Le philosophe débarque ( ouvert )

Plusieurs lunes avaient passés depuis la dernières sortie de Tezuka, après tout c'était difficile pour lui, ayant été accusé d'avoir évité de prêter main forte au ninja de Konoha lors de la fameuse attaque d'un type de  Iwa par manque de patriotisme il avait été sous surveillance d'Anbus qui avaient été autrefois lors de missions diverses ses partenaires. Tezuka n'avait pas un esprit très défiant donc il avait passé le dernier mois à regrouper, analysé et étudier ses notes déjà amasser sur les gens qu'il avait déjà osculté. Cependant, tout c'était calmé, après avoir prouvé son utilité et son despotisme bien plus accru que il ne laissait croire. Après tout la force de Tezuka n'était pas justement de faire croire ce qu'il voulait à qui il le voulait bien?

De plus, Konoha devenait de moins en moins convivial, avec le double examen à Kiri toutes l'attention y était allant même jusqu'à négligé les conflits précédents. C'est à ce moment que Tezuka refit son grand sac qui trimbalait son nécessaire pour ses recherches et surtout pour son thé, on voyait même une théière accrocher par une petite chaînette pendre de son sac. Son bob qui lui cachait les yeux et sa canne à la main comme si il en avait vraiment besoin pour marcher, il c'était mit en route vers le village caché du brouillard. Il avait mit un certains temps à s'y rendre n'hésitant pas à faire des détours par les sites touristique afin de vendre et partager son thé avec différent cercle social, peaufinant ainsi ses notes.

Le cynique arriva devant Kiri, la sécurité était bien moins contraignante en temps d'examen, donc il n'avait pas à se soucier le moindre du monde de jouer un rôle pour y entrer. D'ailleurs, peu importe il pourrait faire croire qu'il venait simplement encourager les gens de Konoha, puisque partout c'était un acquis biaisé que l'on aimait toujours ceux de notre nation avant celle des autres, mais Tezuka n'était pas un ethnocentrique et encore moins un colonialiste du genre. Ouvert à tous et au lumières de partout. L'homme marcha paisiblement dans l'allée de l'entrer du village, ne portant pas attention aux gens qu'il croisait.

Tezuka garda silence, il gardait son regard sans envergure en direction de la théière qui chauffait graduellement sur le feu. Il avait cette manie de ne jamais avoir l'air totalement présent ou conscient au moment présent, mais ce n'était pas l'air qui définissait une mélodie, tout comme ce n'est pas l'air qu'il laisse voir qui le définit, c'était le faute de ceux qui percevait prématurément les autres qui étaient dans l'erreur. Tout comme cette manie, de juger de l'importance ou l'agréable d'une personne en se basant sur le village ou il est née, chose qui est basé que sur la fortune ou non du sujet. Cette petite réflexion quotidienne mais combien rationnel prit fin lorsque de la petite vapeur sortait de la théière.

Quand l'homme invita Tezuka à lui offrir la seconde tasse il esquissa un léger sourire en coin montrant une sorte de moquerie. Voila que l'atmosphère avait bien changé tout à coup. Il des herbes dans la théière et y ajouta un peu de liqueur sortant d'une petite bouteille brune, à l'odeur brève un expert reconnaîtrait l'odeur du Sake. Le maestro conclu la conception en y ajoutant deux petite feuille verte et referma la théière la laissant infusé tranquillement. Il releva un peu le menton pour entrevoir l'homme entres les cheveux qui cachait ses yeux.

- C'est incroyable ce que l'esprit humain est étonnant, il y a de cela quelques instants j'étais un  Jeunot qui gênait ta personne et maintenant je deviens un '' cher''.

Tezuka laissa son interlocuteur sur cette remarque, il pouvait en faire ce qu'il voulait après tout. Si il devait monter sur ses grands chevaux, les conséquences suivront et concluront son analyse d'aujourd'hui. Tezuka prit son instrument de cuisine et versa délicatement le thé dans les deux tasse. L'odeur teinté de menthe domina rapidement la petite abris, attirant même l'attention de quelques passeurs qui se contentaient de simplement regarder d'où l'odeur provenait et continuaient leurs chemins.

- La réussite d'une bonne préparation tient majoritairement au choix de la méthode, de l'eau et de sa température, ainsi que du temps d'infusion. Cela demande une certaine connaissance, sous risque de rater l'infusion, c'est presque plus difficile que d'être ninja.

