Kuusou Ryuchi-Ni: Double Compte de Naeko Esuki

Ryuchi-Ni

Kuusou

Mon identité, ma vérité...

• Âge : Entre 10 et 15 je sais pas ..
• Nom : Ryuchi-Ni (ou autrement Orinposu)
• Prénom : Kuusou
• Nindo :
• Village : Iwa
• Clan : Ryuchi et Orinposu
• Grade : Chuunin
• Bingo-Book

Mon corps mon intimité... Mes pensées, ma liberté...

Kuusou a une dizaine d’années, pour son âge le jeune homme a une taille correcte, il mesure un mètre soixante-quinze. Au niveau corpulence on pourrait le comparer à un athlète étant donné que son corps entier est musclé. Il possède un teint qui varie souvent entre le blanc et le brun grâce au Soleil. Au touché son visage est assez lisse et au visuel il a une forme triangulaire dont le menton est un peu arrondi. Ses cheveux bleus (naturel hein !) sont plutôt longs, la plupart d’entre eux se regroupent pour former des mèches, le tout dans une coiffure non travaillée. En dessous de son front il y a une paire de sourcils qui sont assez épais, laissant place à deux yeux d’un azur flamboyant qu’on pourrait apercevoir à des kilomètres à la ronde. Son nez ne passe pas inaperçu, ce n’est pas dû à sa taille mais à sa forme [oui il manque un mot]. Contrairement à sa bouche même étant fine elle est assez grandes. Il faut aussi savoir que ce jeune ninja n’a jamais un poil sur sa peau, il est imberbe et l’a toujours été. Ses épaules sont arrondies, ses mains sont assez grande tandis que ses jambes sont les mêmes que celle d’un vrai homme.

Concernant son style vestimentaire le jeune ninja est assez ouvert à toute tenue. Ce n’est pas pour cela qu’il ne possède pas sa propre apparence qu’il lui est unique. Où qu’il soit et quoi qu’il fasse, il porte un chapeau possédant deux cornes qu’il ne retire jamais sous aucun prétexte, cela lui donne un air mystérieux.

Par ailleurs le jeune homme est vêtu par des vêtements provenant de sa famille. Il possède plusieurs tenues dont deux ressortent le plus souvent.
Premièrement, il y a la tenue du quotidien. Elle est composée d’une paire de tong en bois, d’une tunique bleu aux bords orange qui est surplombé par une ceinture faite en corde et un fin gilet bleu foncé. Cet assemblage reflète l’appartenance à son clan.

Ensuite il y a la tenue plus légère. Elle est constituée des mêmes bases (couleurs, matière…).  Il la porte plutôt  pour le combat car elle est faite à partir d’anciennes affaires abîmés ou délavés. Par exemple contrairement au premier uniforme il porte un short tout troué qui est maintenu par une vieille corde.

Au niveau du mental Kuusou est assez perplexe. On pourrait dire qu’il possède plusieurs personnalités mais toutes ne font qu’une. Le ninja est assez cultivé et instruit mais cela laisse quand même place à un manque d’intelligence qui se fait parfois ressentir lors de ses interventions. Il a une capacité identique à celle des poissons rouges, il oubli parfois très rapidement ce qu’on lui dit ce qui débouche aussi sur sa manie à être maladroit. On dit souvent que cet homme bleu est assez curieux et c’est vrai, il ne peut s’empêcher de se mêler des affaires des autres tel un détective privé, il est tout le temps là en train de se mêler des affaires des autres que ce soit de manières discrètes ou non.

Son regard sur le monde est assez mélancolique, contrairement aux égoïstes il est très touché en ce qui concerne la faune et la flore ou encore l’évolution de l’espèce humaine. Pendant des moments de tristesse il arrive à penser qu’une telle civilisation ne devrait jamais exister. Pour lui la philosophie est bien plus qu’un art, c’est une façon de s’exprimer en se détachant des chaînes auxquelles le monde ninja nous à emprisonné. Il a toujours de la peine pour les personnes ou animaux qui souffrent, pour lui les lois du monde sont injustes bien qu’il soit forcé de les respecter. Sa vision du monde est assez complexe, il pense que les humains ne sont pas si intelligents que ce que l’on pense. Par exemple, tous ce qui concerne la mode, les critiques ou les styles pour lui ne sont que des inventions idiotes que des personnes ont inventées pour se sentir supérieur aux autres. La supériorité est un sujet qui le touche vraiment, il n’aime pas quand des personnes en écrasent d’autres.

