Hogosha Hitobito, le gardien du peuple [terminé]

Hogosha n'est pas le genre de personne que l'on pourrait qualifier de ninja ou de samouraï au premier regard. D'une taille d'1m78, le jeune homme n'est pas un combattant hors norme au premier regard. Sa musculature a beau être bien dessiné, il est assez fin, de quoi le comparer rapidement à un coton tige géant, mais ne vous fiez pas à cela car vous pourriez bien le regretter à l'avenir.

Dans l'ensemble, Hogosha est couvert de cicatrice, dut à certaines chose de son passé que cela sois bon ou mauvais. En ce qui concerne son visage, le jeune shinobi possède un regard magnifique composé d'yeux vairon or et saphir, une peau assez blanche, si bien que on l'a déjà comparé à de la porcelaine, surmonté d'une chevelure blanche comme la neige et immaculé.

En  ce qui concerne la façon de se vétir, le jeune homme es généralement habillé d'un kimono traditionnel car il est très ancré sur la culture historique, comme de nombreuses personnes. Attention cependant à ceux qui ose le croire sans défense dans cette tenue, car en dessous de son kimono se trouve sa tenue sommaire de ninja (sans le superflue de vêtement, etc.) accompagné de quelques accessoire comme des sceaux explosif, fumigène, des kunais ou des shurikens. Donc ne le sous-estimez pas...vous le regretteriez.

Hogosha est un garçon assez professionnel dans la moindre chose qu'il peut faire, qu'il s'agisse d'aider un passant ou alors aller en mission qui présente un grand risque. Il est toujours prêt à rendre service et sera toujours le premier à réagir pour protéger même si il est sûr de mourir. Evidemment il ne compte pas mourir pour rien et sera malheureusement prêt à faire des sacrifices si cela lui permet d'aider le plus grand nombre. Autant dire que rien jusqu'à présent ne lui a fait peur, il est prêt à tout pour protéger son village...même à briser les taboue et interdit.

Le shinobi possède également un sens de la justice à toute épreuve, il n'hésitera pas, par exemple à torturer ou maltraiter un criminel en fonction de ses crimes alors qu'on pourrait juste l'enfermer dans une cellule. A ses yeux, celui qui à commis des atrocités doit subir l'enfer pour comprendre ses actes. Disons que son passé l'a un peu chamboulé...un père assassin c'est pas la meilleure chose à écrire dans un carnet de famille aussi bien que dans le mental d'un enfant. Cet événement l'a profondément marqué et à fait de lui un être froid digne d'une marionette sans âme lorsque il est concentré dans sa tâche. Pour lui chaque mission se doit d'être réussite, aucun échec qui pourrait laisser le mal progresser et corrompre d'avantage de gens.

Le jeune homme à la chevelure immaculé possède également un sens très rigoureux et stratégique lors de situation compliqué, il n'agit jamais seul et ne propose son avis que lorsque on le lui demande. Il est un shinobi très respectueux de la hiérarchie et compte bien rester ainsi jusqu'à atteindre les sommets.
Enfin, il faut savoir que bien que le jeune homme puisse avoir la côte envers certaines demoiselle, il n'a jamais compris le concept que l'on appelle Amour ou voir Amitié profonde, ce qui ne lui permet pas de comprendre ce qu'il peut ressentir envers quelqu'un, il faudrait lui apprendre  comme on apprendrait à un enfant.

Je suis né au prinptemps 94 au sein d'une petite ferme à proximité de Konoha. A l'origine j'avais été l'union de deux parents qui s'aimaient tendrement et ces histoires de clan, de shinobi et de guerre paraissaient loin derrière nous depuis que l'Hokage, Naurto Uzumaki avait prit les rênes du village. Pourtant les choses se dégradèrent assez vite. A peine avais-je fêté ma première année que l'Hokage mourru face à son rival de toujours, Sasuke Uchiha qui lui aussi périt lors de ce combat qui devait être titanesque. D'après ce que me raconta ma mère, il semblerait que mon père et une grande partie de la population était mécontent du changement d'Hokage car l'autre ne se contentait que de copier les précédents projet du héros orange de Konoha. Néanmoins jusque là nous vivions un minimum tranquille dans notre ferme et j'avais espéré que cela dure toute mon existence ou au moins celle de mes géniteurs que je respectais tant.