Il glissa la tasse sur le sol et la laissa à quelque décimètres de l'étranger aux allures louches. Tezuka prit sa tasse et la renifla un peu afin d'en profiter le parfum délectable et suave de sa boisson. Cependant il n'en prit pas de gorger tout de suite, et garda silence fixant nul part, toujours le regard caché par son ornement sur sa tête.

Le psychanalyste avait vue venir cette réaction de très loin, la première gorgée quand on nous offres un verre est souvent redouté. C'était un manque de confiance, mais celui-ci était justifier par la société. Dans ce monde de traîtrise et de violence il ne fallait pas être étonné de voir quelqu'un refusé de prendre la première gorgée quand autrui nous offrait à boire sans raison. Particulièrement si on était dans un milieux hostile. Donc Tezuka concluait que l'homme n'était pas établi ici, du moins pas dans le présent immédiat. Il ne poussa pas plus loin sa théorie sans avoir besoin de poser la question pour vérifier si il se trompait. Le fourbe ne se trompe jamais, il trompe seulement les autres. Il ouvrit la bouche et laissa glisser un '' avec joie '' Il sirota longuement et tendrement sa tasse, savourant chaque goûte qui glissait sur ses papilles, c'était une orgie de saveurs fructueuses. Il redressa la tête, tenant toujours délicatement sa tasse par le dessous étant dénuée de pogné.

- Pourquoi es tu revenu ici? Tu as réussis à améliorer ton niveau au sabre, donc tu te sent plus confiant en toi pour représenter ton État ?

Par état, il était évident qu'il ne parlait pas de l'être mais bien de l'organisation qu'il représenterait. Cette homme dégageait un air bien trop particulier pour être un simple samourai vagabond. Son regard était bien plus pesant qu'un marchand, cependant cette intensité n'affectait pas l'indifférence et la mollesse de Tezuka, qui avait passé ses dernières années à essayer de comprendre l'homme au sens propre. C'était nécessaire de pouvoir se comprendre pour se faire confiance enfin de pouvoir un jour marcher, tout le monde, main dans la main sous un ciel vespérial. Après quelques petite gorgées Tezuka posa sa tasse à même le sol. Il prit d'une main la théière et la secoua légèrement, pour en constater qu'il en restait encore puis la reposa.

- Je ne saurais définir si j'apprécie vraiment ce thé, ou si je me suis convaincu en disant que c'était le meilleurs de tout les temps. Il est difficile de choisir ce qu'on préfère vraiment puisque les circonstances nous sont pas toujours favorable pour apprécier de bon délices.

Tezuka leva un sourcil quand son interlocuteur parla de deuil, il avait donc vue faux, mais de très peu. Sans connaître de fait la situation, le psychanalyste approuvais l'idée qu'il était préférable de s'éloigné de sa voix quand nous vivions un événement qui pourrais avoir des répercussion sur nous et donc sur notre objectif. Beaucoup trop de gens se laisse entraîné par les situations et se retrouve sous l'influence de leur sentiments et régressait au lieu d'en prendre de la graine.

- Un deuil ..

Dit il simplement, sans en demander d'avantage, il était très rare que le ninja posait des question directement à une personne, préférant les poussé à donner les réponses qu'il voulait sans avoir à posé le moindre question. Cependant, bien qu'il ne pouvait s'empêcher d'étudier la personne il n'y portait pas d'intérêt particulier donc il n'avait pas besoin d'utiliser quelconques astuces, il se cherchait simplement un camarade pour discuter autour d'un thé chaud, chose qu'il n'avait pas fait depuis longtemps, et il avait improvisé ce thé à la menthe et saké rapidement après avoir sentit la légère odeur de saké émanant de l'homme lorsque celui-ci lui avait respiré au visage. Tezuka versa le restant de la théière dans les deux tasse et secoua légèrement sa tasse afin d'égalisé le goût de la menthe sur la totalité de son liquide et se remit à le boire à petite gorgée.

- Kiri est un village bien peu joyeux pour ce genre de boisson, les villageois et ninjas de Kiri laisse trop les vieilles histoire de ce village affecté leurs attitude et jugement, mais pourtant ce n'est plus ce que c'était, il en facile d'en déduire, il n'existe plus vraiment d'assassin de renommée autant par leurs accomplissement que par la quantité de sang versé. De plus, ce brouillard constant est d'une contrainte épouvantable pour les voyageurs qui veulent profité du paysage.

Entres chacune de ses phrases Tezuka souriait d'un air louche et douteuse à tout les passants qui dégnaient tourner la tête vers eux, ils ne devaient pas être habitué de voir des itinérants boire du thé à même le sol.