Ma créatrice, maman...

C’est au loin de toute civilisation, entre les frontières du pays du Feu et celui de la Foudre, dans un champ de neige entouré d’une forêt que se trouvait un tout petit village indépendant. Celui-ci n’était même pas un village on pouvait le qualifier plutôt d’un rassemblement de quelques maisons. Ces maisons appartenaient à des fermiers, agriculteur ou voir même ancien ninja ayant voulu quitter le système shinobi que ce soit par volonté ou non.
Ce village était entouré de long et large champs de blé en été mais en hiver on y retrouvait que de la neige. Un village entouré de champs qui sont eux-mêmes entourés d’une immense forêt, un décor parfait pour une vie parfaite.

Cette petite localité possédait quatre grandes maisons de quatre familles différentes. Chaque maison possédait aussi un grand jardin, les citoyens de cet emplacement n’avaient pas vraiment de limite de place, ce terrain ils le détenaient grâce à l’argent. Outre les maisons il y avait aussi un atelier général où on y retrouvait tout pour les hommes et les femmes que ce soit pour la construction, la scierie, l’alimentation, tout le monde pouvait s’en servir. En face de cet atelier on pouvait y trouver une petite ferme vide et au bout du chemin se trouvait une grande tour qui appartenait au chef des lieux.

Ce chef était Oshi Orinposu un ancien guerrier sanguinaire qui avait fait son temps. Il avait fui son village du jour au lendemain pour vivre en paix loin de la population et des missions. C’est lui qui avait acheté un vaste terrain pour en faire ce lieu paisible, ce village qui s’appelait désormais Ni no Sato. Oshi vivait en ses lieux avec sa fille, sa femme était justement morte lors d’une mission c’est aussi la raison de son départ. Sa fille portait le prénom de Kusha, son père craignant qu’un malheur pouvait tomber sur elle dû à son nom de clan, la renomma Kusha Ni, pour Oshi il suffisait d’un peu d’argent pour mettre les services à ses pieds.

Malgré son âge Oshi était plutôt en forme. Il était assez grand et musclé. Bien que ses cheveux étaient blancs sa beauté n’en était pas affectée, cela faisait justement son charme, ses cheveux étaient coiffés en bataille. Son visage était un peu ridé, ses yeux gris reflétaient le vide, son nez était plutôt long mais fin, quant à sa bouche, elle était de taille moyenne. Sur son menton il y avait deux petites barbichettes qui pendaient vers le sol. Oshi ne se promenait jamais sans son bâton et son armure, ceci était une règle de sécurité pour lui.

Kusha détenait une longue chevelure bleue qui ne correspondait à aucun caractère héréditaire de son clan, ceci restait un mystère. Vers sa vingtaine d’années elle faisait la même taille que son père. Son visage était triangulaire, ses yeux eux étaient assez grands d’une couleur marron et son nez était très petit. Elle possédait une forte poitrine et cela attirait vachement les jeunots du coin même s’ils n’étaient pas plus de cinq.

1. [Ce numéro vous indique qu'une fois après avoir lus cette partie de l'histoire vous pouvez vous référencez à la partie "Le Bien a un prix, ce prix est le Mal..." ou vous pouvez y lire un autre point de vue de l'histoire avec plus d'informations. Il y aura d'autres numéros rouges comme celui-ci. Il se suivent dans l'ordre chronologique de l'histoire.]

Oshi avait promis la main de sa fille à un jeune Fumetsu en échange d’une grande somme d’argent et de beaucoup de ressources pour son village. Il comptait plus tard la récupérer en attaquant les Fumetsu grâce à une élite qui l’aurait payé. Le soir où il annonça à sa fille qu’il lui avait choisi un gendre celle-ci s’énerva, elle gifla son père avant que les larmes ne coulent sur ses joues puis elle s’échappa de chez elle.
C’est ce jour la qu’elle rencontra Shinobûjin son futur mari.

Mon créateur, papa...

Au lieu de commencer banalement à vous conter l’histoire du personnage central, il serait mieux d’en savoir plus sur l’origine de sa création ou autrement ses parents.

