Présentation d'Ito

• Âge : 18
• Nom : Kanko
• Prénom : Ito
• Nindo : Pourquoi tuer quelqu'un qui pourrait nous servir ?
• Village : Kiri
• Clan : Kanko de Kiri
• Grade : Jonin
• Bingo-Book

Un visage d’ange
La bonté, l'honnêteté, la transparence, voilà ce qui émane de ce jeune homme ! Un jeune noble, a l'air un peu rebelle mais attendrissant, le visage clair, les cheveux obscurs, un peu plus longs sur la gauche. Sa peau est impeccable, il est rasé de près, car il prend grand soin à préserver cette image. Ses yeux sont foncés, très foncés, si foncés que la plus part des regards qu'ils lancent pourraient aussi bien être interprété comme amicaux que comme hostile. Mais il savait que de douces lèvres fines et rosées, savaient briser bien des barrières quand on savait les manier. 3
Charismatique
Le charisme, la prestance ! Talent inné à tous les grands hommes. Dans ce monde, il ne fallait pas être beau, il fallait plaire, et Nino avait très vite compris qu'il était plus facile de s'attirer la sympathie de quelqu'un quand on abondait dans son sens. Mais le charisme, c'était de dépasser cela et de faire abondait les gens dans votre sens, sans que ces derniers ne se détournent de leurs propres objectifs. Et ça, c'était le charisme de Ito. Quand il parlait, on l'écoutait parler. Il avait une prestance naturelle, celle qui remplit la pièce quand un homme important parle. Maître des mots, il savait user de sa langue pour embrouiller, jouant de cet art pour arriver à ses fins.
Elégant
Bien que le charisme captive la foule, il ne faudrait pas qu'elle ait envie de détourner les yeux au premier regard. Et pour ce faire, le garçon c'était sculpté une image. Il était de taille moyenne, pas grand pour dépasser des tas de foules, mais assez pour pouvoir regarder droit dans les yeux la plus part des êtres de ce monde. Toujours habillé d'une veste noire serrée, il se complaît à changer de chemise en fonction de ses humeurs. Son pantalon, lui, reste le même. Souple, léger, noir, tout en restant distingué. Avec ces vêtements, il aurait pu combattre une armée ou une horde de diplomate. Il savait que les vêtements ne devaient pas servir à se distinguer. Aussi portait-il des chaussures en cuir traité, très résistante, aérée et très appréciée par les grands du monde qui avaient beaucoup à voyager a pied. A cette tenue s'ajoute, lors des combats, une gourde qu'il place généralement dans son dos mais aucune ceinture d'arme visible.
Charmant
Enfin, le charme. Quand tout le reste repose sur de la logique, le charme ne répond à aucune logique. On est charmant ou on ne l’est pas. Dans le cas de Nino, c'était un peu différent. Lui il n'était pas charmant par nature, il était charmant par nécessite. Sourire, geste, posture, intonation, et chaque mot choisi avec soin, voilà comment il charmait son public. Son grand atout était le mystère de l'homme cultivé. Il pouvait discuter de tous les sujets d'actualité, sans jamais donner un avis qui aurait favorisait un interlocuteur en particulier. Il savait s'effacer quand la situation le demandait mais était toujours présent là où on l'attendait. Il avait travaillé pour atteindre ce résultat, mais l'éducation parentale avait du bon... Ito était beau, charismatique, élégant et charmant. Que d'armes mortelles pour un esprit en quête de liberté...



ps : Ninoko Asuka de Naruto no Genkagu est mon personnage.

La réflexion mène à l'ambition ...
Au début, je pensais, vagabondant follement d'une idée à l'autre, errant librement sur les chemins inconscients de l'enfance. Puis, je me suis mis à apprendre, et la, mes idée ne se fixèrent plus que sur les sujets que j'avais en tête. Et ces sujets, je voulais les connaitre parfaitement. Aussi, entêté, j'appris, par l'expérience, par la lecture et par l'entrainement. Et une fois que j'eus maitrisé ces sujets, je réfléchis... Je réfléchis sur la façon dont on me les avait enseignés. Et ça, ça n'allait pas. Le but était l'apprentissage, mais l'apprentissage doit servir un but...
Ensuite, je réfléchis sur les personnes qui me l'avaient enseigné. Eux aussi étaient corrompus, aveuglé par leur quête d'épanouissement collectif. Mais le collectif n'avait sa place que dans un ensemble uni... La force du nombre ne comptait que si tous étaient unis sous la même bannière, mais ces gens de tous rangs n'avaient pas en tête ce but collectif...
qui mène elle-même à la puissance !
Et me voilà, en pleine forme et bien déterminé à en finir avec cette mascarade. Le monde tournera au bain de sang et je compte bien faire valoir mes droits à rester sur terre. Je n'ai de haine envers personne en particulier, juste envers l'humanité qui est imparfaite... Mon village redressera les tords à travers le monde, exterminant les imperfections qui trahissent les hommes par leurs actions abjectes...