A vrai dire, rien de ma vie ne paraissait excitant jusque là, si ce n'est aider mon père aux champs, ma mère dans les tâches ménagères, etc...en gros à leurs yeux j'étais le parfait petit garçon qui aimait plus que tout ses parents. Du moins c'est ainsi que cela se vivait jusqu'à mes 10 ans. Ma mère  m'avait demandé d'aller chercher une bouteille chez un voisin car nous n'avions plus d'un certain ingrédient et bien que ma mère paraissait toujours souriante, quelque chose clochait. Elle avait énormément de blessure plus ou moins grave et à différents endroit du corps. De mon côté, j'avais subit la violence de mon père qui avait l'air bourré depuis pas mal de temps chaque fois qu'il rentrait. Dès que je l'énervais j'avais droit à des coups qui me firent énormément de marque sur la totalité du corps. Pourtant...du haut de mes 1m30 j'étais loin de me douter, que le responsable n'était autre que ce qui me servait de père, celui qui m'avait permi de naître avait commis un crime très grave. Lorsque je revint de chez les voisins, bouteille en main pour rentrer rapidement à la maison, je laisse alors tomber celle-ci la laissant se briser et répandant le liquide au sol comme coulerait le sang d'une blessure. Horrifié, je vois le corps de ma mère, effondré dans une flaque rouge pourpre, mon père de dos, observant le corps, un couteau en main taché de sang. La peur me tiraillait, me prenait au ventre, comment voulez-vous comprendre ce qu'un enfant ressent lorsque il voit sa mère morte et face à lui, celui qui l'a tué sachant qu'il s'agit de son paternel. Malgré cette peur intense, je me persuadait de fuir, je ne pouvais pas rester là à mourir aussi, ce n'est pas ce que ma mère aurait voulu. Je me met aussitôt à courir, essayant de fuir par tous les moyens et demandant à quiconque de vouloir me protéger mais beaucoup riaient en pensant à une simple farce, du moins jusqu'à ce qu'un cri se fasse entendre d'une jeune femme qui vut mon père, couteau en main, se rapprocher dans ma direction. A partir de ce moment-là, tous le monde fuyait, chacun pour soi. Avec ma taille d'enfant et ma faible endurance je ne pouvais pas le distancer et c'est finalement aux portes du village de Konoha que je m'effondre épuisé tandis que l'assassin de ma mère se rapproche, aveuglé par une haine qui paraissait surnaturel jusqu'à présent. Heureusement, des shinobis présent à proximité ont assez rapidement réagit pour l'arrêter...le tuer ? Enfin je ne sais pas ce qui est advenue de lui sur le moment, tout ce qui m'importait...c'était que sur le moment, je venais de survivre et que on ne pourrait rien me faire sur le moment.

Je me suis réveillé trois jours plus tard, au sein du centre médical du village shinobi. Rapidement, on vient me voir et l'on m'explique que mon état de fatigue était normal aux vue de mes émotions forte et de mon long parcours en extérieur pour rejoindre le village. Alors ce n'étais pas un rêve...la mort de ma mère, mon père devenue fou pour une raison obscur, la poursuite jusqu'au village. Moi qui avait retenue mes larmes jusque là à cause de la peur...aussitôt elles coulèrent...en abondance. Non pas de joie car j'avais survécu, mais de haine envers ce père qui n'avait sans doute eut aucun scrupule à tuer ma mère. Pourquoi l'avait-il fait ? Etait-il influencé ? Avait-il fait ça de son propre chef ? Prévoyait-il quelque chose de plus grand ? Toutes ces questions étaient trop dur à résoudre pour un simple enfant. Une chose était néanmoins sûr, lui qui ne voulait être que fermier, venait de changer de conviction, devenir un gardien pour les faibles et opprimés...le mal devait périr...par tous les moyens.