A Iwa il y avait un ninja prodige qui faisait partie du clan des Ryuchi, celui-ci se nommait Shinobûjin. Il était de la branche primaire des Ryuchi, même s’il n’avait plus trop de contact avec sa famille il maîtrisait parfaitement les techniques héréditaires de son clan.
Shinobûjin était assez grand, il approchait les deux mètres. Proportionnel à sa taille, son poids n’était pas bas, il était plutôt élevé mais ses entraînements faisaient qu’il n’avait pas à craindre un risque d’obésité vu que toute sa graisse disparaissait pour laisser place à des muscles. Son visage était lisse, il ne comportait aucune trace de rides, sa forme elle était assez triangulaire. Son teint était livide, on aurait pu le confondre avec un esprit, voir même un vampire.

Ce preux shinobi étaient vénéré par certains car ses compétences restaient incroyables mais, il restait détesté par d’autres vu qu’il n’était pas originaire d’Iwa mais d’autre part. Cet homme était réputé pour avoir effectué de grandes missions périlleuses sans n’avoir fait aucun échecs. C’est justement lors de l’une de ses missions que sa vie prit un tout autre sens.

Shinobûjin vivait dans un appartement,  vu qu’Iwa n’était fait presque que de ça. Tous ayant la même architecture : des murs en terre, des fenêtres en trou et parfois des sorties d’eau sur les murs qui laissaient place à des cascades.

L’appartement du Ryuchi était composé de principalement trois pièces. La porte d’entrée donnait sur la cuisine qui était reliée au salon qui lui-même faisait office de chambre tandis qu’en face de la porte d’entrée se trouvait la salle de bain. Un petit appartement pour une personne assez connue mais, Shinobûjin ne se préoccupait pas de son habitat tant qu’il avait un toit.

C’est un beau matin de brume que Shinobûjin se fit réveiller à cause d’un bruit extérieur, ce bruit se répétait sans cesse. Il sortit donc de son lit et se rendit compte qu’un homme toquait à sa porte. Une mission importante l’attendait. Il prit donc ses affaires et c’est ainsi que débuta son long voyage pour les frontières d’Iwa.

Suite à des jours de voyage il avait enfin ses proies en vue. Shinobûjin chassait des déserteurs depuis un petit moment et là il tenait carrément une bande Nukenin qui complotait autour d’un feu de camp pendant que lui se cachait derrière un arbre. Il allait passer à l’acte, il se rapprochait doucement du camp des déserteurs mais ,il se fit brusquement foncer dessus par une femme.

Les deux se relevèrent tandis que les bandits fuyaient c’est ainsi que Shinobûjin rencontra sa future femme. Le shinobi se questionnait, d’où venait-elle mais, surtout pourquoi des larmes coulaient le long de ces joues. Cette femme lui expliqua son désespoir à propos de son avenir car son clan lui réservait un mystérieux sort. Shinobûjin ne put s’empêcher de la réconforter en oubliant sa mission et cette nuit là que Kuusou fut conçut.

Mon passé, mon vécu

Un jour de plus venait de voir le jour sur le calendrier du temps, comme à son habitude le monde ninja criait, il criait de joie, de surprise, de bonheur, de jouissance, d’ivresse, de peine, de haine, de mélancolie, de colère, il criait pour une infinité de raisons mais il y avait un cri à Iwa qui se faisait bien entendre.

Lequel ? Celui de la naissance.

2. [Ce numéro vous indique qu'une fois après avoir lus cette partie de l'histoire vous pouvez vous référencez à la partie "Le Bien a un prix, ce prix est le Mal..." ou vous pouvez y lire un autre point de vue de l'histoire avec plus d'informations. Il y aura d'autres numéros rouges comme celui-ci. Il se suivent dans l'ordre chronologique de l'histoire.]

On aurait pu croire que ce son provenait des hôpitaux mais ce n’était pourtant pas le cas, ce hurlement résonnait dans les ruelles des quartiers résidentiels. Peut être venait il d’un hôtel ? Non le cri venait d’un endroit plutôt isolé, un endroit où les grandes maisons de terre régnaient. C’est d’ailleurs dans une ruelle de ce coin retranché de la ville qu’une femme courrait avec un sac à la main. Son cœur bougeait aussi vite qu’un battement d'ailes de mouche, ses pieds frappaient le sol à pleine vitesse en laissant tomber derrière eux la paire de chaussure, les cuisses se frottaient l’une contre l’autre à chaque pas, la poitrine de cette femme sautillait de haut en bas, ses cheveux flottaient dans l’air, sa bouche ouverte avait de la peine à respirer, ses yeux louchaient pour repérer les moindres détails qui pourrait faire échouer la course de cette dame. Une fois la rue de pavé traversé, la femme tourna à une intersection et défonça la porte d’une maison avec son pied. Après quelques pas la coureuse était enfin arrivé à son but, l’origine du cri était devant elle.

