Shidou Kyouin

NOM

Prénom

In Rp...

• Âge : 25
• Nom : Kyouin
• Prénom : Shidou
• Nindo : Assurer l'avenir de Kiri!
• Village : Kiri
• Clan : Kyouin
• Grade : Juunin
• Bingo-Book

On n'oublie pas un visage...

Si il y a une chose que l'on m'a toujours reprochée, ou plutôt fait remarqué, c'est que je dois être le plus banal des personnages. Les cheveux noirs tout comme mes yeux, j'ai toujours représenté la parfaite banalité. Mes rendez-vous avec les filles se sont toujours mal passé! Quand vous sortez avec une fille et qu'elle vous trouve moche, vous savez que tout les goûts sont dans la nature, si elle vous dit que vous êtes énervant, vous savez que vous pouvez travailler sur ce point, mais que faire quand elle dit que vous êtes juste … trop ordinaire? J'ai souvent travaillé sur mon esthétique en espérant faire ressortir un point spécial, mais rien n'y fit. J'ai essayé d'être plus drôle mais j'étais encore trop banal! Passons sur ce côté de mon existence. Je porte l'armure officielle de la garde de Kiri! Fier junin de ce grand pays, je l'astique tout les matins et je le nettoie le plus souvent possible pour bien représenter la nation! Je n'ai aucun trait particulier sur mon visage ni sur mon corps. J'ai toujours un kunai sur l'une de mes hanches pour prévenir toute attaque surprise et j'ai un mouchoir sur mon autre hanche car je suis souvent enrhumé! J'ai une grandeur moyenne qui me permet de passer partout sans me faire remarquer!.

Dans les méandres de mes pensées...

Toujours courageux et à l'affût! Possédant une concentration exemplaire digne des plus grands mizukage! C'est ce que j'aurais voulu, c'est que j'aurais souhaité, mais j'en suis vite venu à l'évidence que je n'étais pas l'un de ces héros avec du tact et qui donnait toujours la bonne impression. Au contraire, je dis parfois des choses sans penser aux conséquences immédiates qui venait avec. Le manque de tact et un peu trop de franchise a toujours fait partie de mes défauts. Je vous ai dis que j'ai même failli rater mon examen junin à cause de ça? Bref, je vous raconterai une autre fois. Je ne suis pas le plus courageux de tout les hommes ni le plus téméraire, mais je ravale toujours ma peur et mes craintes et je fonce devant comme n'importe quel ninja devrait faire. J'essaie parfois – maladroitement – de cacher mes sentiments aux autres pour qu'il ne pense pas trop de mal de moi. J'essaie de ne pas trop m'attacher au gens. Ayant été souvent confronté à la mort ainsi qu'à celle de mes amis, j'essaie de rester plutôt distant. Toutefois, lorsque je me fait un ami, il peut toujours compter sur moi pour l'emmener chez lui quand il a trop bu ou quand il a besoin de moi pour réparer sa maison ou encore garder ses mômes! J'ai toujours été considéré comme un bon ami par mes paires. Toujours souriant, je salue les gens lorsque je les croise dans la rue.

Jamais je n'oublierai...

J'ai passé une enfance plutôt tranquille. Le parfait petit étudiant modèle … ou pas. Je faisais les milles et un coup avec mes amis et j'ai souvent pris plus que les autres. Toujours trop gentil, c'est moi qui me prenait tout! Ma mère était une personne très sévère mais aussi très compréhensive. Elle avait compris rapidement quelle genre de personne j'étais. Plutôt que de vouloir me forcer à en être une autre, elle me laissait être moi-même et m'inculquait les valeurs de la famille et du village. À cette époque, j'avais quatre ou cinq ans à peine, mais je m'en rappelle, les gens ne revenait souvent pas. Au début je croyais toujours que c'était de ma faute et que les gens ne voulait juste pas me revoir. Aujourd'hui, j'ai compris qu'il y avait la guerre en ce temps-là et que beaucoup ne revenait pas car ils mourraient. Il y avait de ces gens courageux à Kiri qui partait sans regarder derrière, confrontant la mort en souriant, en étant fier de protéger ceux qui leur étaient chers. Aujourd'hui, je me dis que j'aurais sûrement fait comme eux. Comme eux, j'aurais été courageux, mais comme beaucoup d'entre eux, je ne serais pas revenu.