Grandeur d'ame et prison d'or.

Qui je suis, moi ? Enfin, je suis Ito, riche fils unique héritier de Kuzo Kenko 2eme du nom, riche marchand de ... Bon j'ai encore oublié la suite... Mais le principal c'est que vous ayez compris. Je suis quelqu'un, fils de quelqu'un d'important et ça, c'est mon premier problème. Quand on arrive dans ce monde, soit on est riche, soit on l'est pas, malgré que mon père insiste sur les vertus du travail et de la discipline. Moi, ce que je vois, c'est un monde plutôt sympathique sur lequel on a battit des règles et des normes jusqu’à ce que chaque un ne puisse plus bouger de son rôle. Mais penser comme ça quand vous êtes riche de naissance, c'est assez mal vu.
Ça, c'est le deuxième problème. Moi, je voudrais être libre, et mes parents, notables respectés et respectueux des règles, voudraient que je sois comme eux. La seule bonne idée qu'ils aient eu, c'est de s'installer dans la région ninja pour faire fructifier leur commerce. Et comme il n'y avait rien d’intéressant à faire, je me suis retrouvé à l'école de ninja. Je ne peux pas dire qu'ils n'ont pas tout fait pour moi, enfin au niveau matériel tout du moins. Pour ça, j'ai été comblé. D'abord des vêtements toujours plus neufs et plus brillants, des bijoux, des parures et milles autres immondices décoratifs et portatifs. Ils me firent apprendre les bonnes manières, le gout de l'éducation, aiguisèrent ma curiosité, me donnèrent goût à la lecture, mais tout était si pompeux, si lourd, que je ne réussis jamais à m'intégrer à ce rythme de vie. J'avais passé 12 ans de ma vie à me plier a des règles, gratifiant de faux sourires les clients importants de papa. J'étais irréprochable, impeccable, l'enfant que toute famille aisé aurait rêvé d'avoir. Mais cet enfant lui, aspirait a bien d'autres choses. A l'époque, j'aimais déjà la nature, et je me complaisais à regarder le soleil. Dans ces moments-là, je brillais, j'éclatais de vie et de bonheur, comme si le soleil lui-même me redonnait vitalité et force. Pendant 12 longues années, je ne fis pas le moindre écart, me contentant de lire et d'apprendre, de distribuer des faux sourires, multipliant ruses et astuces pour que personne ne sache que cette vie de me convenait plus. Mais un jour de pluie ou mon moral était au plus bas, je ne pus résister à l'appel de la liberté. Il faisait nuit et je choisis de passer par ma fenêtre pour m'échapper de ma prison dorée. Les 2 ans à l'école de ninjas m'avaient appris à me rétablir correctement, malgré un saut de 2 bons mètres. Une fois au sol, je pris mes jambes à mon cou, sans me retourner, voulant mettre le plus de distance possible entre moi et ma famille. Je ne les haïssais pas le moins du monde, et je les aimais d'une certaine façon, mais j'avais besoin d'une coupure. J'avais pris soin de prendre ma veste portant les armoiries de ma famille, une gravure symbolisant un une grande peau tannée étalée et marquée d'un kunai en son centre. C'était le symbole de l'union de la famille de mon père, tanneur de cuir depuis des temps immémoriaux, et de la famille ninja de ma mère, réputée en son temps mais éteinte depuis plusieurs générations d'un point de vue shinobi. Je doutais que mon père est jamais tannée une peau lui-même, car désormais la richesse était acquise, mais malgré tout, il conservait cet insigne renommée. Et je savais user de cette renommée à des fins plus ... personnelles. Ainsi les 2 gardes de faction devant la porte ne voulurent pas en apprendre d'avantage sur ma destination quand je leur dis que j'avais à faire. Mon père était connu pour être intransigeant envers toute personne qui me contrariait. Et maintenant que je voulais être libre, ce petit côté papa poule me serait bien utile.
Je n'avais pas fait 500 mètres qu'un jeune garçon, 14 ans tout au plus, vint me mettre un coup de poing. Il était sorti de nul-part et m'asséna un coup assez violent pour me faire reculer et tomber dans la boue. Sans même réfléchir, je me remis debout et, sautant en avant, je pris mon adversaire a la taille en lui enfonçant la tête dans l'estomac. Après quelques coups de poings échangés, il me repoussa et se remit debout.