Face à elle se trouvait sur un canapé, une femme à la chevelure bleue et au gros ventre. Elle était en train d’accoucher tout en criant. Au côté de cette femme il y avait son mari, un homme à la peau pâle qui l’encourageait et lui tenait la main. La dame qui avait parcouru les rues, n’était autre qu’une ancienne ninja devenue médecin, ami au couple elle était là pour aider à l’accouchement. C’est après plus de neuf heures que le bébé au nom de Kuusou fut enfin sorti du ventre de sa mère.

Résultat de l’accouchement : une porte cassée et un bébé né

Kuusou vivait dans une grande maison à Iwa avec sa mère Kusha Ni et son père Shinobûjin Ryuchi, les trois formaient une famille heureuse. L’enfance du petit se déroulait à merveille, comme tout enfant de son âge il était assez curieux et il posait sans cesse des questions.

C’est à son entré en académie que pour lui la vie devenait plus délicate, il était passé aux choses sérieuses et ça son père lui faisait remarquer en l’entraînant chaque soir. Sa mère elle restait au petit soin avec son unique fils, elle était toujours à son écoute. Le jeune étudiant prenait conscience de ce qu’allait être sa vie, contrairement aux autres élèves il ne jouait plus à la balançoire ou autre chose enfantine du même genre. Il passait son temps à étudier ce qu’est un ninja, l’art du combat, ce qu’est le chakra. Pendant qu’il était libre il traînait souvent en dehors du village pour s’exercer au pied des montagnes rocheuses. Bien qu’il s’entrainait chaque soir l’enfant ne maîtrisait presque aucun jutsu sauf ceux de base qu’on lui avait appris à l’académie, ceci était dû au fait qu’il n’avait toujours pas trouvé l’élément de son chakra.

C’est un soir d’été pendant que le soleil se couchait que Shinobûjin emmena son fils sur un terrain d’entraînement. Il prit un bout de papier qu’il donna à son fils. Le père demanda à son enfant de concentrer son chakra dans ses mains. Cela pouvait paraître facile pour tout ninja mais Kuusou mit du temps à y parvenir et une fois qu’il mit une bonne dose de chakra dans ses mains le papier c’était humidifié, comme si de l’eau venait de le toucher. Shinobûjin annonça à son fiston qu’il maîtrisera le Suiton, l’art de maîtriser l’eau.

Shinobûjin et Kusha ne pouvaient plus continuer l’entraînement de leur enfant car tout deux ne maîtrisait pas cette affinité. Pour que leur fils soit un bon ninja ils appelèrent une Ayumi, c’était elle qui avait aidé la mère à accouché. Depuis ce jour la, Ayumi fut la maîtresse du futur shinobi qui progressait assez vite. Il progressait tellement vite qu’il fut promut au grade de Genin et intégra une équipe qui était déjà composée.

3.[Ce numéro vous indique qu'une fois après avoir lus cette partie de l'histoire vous pouvez vous référencez à la partie "Le Bien a un prix, ce prix est le Mal..." ou vous pouvez y lire un autre point de vue de l'histoire avec plus d'informations. Il y aura d'autres numéros rouges comme celui-ci. Ils se suivent dans l'ordre chronologique de l'histoire.]

C’est plus tard que Kuusou eut un blocage dans sa progression, il ne voulait plus accomplir de missions à cause de son Suiton. Il disait que sa maîtrise était trop banal, pas assez forte, qu’il ne se sentait pas différent des autres et que cela lui provoquait un étrange sentiment. C’est pour cela qu’Ayumi entraîna le shinobi a manier une arme assez originale : le souffleur de bulles.

Pour manier un souffleur de bulles il fallait être assez rapide et agile car cela n’était pas assez simple. En effet en combat Kuusou devait avoir le temps de tromper son souffleur dans de l’eau savonneuse puis d’y souffler dedans. Cela lui posa un léger problème à ses premières utilisations mais en enchaînant plusieurs fois le même geste de va et vient et en faisant des combats il fut habitué à un rythme rapide.