De nouveau les années passèrent, j'avais 16 ans maintenant et me voilà déjà un shinobi accompli...enfin, un simple shinobi ayant passé tous les test oui. Je suis alors devenue officiellement Chunin. Et oui, beaucoup de chose se sont passé en 6 ans. Pour tous dire...j'en ai bavé. On aurait put croire que j'étais un prodige mais loin de là. A peine entrée dans l'académie, les premières années furent gêné par les événements traumatisant du passé. Néanmoins j'ai réussit à faire la part des choses et à me maintenir à un bon niveau avec le reste de la classe. D'un autre côté, j'avais beau avoir la côte auprès des demoiselles pour mon visage d'ange et mes yeux magnifique, je ne pensais à rien d'autre que le travail, atteindre mes objectifs à tout prix se qui m'empêcha de vraiment me faire des amis parmis mes camarades. Plus le temps passait et plus je voulais avoir plus de force, plus de technique, plus de puissance...je me doutais ne pas pouvoir tout faire seul, mais à mes yeux je devais devenir quelqu'un sur qui le village et le Kage pouvait compter, peu importe les regards et les avis néfastes...ne compte pour moi que la réussite de mes idéaux.
Lorsque vint notre examen de genin à nous tous, autant dire que mes camarades n'avaient pas une bonne vision de moi qui me la jouait individuel. Je peux les comprendre et c'est ce qui à faillit nous faire perdre à l'examen final. Néanmoins, d'un revers de situation et par le pouvoir de la parole, nous avon finalement réussit à nous entendre et par la même occasion, réussir le test faisant de nous  des genins. J'ai gardé ainsi une bonne relation avec eux, mais les choses sérieuses venaient tout juste de commencer. Notre sensei ne nous ménageait pas et nous entraînait sans relâche à tout les types de jutsu pour savoir ce qui nous convenait le mieux. Apparemment, il semblerait que je sois prédisposé au Raiton...a voir ce que cela peut m'apporter. Lorsque nous finissions nos entraînement, j'en profitais toujours pour voir ce que je pourrais apprendre comme technique ou art différent pour essayer d'aider au mieux. C'est ainsi que j'ai commencé à me familiariser avec le Kenjutsu, il semblerait que les lames sont quelques chose dont je dois faire mien et non les craindre comme à mes 10 ans.

Les années, les entraînements et les missions passèrent à une vitesse phénoménal. A tel point que même moi je ne savais pas comment autant de temps avait put s'écouler. Suite à tout ça, vint l'examen de Chunin. Enormément d'enfant venait y participer, venant de tous les villages. Malgré les difficultés envers les autres candidats et les épreuves, je suis finalement passé au rang de Chunin  à l'âge de 16 ans. Me voilà devenue un ninja à part entière avec l'espoir de pouvoir encore gravir les échelons.

Me voilà ensuite âgé de 22 ans, peu de choses se sont passé durant ce laps de temps si ce n'est que je suis passé au rang de Jonin. J'ai moi-même à mon tour, entraîné une équipe de genin qui eut aussi devrait passé l'examen à l'avenir. Heureusement pour eux, ils ont mieux réagit que moi et mes camarades lorsque nous avions commencé le test ce qui leur a permis assez rapidement de réussir le test. Malgré ces entraînements à répétition et mes entrevues avec mes anciens camarades, je prenais pas mal de temps à me renseigner sur les Hokage car leurs capacités et leurs visions des choses m'ont toujours attiré. Jusqu'à ce que je tombe sur le fait que Naruto Uzumaki se servait de l'invocation des crapeaux. Jusqu'à présent l'invocation ne m'avait pas intéressé plus que ça, mais il semblerait que cela puisse être utile dans plusieurs cas. Mais plutôt que de simplement vouloir un pacte avec une race animal quelconque...autant se servir de ce fameux pouvoir encore inutilisé pour la protection du village.
C'étais décidé, je gravirai encore les échelons au plus haut possible, prouver ma valeur de ninja, apporter la paix, obtenir ce pouvoir et anihiler le mal quel que soit sa forme.

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