- Donne-moi ton argent ou je te tue !

- J'ai pas d'argent sur moi, fou moi la paix !

- T'as forcément de l'argent, tous les Asuka ont plein d'argent !

Et à ces mots, il reprit la charge. Cette fois, je ne me ferais pas prendre par surprise. Je pris position sur mes appuis et me mis en garde, prêt à renvoyer dans les cordes mon adversaire. Celui-ci fit partir son poing vers ma tête, mais me pencher en arrière me permit d'esquiver le coup. Il ne s’arrêta pas la et fit glisser son pied derrière le mien pour me faire tomber. Le piège échoua quand je fis glisser ce même pied en arrière pour qu'il s’effondre en avant. L'individu tomba, et roula sur le côté pour esquiver le coup de pied qui arrivait sur son thorax. Il glissa sa main dans la poche et en sortit un Kunai, arme normalement réservée aux ninjas. Mais je n'avais jamais vu ce visage lors des cours à l'académie. Il portait pourtant le bandeau de Kumo...

- Ou as-tu trouvé ça ?!

Il n'avait pas l'air de savoir s'en servir et le tenait gauchement. En y regardant de plus prêt, je pus deviner qu'il n'avait jamais appris à s'en servir.

- Tous le monde n'a pas ta chance Asuka, et les gens pauvres doivent voler pour accéder à ce qu'ils veulent.

* Alors c'est ça... Il n'en veut qu'a mon nom... *

Il ne m'en voulait pas personnellement... Il en avait après ma richesse, acquise par naissance et en aucun cas désirée. Bien-sûr, il ne savait pas cela et mes parades mondaines avaient de quoi laisser penser que j'étais comme tous les autres. Lui, était né pauvre, et avait dû se battre pour acquérir moins que ce que j'avais eu de par mon sang. Il en était arrivé aux extrêmes limites pour pouvoir vivre. Et en y pensant, j'aurais fait la même chose a sa place...

- Tu...Tu ne comprends pas... Je ne veux plus être si riche... Je... être libre... voilà ce que je veux.

A ces mots, ses yeux s'illuminèrent. Il lâcha son arme et me fixa dans les yeux, comme ému. Il me dit, la voix pleine de sanglots :

- La liberté.... Et pourquoi cherche tu la liberté, toi qui es si riche ?

- Parce que la richesse seule ne peut combler un homme.

Mes mots semblèrent le détendre, et il vint s’asseoir à côté de moi. Il s'appelait Zuko, et n'avait pas eu la chance d'avoir un père marchand. Son père a lui, il le détestait et il s'était enfuit de chez lui pour ne plus jamais le voir et vivre sa vie de la façon dont il l'entendait. Lui et moi, on se ressemblait un peu, sauf que lui était issu du monde des rues. Son passé lui avait enseigné mille et une ruses pour filouter, arnaquer, brigander voler ou escroquer. Il avait dû lutter dans la rue pour survivre. Nous parlâmes toute la nuit, jusqu'au matin, se découvrant l'un l'autre et apprenant à s'apprécier mutuellement. Au soleil levant, je repartis chez moi, donnant rendez-vous à mon nouvel ami la nuit même au même endroit. La journée se déroula comme les autres, je ne laissais rien transparaître, jouant a la perfection mon rôle de fils de riche. La nuit arriva et je refis une petite escapade hors du village, sans passer devant les gardes cette fois ci. Notre conversation repris, et encore une fois, le soleil vint mettre un terme à notre entrevue.
Ce scénario ce répéta, 2 ou 3 fois encore, mais un jour, alors que nous allions nous quitter, Zuko me dit :

- Nino, j'ai ... un coup demain soir.

Avec une crédulité infantile, je lui répondis :

- Quoi ?

- Tu sais, un cambriolage

Il m'avait raconté certains de ses plus beaux coups, et chaque mot sortant de sa bouche m'avait fait vibrer d'émotions. Mais là, c'était pour de vrai. Demain à la même heure, il ne serait peut-être en prison ou peut-être même...

- Et je pensais te demander de m'accompagner.

J'avais déjà envisagé qu'il me le demande et sans vraiment me l'admettre, j'avais peur des conséquences de mes actes.


- Cette fois je pensais aller faire un tour chez Roku, le tanneur de l'aut' coté d'la ville. Vu ce que tu m'en as dit, ce type est pas des plus nets et j'ai cru comprendre que lui et ta famille avait quelques soucis de concurrence... Et le hasard a voulu qu'un ami me demande du cuir.