Après qu’il avait trouvé sa façon de combattre il s’investissait de plus en plus avec son équipe. C’est ainsi qu’il se rapprocha de ses compagnons et qu’il apprit à les connaître. La team dans laquelle il s’était retrouvé était composée du senseï ainsi que d’une fille et d’un garçon.

La fille se prénommait Tsuki. Elle avait quinze ans, c’était la plus âgée du groupe sans compter le maître. Elle avait de long cheveux mauve voir violet foncé qui lui descendait jusqu’à la hanche. Elle était constamment vécue de longues robes et pourtant cela ne la gênait pas  pour courir ou se battre. De plus l’art du combat n’était pas son point fort, son rôle en équipe était plus le soutient. En effet elle maîtrisait l’Iroujutsu mais ce n’était pas tout, elle avait une énorme quantité de chakra en elle, cela lui permettait de s’en servir comme arme une fois que celui-ci était extrait.

Le garçon se nommait Lupus, il était métis et portait des vêtements assez légers. Il avait treize ans mais il en faisait beaucoup plus. Ses cheveux lisses étaient d’une couleur assez particulière, c’était un mélange entre le bleu clair et le gris. Sur tout son corps étaient tracés des tatouages de couleurs, ceci représentait l’appartenance à son clan qui était une famille mystérieuse et proche de la nature. Ses facultés penchaient vers l’utilisation du Doton et du Fuuton.

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C’est en l’an 95 que l’équipe reçu une mission du nouveau Tsuchikage. Mission qui était du rang C. Elle consistait à reconstruire un petit village situé entre deux pays. Quand Kuusou l’apprit il fut super heureux, il allait enfin découvrir le monde et sortir d’Iwa et de ses contrés mais quand il l’annonça à ses parents ce fut une toute autre réaction. Shinobûjin était heureux pour son fils mais Kusha, la mère, était angoissée car le lieu ou se rendait son fils était le village qu’elle avait fuit, celui de son père. C’est finalement sans aucun soucis que le jeune prit la route avec ses compagnons et son senseï.

5.[Ce numéro vous indique qu'une fois après avoir lus cette partie de l'histoire vous pouvez vous référencez à la partie "Le Bien a un prix, ce prix est le Mal..." ou vous pouvez y lire un autre point de vue de l'histoire avec plus d'informations. Il y aura d'autres numéros rouges comme celui-ci. Ils se suivent dans l'ordre chronologique de l'histoire.]

Les premiers jours les élèves se plaignaient d’avoir mal aux jambes, de ne pas manger la nourriture qui leur plaisait mais au fur et à mesure du voyage ils prirent tous goût au campement, à la survie, à la pêche, aux feux de camps.

Kuusou passait la plupart de son temps dans les pattes de Tsuki qui riait de sa débilité pendant que Lupus découvrait les mystères de la nature. On voyait bien que le souffleur de bulles avait des sentiments pour sa compagne mais ce n’était pas pour autant qu’il délaissait le métis dans sa solitude. Les trois compères s’appréciaient tous, le senseï se faisait discret, il était présent en tant que spectateur, il n’intervenait presque jamais.

Une longue semaine s’était déjà écoulée mais le groupe n’en était qu’au Pays des Cascades. Cette lenteur était expliquée par la présence de genins faiblards et capricieux dans le groupe. Leur senseï se sentait obligé de faire une halte sous la pression de ses élèves, observant depuis le sommet d’une colline, la multitude de cascades qui donnaient au pays son nom. Mais cette vision fut gâchée par la présence d’un inconnu, un homme totalement vêtu de noir et porteur d’un katana tacheté de sang. Ce dernier prit la parole, d’un ton qui signifiait la sommation première et unique, déclarant le souhait de récupérer les trois jeunes ninjas. Le maître refusa la proposition de l’inconnu mais à peine c’était-il exprimé que son corps fut taillé en pièces par la lame agile du mystérieux homme en noir.

La réaction des jeunes ?

Kuusou avait déposé sa main dès l’apparition du tueur, il voulait se combattre, la rage brûlait en lui mais la peur avait pris le dessus, ses yeux fixaient l’herbe qui avait pris la couleur du sang, les morceaux de peau et d’os étalés les un sur les autres. Une petite odeur nauséabonde commençait à se faire sentir, le repas que le Ryuchi-Ni venait d’avaler commençait à remonter le long de son œsophage, son envie de combat s’évanouissait peu à peu tandis que son envie de vomir se faisait ressentir.