À l'âge de 7 ans, je suis entré à l'académie. C'était juste à la fin de la guerre. Il n'y avait pas beaucoup d'effectif pour protéger le village et pour assumer les missions quotidiennes, alors les jeunes de ma génération ont prit! Ayant extrêmement d'attentes pour nous, ils ont voulu créer des petits ninjas idéals et parfaits, et ce en le moins de temps possible. Ils ont dû se frapper à un mur. Beaucoup de personne avait perdu beaucoup d'ami et était très négatif. J'étais toujours celui qui leur donnait une bonne petite claque dans le dos pour leur remonter le moral. J'ai vite été élu chef de la classe pour préparer les activités avec les enseignants. J'étais très fier de cet insigne, et ma mère le montrait à tout ceux qui voulait bien l'écouter. Je suis rapidement, en seulement deux ans, devenu genin. Faisant un jutsu parfait lors du petit examen, ils étaient fier de moi et j'ai vite été affilié à une équipe.

Mes premières missions étaient faciles et peu fastidieuses. Attraper des chats, allez porter des messages dans les différents villages de kiri, ce genre de truc. Mon sensei était un homme toujours gentil et affectueux qui souriait tout le temps. Il devint rapidement un modèle pour moi. Avec beaucoup de sagesse et de puissance, il jugeait toujours la situation pour la tourner à son avantage. Mon équipe comportait deux autres ninjas du même âge que moi. L'un d'eux était un gamin toujours impatient qui fonçait toujours dans le tas. Je devais souvent le prendre par l'épaule jusqu'à ce qu'il soit soigner. Avec nous, une fille très colérique se voyant déjà la maître du monde. Même si ce n'était pas l'équipe la plus forte du village, nous revenions souvent avec une mission accomplie.

Après une trentaine de mission, je fût nommé chunin. Pas le premier mais loin d'être le dernier de ma classe, j'étais considéré comme un bon élément des genin. Ayant déjà quelques techniques à mon actif, je prenais de plus en plus confiance en moi à chaque mission. Mon sensei, souriant, me mettait la main dans les cheveux alors que je recevais le certificat qui me nommait à ce grade. Cet homme était bien jusqu'au bout des dents. Les missions commencèrent à être un peu plus difficile à partir de ce moment. Même si les temps étaient calme, je me rendais toujours de plus en plus loin dans le pays et effectuais des missions un peu plus dangereuse à chaque fois. Les missions qui consistaient à trouver un chat ou un chien se transformaient maintenant en mission pour retrouver un dangereux criminel ou encore à protéger des objets. Il y avait beaucoup d'action et je ne m'ennuyais pas. Sur les longs chemins qui me séparait de ma maison natale, je trouvais le temps d'apprendre des nouvelles techniques. Ce n'était pas les plus puissante mais elle me permettait de réussir mes missions et de rester en vie. Il fallût environ deux ans de missions intenses pour que je sois rappeler chez moi. Mes parents m'attendaient, souriant, à l'entrée. Ils avaient su que je revenais. Après être allez prendre quelques verres de sake avec mon père et ensuite avec des amis resté au village, je m'endormis rapidement. Le lendemain matin j'étais appelé à voir les hauts instances des shinobis de kiri. Pas le kage, évidemment, mais le chef des chunin et des junin. Je me rappelle très bien, j'avais 15 ans à cette époque. Ils m'apprirent qu'un tournoi aurait lieu l'année d'après pour tout ceux qui voulait devenir junin. Bien que les places étaient limités, les hommes m'avaient sourit en me disant qu'ils voulaient m'envoyer là-bas et que je serais prêt.

Je resserais mon bandeau et je repartis le sourire aux lèvres. Je menais la vie exemplaire du petit shinobi qui montait lentement les grades à son rythme. Cette année-là se passa rapidement. Faisant des missions par ci par là avec des équipes différentes, mais vie fut parfois mise à l'épreuve mais je prenais toujours la vie au positif et me disait que ce qui ne me tuais pas me rendait plus fort.

Je passa l'examen jûnin difficilement. Me battant contre un shinobi et dans des épreuves hors norme, je fit comme mon maître me l'avait apprit : j'avais analysé toutes les situations et avait tenté de les retourner à mon avantage. Ça n'avait pas été facile et parfois presque impossible, mais mon positivisme me sortit de toutes les situations périlleuses.

Je retournais au village plus confiant que jamais. L'on me donna l'armure des junin de Kiri que je porte encore aujourd'hui, à tout les jours. J'ai travaillé toute ma vie pour l'avoir cet insigne, et je l'avais enfin. Maintenant, je me faisais donner des missions très dangereuses mais j'ai toujours une équipe douée et très talentueuse à mes côtés. Je ne crois pas être moins fort qu'eux, car je réussis toujours à donner mon petit grain de sel et à faire réussir mes coéquipiers et moi-même. Maintenant, après plusieurs missions, j'ai 25 ans et je suis enfin prêt à faire ce que mon maître a fait de moi : prendre en main des petits genin de notre village et en faire des ninjas doués et respectueux de la professions. Prendre la vie avec positivisme et m'amuser autant que possible!

Mon clan, mon honneur

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Vie

Privée