Ça, c'était le coup en or. Aider ma famille en saignant à blanc un marchand crapuleux. Là où mon père était respectueux de la tradition et du respect, Roku lui n'hésitait pas un seul instant à multiplier les magouilles pour s'en tirer à meilleur compte. Beaucoup de ragots douteux planaient au-dessus de sa tannerie, mais sa culture du secret doublée d'une dizaine de gardes avaient su dissuader la plus des gens de fouiner. Dans une semaine ou deux, il devait rencontrer mon père et un marchand venu du nord pour signer avec l'un ou l'autre un contrat d'une très grosse valeur pour des armures en cuir. C'était l'occasion d'évincer ce rat...

Le coup se déroula sans encombre et je réussis même à mettre la main sur quelques comptes trafiqués qui apparurent miraculeusement au grand jour, cloué en plein milieux de la place du marché.
Ce fut la première fois qu'un cambriolage me permit de manipuler quelqu'un, jusqu’à sa chute... Mais la chute avait été bien trop lente... 2 semaines plus tard, nous cambriolions un banquier très riche et cribler de dettes mais qui refusait catégoriquement de les payer. Cette fois, nous fîmes disparaître une grosse partie de son trésor, sans trace, laissant les 15 gardes avec quelques éraflures tout au plus. L'affaire traîna mais le butin ne fut jamais retrouvé. Mais le banquier lui avait dû payer ses dettes, redonnant leur argent à des familles aux abois.
Pendant 4 ans, notre jeu continua alternant entre commerce et académie le jour, entre entraînement et cambriolage la nuit. L’entraînement m'aidait à m'améliorer et je n’hésitais pas à user le soir même de techniques apprises le matin. Je devins un expert de la discrétion, me fondant dans mon environnement, guettant sa proie comme un prédateur. Un fauve agile sommeillait en moi et si cette agilité c'était déjà démontré par l'éloquence, elle n'en était que renforcée par mes talents à me confondre avec les ombres. Le suiton s'était éveillé assez tôt en moi et je l'avais dompté pour en faire une arme de discrétion. Il n'y avait aucun bruit lors de mes attaques, puis la cible s’effondrait, inconsciente. Zuko lui, il était plus dans le crochetage et le vol. Je l'avais même vu dérober une clef à un garde en poste devant un mur. Ses mains n'avaient fait que caresser la poche, et un petit objet brillant avait scintillé un instant avant de disparaître sous ses mouvements experts. Ça, c'était Zuko. Pas un bruit, pas une trace. Quant aux cambriolages, ils me servaient souvent à très court terme, d'abord pour dénoncer les dérives de ce monde, puis pour faire chanter ces riches impudents, avant de mettre aux abois tous les Puissants qui ne protégeaient pas assez bien leurs secrets. Nous n'avions qu'une règle, pas de meurtre, car personne ne méritait de mourir assassiner dans son sommeil. J'avais pour ma part laissé quelques gardes en sale état après avoir essayé de nouvelles techniques dessus, mais rien d'irréversible. Mais à chaque fois, j'acquérais du pouvoir... aussi bien au niveau de l'influence qu'au niveau des arts shinobis. Et le cycle continua, m’entraînant petit à petit vers ce désir de pouvoir, qui devint une soif et qui, comme un cascade sans fond, ne sera jamais étancher.

Rêve et liberté.
La guerre terminée, tout le monde se prenait a rêver. Je rêvais de gloire et de puissance, je voulais créer mon empire, battit sur la force et la négociation, une nation qui aurait la force de supporter les complots à venir... Les trahisons seraient multiples dans peu de temps et je ne donnais pas cher d'un ninja isolé... La seule solution, c'était de mûrir, encore, et de comprendre ce nouveau monde dans lequel j'évolue, puis de bâtir une nation sans précédente dans l'histoire. Une nation ou il ne serait pas question de richesse ou de pauvreté, mais de force et d'intelligence car ces 2 maîtres mots seraient bientôt les seuls capables d’empêcher le monde de courir à sa perte. Et si je ne trouvais pas assez de fidèles pour rejoindre ma nation d'élite, j'avais pour idée de former une équipe plus petite mais dans le but de former une équipe ultime, et maintenir le monde du bon coté de la balance
.

Le clan Kanko de kiri.
Richesse :
Le talent premier des Kanko est leur capacité a s'enrichir. Ou qu'il soit, seul ou accompagné, un Kanko arrive toujours a se faire de l'argent. Certains, certes, ne sont jamais devenus plus que d'humbles marchands, mais d'autres ont cotoyé et meme secondé les grands de ce monde. Si