Tsuki, l’adolescente du groupe fut choquée. Elle était tombée à terre, elle ne comprenait pas pourquoi et comment cela venait de se passer. Cette pauvre fille savait juste que son maître venait de mourir. Cette scène venait de la mettre sous le choc, elle ne réagissait plus.

Lupus lui avait gardé son sang froid, étrangement cela ne lui provoquait aucune sensation. Il regardait le tueur. C’est d’ailleurs lui qui gueula sur ses compagnons, il leur ordonna de fuir, peut importe la direction, il savait qu’il arriverait à les retrouver.

C’est sous le signal du jeune métis que les apeurés prirent la fuitent en espérant semer l’ennemie. Lupus retrouva facilement la fille du groupe, celle-ci n’était pas discrète. Elle s’était cachée dans un tas de feuillages. Pour trouver Kuusou ce fut un peu trop facile, son cri résonna dans toute la forêt. Les deux survivants c’étaient dirigés vers celui-ci et une fois arrivés sur place ils y trouvèrent Kuusou qui était contre un arbre avec une kunaï dans sa poitrine.

La scène ne se déroulait plus dans une forêt mais dans un marécage remplit d’algues collantes. A la gauche/l’Ouest il y avait le jeune souffleur dont la poitrine saignait avec ses deux amis. Tandis qu’à la droite/l’Est le tueur était présent avec des renforts.

Tsuki s’occupa de soigner le blessé pendant que Lupus se battait contre les ennemies. Même si le jeune genin ne faisait pas le poids il combattait pour gagner du temps afin de réfléchir à un plan de secours. Au fur et à mesure que le temps passait, Kuusou se sentait mieux, Lupus éliminait un à un les adversaires bien qu’il tomba de fatigue au sol. L’adolescente cessa de soigner son allier pour reprendre le combat mais elle fut assommé en seulement deux coups. Kuusou fut à son tour au sol.


6.[Ce numéro vous indique qu'une fois après avoir lus cette partie de l'histoire vous pouvez vous référencez à la partie "Le Bien a un prix, ce prix est le Mal..." ou vous pouvez y lire un autre point de vue de l'histoire avec plus d'informations. Il y aura d'autres numéros rouges comme celui-ci. Ils se suivent dans l'ordre chronologique de l'histoire.]

Ma vue était toute assombrie, ma tête me faisait mal, je ne comprenais pas où j’étais mais j’essayais de comprendre ce qu’il se passait. Mon corps était comme paralysé, j’étais allongé sur quelque chose de glacial, comme un sol. J’essayais tant bien que mal de bouger, que ce soit mes bras ou mes jambes mais je compris plus tard que des cordes me retenaient sur place.

Je sentais une douleur sur mon crâne, cela devait être dû à cause du coup que l’on m’avait donné pour que je m’évanouisse. La fatigue m’attirait vers un long et profond sommeil mais je luttais contre cela. Bien que mes paupières se fermaient je les rouvrais mais elles se rabattaient sur elles-mêmes.
Après un temps inconnu de sommeil je m’étais réveillé, toujours ligoté, mes yeux étaient désormais bandés par un épais tissu noir. J’entendais quelques bouts de phrases prononcées par une voix grave.

– Je vous avez dit…blesser…aucun cas…enfants

Suite à cela j’entendais des pas et c’est une autre voix qui avait pris la parole.

– ...stipulé…contrat…nous….mercenaires…argent

Le sommeil me reprenait, je ne voulais pas dormir, je voulais comprendre ce qu’il se passait, ou j’étais, ou étaient mes amis. Je m’étais à nouveau endormi.


Je venais de me faire réveiller en sursaut à cause d’une douleur intense sur mes bras, j’avais des coupures et je ne comprenais pas pourquoi. Cependant, je devais en profiter car les cordes qui autrefois ligotaient mes mains n’étaient plus la. Pendant que je me libérais mes jambes je m'étais mis à examiner ma situation.

J’étais sur un socle ou plutôt un autel, dans une grotte ronde assez sombre qui été éclairée par une multitude de flambeaux. Autour de moi une espèce de monstre se défoulait contre les hommes qui avaient tué mon maître.  Plus loin, isolé dans un coin un vieil homme récitait des incantations qu’ils lisaient à partir d’une sorte de tablette. Une chose m’interpellais, je ne voyais ni Tsuki ni Lupus.

