenuisée le supplice qui la prenait à la poitrine quand on lui perforait un poumon qui, doucement, se refermait, ou l’empêchait de suffoquer quand on lui tranchait la gorge. Quand bien même parler de souffrance pour des fidèles de Jashin vous parait abuse, la souffrance reste bien réelle et il me semble important d'insisté sur ce point.

Comme les jours passaient et que Moera grandissait, que l'adolescence fut étouffer sous des coups de tisonniers et que l'âge adulte fut oublier dans les tréfonds d'une grotte où on y laissa aussi l'amour et l'affection, elle perdit la notion du temps qui s'écoulait. Au fil du temps, de moins en moins de personne venait lui rendre visite. On lui céda quelques ouvrages religieux dont elle se plut à lire et à relire - avant son enfermement, les moines contait en faire une des leurs lui avait inculqué quelques rudiments - et la solitude lui fit entendre une voix dont elle ne partagea jamais l’existence. Elle la nomma "Jashin", car c'était sous son regard qu'elle était née et avait grandit, sans savoir si c'était réellement son dieu qui lui parlait ou une simple fabulation de son esprit, mais toujours est-il que cette voix l’empêcha de devenir folle. A l'heure d'aujourd'hui, l'entendre lui souffler quelques paroles réconfortantes au creux de l'oreille se fait plus rare.

Cela me semble le bon moment pour vous parler de ce que la petite Moera à appris durant cette période. Entre la douleur, les livres et cette voix entêtante, elle découvrit qu'il existait sur cette terre un arbre sacrée capable d’exaucé n'importe quel vœux. On le nomma "l'Arbre de Nigai", mais son existence relève d'avantage de la légende, car il est dit que cet entité céleste est dissimuler au milieu d'une immense forêt de laquelle il se distingue la nuit par la douce lueur bleuté qui se dégage des feuilles et de son épaisse écorce. Cependant, jamais personne n'a trouver cet arbre et, peu à peu, la légende est tomber dans l'oubli. Moera sait peu de chose sur lui, si ce n'est qu'il possède une taille impressionnante et qu'un puissant pouvoir en son sein lui permet d'exaucé un voeu par personne. Il est cependant essentiel de songer au fait que, du fait de son immense pouvoir, l'arbre devrait demander une contre-partie équivalente. Etant donner l’innocence de la rouquine, elle ne pensa pas à un seul moment que souhaiter " provoquer sa propre mort" devrait avoir une autre conséquence.

Ce n'est pas de la folie de demander sa mort, du moins du point de vue de Moera qui, depuis longue, à perdu le fils des ans et ne sait même plus qu'elle âge elle devrait avoir. L'immortalité n'est pas aussi gaie qu'on peut le pensé, du moins du coté Jashin de la force, qui lui à valu plus de souffrance que de joie. Alors que les autres mourraient sous ses yeux, elle vivait, survivait, existait malgré tout les cataclysmes qui pouvaient s'abattre sur le couvent. Si elle n'avait pas été libéré de sa geôle, Moera aurait put existé des années enfermer sans personne pour venir la voir, ni la mort pour la délivré. Cependant, l'étendu de sa vie reste encore à déterminé. S'il lui ait apparue que, pour avoir une vie aussi puissante, il lui fallait s'abstenir de toutes autres formes de puissances - ni rituels, ni chakra, ni jutsu ne lui sont utilisable - Moera ne sait pas jusqu'où va son immortalité et elle n'a pas spécialement envie de la savoir.

Il me parait, à présent, que le moment opportuns vient de vous parler ce qui libéra Moera de sa prison. Il y a quelques mois, tout juste une année, que le couvent Jashin perdu dans les grandes montagnes du Pays des montagnes à été détruit. Les archives ne permettent pas de déterminé qui à mener l'attaque, car il n'y eut aucun survivant. Les responsables ont assassinés tous les moines présents, fouillant dans les moindres recoins pour trouver les survivants. Ils se sont rendu jusque dans les gêoles où ils trouvèrent Moera qui, choquer de voir ses frères et ses soeurs moururent, ne peut que pleurer de leurs sorts. Elle aussi fut assassiné, la gorge trancher par un coeur aussi froid que les montagnes qui la cachait depuis des années. Alors que les monstres arpentait ce qui fut sa demeure et que la vie ne lut jamais quitter alors que le sang avait couler en quantité de sa gorge, notre rouquine fit la morte pendant de longues heures. Contemplant de près les corps mutilés de ceux qui avaient passé sa vie à la nourrir à lui rendre visite, elle passa de longues heures à prier Jashin de faire partir ses intrus de sa maison. Quand le couvent redevins silencieux, elle risqua à se relever et à chercher des survivants. Elle ne trouva personne, le coeur lourd - et mille fois plus douloureux que toutes les souffrances physiques qu'elle eut put supporté jadis - Moera se rendit à l'extérieur où, sous ses yeux fragiles, s'étendit une immense forêt de laquelle émergeait un petit village.

C'est à partir de ce moment que son histoire commence. Après c'être rendu à ce village, où elle découvrit la sensibilité humaine, elle quitta au bout de longues semaines de marches le pays des montagnes et pénétra dans ce monde qu'est le vôtre où elle essaye d'existé et apprend, jour après jour, à être comme vous. Sans ses capacités extraordinaires qu'on nous à attribué et, cherchant, ce grand arbre légendaire dont on ne sait qu'à peine le nom.

• Âge :
• Localisation : Entre Mars et Jupiter
• Prénom : Continuez à appelée "Moera" ... J'aime bien.  
• Nindo : Finir cette fiche :3
• Passions : RolePlay
• Personnage du manga préféré : Oula .... J'ai finit le manga il y a un moment et j'aimait pas mal de personnage. Difficile de ce prononcer.
• Comment avez vous découvert le forum ? : Recherche internet.
• Comment trouvez vous le forum ? : Violet.
• Que faudrait il changer ? : Laisser moi le découvrir
• Autre chose ? : (Avez-vous déjà RP, depuis combien de temps, une remarque particulière...) Je suis roliste depuis bientôt ... 8/10 ans je dirai (Je sais que certain on lut ma fiche et que j'avais mis 6/7 ans, mais en reparlant avec mon copain - et étant donner que nous nous sommes rencontré sur un forum RPG et que nous nous connaissons depuis au moins 2010/11 et que je faisait déjà du RP avant - je me suis rendu compte que cela faisait plus 10 ans que je Roleplay tout compte fait) et, comme je suis plutôt très prise par mon travail et mes autres forums, je risque de ne pas être aussi active que je le voudrait.
• Avez vous lu le règlement ?* : Yumi est une diva. Merci