La situation m’effrayait, je n’avais pas du tout gardé mon sang-froid, je paniquais, j’essayais de démêler les nœuds et les cordes qui me reliaient à l’autel puis l’improbable se passa. Le vieil homme courut vers moi en m’annonçant qu’on devait faire vite, il disait qu’il avait peu de temps pour parler et pour me convaincre de faire ce qu’il allait me dire il m’annonça qu’il était mon grand-père. Ce qu’il venait de dire était vrai, son physique correspondait à la description que m’avait faite ma mère. Ensuite il me donna des instructions mais dans la précipitation je ne comprenais plus rien, je voyais des personnes se battre contre un monstre, du sang gicler, des jambes, des pieds, des têtes au sol. Qui du monstre ou des hommes avaient déclenché le combat ? C’était assez floue dans ma tête, ce n’est pas comme si à ce moment la j’avais la tête dans le cul car je venais de me réveiller.

C’est alors que les assassins immobilisèrent la bête, mon grand-père sortit une lame qu’il s’empressa de chauffer à blanc en crachant une flamme de feu sur elle. Il me prit de force et me la colla sur la poitrine.

A ce moment, pour moi, le temps c’était suspendu, ma douleur était tellement énorme que je pouvais la ressentir à chaque nanosecondes, un cri immense sortait de ma bouche, je m'en pétais les cordes vocal. Mon cœur ne cessait de battre, toujours plus vite, des larmes coulaient de mes yeux. Mon grand père me rassurait, il me disait de rester fort, de ne pas souffrir, il me disait que j’étais un homme.

On m’emmena ensuite devant la bête qui s’affola et se libéra. Elle me fixait, je me demandais pourquoi elle attendait avant de me frapper, j’attendais. Droit dans les yeux je la regardais mais elle ne bougeait pas d’un poil (bien qu’elle n’en ait pas).

– Allez petit fils, c’est le moment, chuchota mon grand-père

Yeux dans les yeux, je ne la quittais pas du regard et elle non plus.

– Les Chaines du Destin nous ont lié, accepte ta vérité et aide moi à accomplir ma destinée. il est de ton devoir, toi Nailus le protecteur, de m'accorder ta force. Accepte-moi comme hôte, et guide-moi.

Chose étonnante, après avoir prononcé cette phrase du vieux, le monstre c’était incliné et il disparut en faisant de moi son hôte. Malheureusement toutes ses actions successives m’avaient vidé de mes forces et suite à cela je fis un malaise.

7.[Ce numéro vous indique qu'une fois après avoir lus cette partie de l'histoire vous pouvez vous référencez à la partie "Le Bien a un prix, ce prix est le Mal..." ou vous pouvez y lire un autre point de vue de l'histoire avec plus d'informations. Il y aura d'autres numéros rouges comme celui-ci. Ils se suivent dans l'ordre chronologique de l'histoire.]

C’est bien plus tard que je m’étais réveillé sur un lit, à peine debout que je ressentais un tas de douleur. Je ne comprenais plus où-est-ce que j’étais, je ne faisais que regardais les alentours sans sortir de la salle où je me trouvais. Quelques minutes plus tard j’entendis des pas alors je me replaçai dans mon lit en faisant semblant de dormir tout en ouvrant un peu mes paupières. Ce n’était que mes compagnons qui venaient d’entrer. Ils m’avaient dit qu’on devait rentrer à Iwa et qu’on avait plus rien  faire ici. Lupus m’aidait à me relever tandis que Tsuki m’habilla avec une longue fourrure. Une fois sortit je pris le temps de regarder les alentours, tout était blanc, la neige régnait dans les environs.


En route vers Iwa je me rendis compte en parlant avec mes camarades que j’avais un léger trou de mémoire et qu’on avait parcouru un certain chemin afin de se faire agresser. Ensuite ce fut le vide et pour finir nous étions dans une auberge d’un village enneigée. Le retour au village fut difficile, mes douleurs ne c’étaient arrêté qu’à la fin du voyage. De retour nous devions faire nos rapports de missions. Je me rappelais de tout jusqu’à la mort de notre maître.

De retour chez moi mes parents me sautèrent dessus et me demandèrent comment c’était passé cette mission. Je leur avais raconté tout ce que je savais en disant que j’avais une légère amnésie. C’est en prenant un bain chaud que je vis une marque étrange recouvrant ma poitrine, je me mis alors à la frotter afin de la faire disparaître mais celle-ci ne partait pas. C’était comme si quelqu’un m’avait marqué. Je devais savoir ce qu’il m’était arrivé mais je ne savais pas par ou commencer.

Bien longtemps après, je m’étais gravement blessé lors d’une mission, mon équipe me ramena en urgence au village afin de me faire soigner à l’hôpital. Mes parents qui étaient prévus arrivèrent sur place rapidement. Ma mère toma en larme, c’est une réaction évidente mais ce n’était pas à cause de la vue ensanglanté qu’elle pleurait mais à cause des tatouages parcourant ma poitrine. Elle savait un tas de choses sur eux, tandis que moi je ne connaissais même pas leur origine. Je voulais lui poser des questions mais ma blessure était trop grande et je perdis conscience par la suite. C’est à mon réveil que Kusha, ma mère, pris le temps de me prévenir que ce qu’elle allait me dire n’allait pas être facile à avaler. Elle m’expliquait d’où venaient les symboles parcourant mon torse, ceci provenait d’un sceau, de la présence d’un démon en moi. Au départ je ne comprenais pas vraiment ce qu’elle m’expliquait mais elle prit du temps plus tard afin de m’expliquer en profondeur.

Suite à cela ma famille informa le Tsuchikage en lui envoyant un rapport à l’écrit. Ce qui me semblait étrange, c’était que je n’avais eu aucun contact pour le moment avec cette âme qui abritait mon corps.  J’attendais sa manifestation avec le plus d’impatiente de jour en jour afin de pouvoir savoir à qui j’avais à faire.

Le Bien a un prix, ce prix est le Mal...

[Vision de l'histoire par un autre personnage, ceci explique certaines choses et laisse aussi des mystères / Etat: En cour]

1.Certes, il avait fuis son village natal en laissant derrière lui ses amis et ce qu’il restait de sa famille. Cela ne faisait pas de lui un criminel, il avait racheté sa lâcheté en gagnant un tas d’argent par tous les moyens existant afin de faire vivre plusieurs familles, loin de la société, loin du monde ninja. Il pensait avoir tout fait pour vivre heureux, lui et sa fille mais son titre de chef de (son) village lui menait en confusion.

C’est ainsi que les larmes coulaient le longs de ses joues, il venait oublier ce qu’était une famille, il avait vendu la main de sa fille à un homme mystérieux. Sur le coup, quand Kusha, sa fille lui donna une gifle il la laissa filer en pensant qu’elle reviendrait et qu’il pourrait arranger cela. Il attendit des heures en pensant que sa fille allait revenir mais elle ne l’avait pas fait. C’est pendant ces heures d’attente qu’il prit conscience de l’acte qui venait de faire, personne n’avait le droit de vendre une personne et encore moins de forcer deux destins à se lier.  

Munis de son équipement naturel, (c'est-à-dire de son bâton et de son armure) qu’il abandonna sa demeure à la conquête de sa fille. Pour cela il devait faire un détour au lieu de suivre les traces laissé dans la forêt par sa progéniture.

Mystérieux, froid, ancestral étaient les mots qui désignaient la place dan laquelle se trouvait Oshi. En allant dans ce lieu il renouait les liens avec son passé, son clan et son futur. Il devait faire quelque chose qu’il voulait faire depuis la nuit des temps, lire la prophétie. Pas n’importe laquelle, celle qui concernait sa descendance.

C’est après avoir lus les liens complexes du temps et du sang qu’il prit sa fille en chasse. Cherchant le moindre petit signe qui pouvait menait sur ses pistes, il était en train de la repérer. Branches cassées, brindilles éparpillées, trace de pas dans la terre et bien d’autres choses menait à Kusha.
Il la trouva et lui demanda de le rejoindre mais celle-ci tentait de s’exprimait malgré les larmes qui coulaient en flot jusqu’à atteindre sa bouche. Le père disait qu’il avait vu le futur, que sa destiné était tracé et qu’elle devait faire un enfant dans les jours à venir. La fille prit une deuxième fois la fuite, sous les yeux de son père qui la suivit pour une deuxième fois.

Oshi regardait sa fille de loin, il la voyait foncer dans un homme. Il attendait que les choses bougent. Puis vint le moment ou Kusha et l’homme qu’elle avait percuté commencèrent à s’accoupler. Oshi, comprit qu’il avait mal interprétée la prophétie, il croyait que Kusha devait absolument se marier et avoir un enfant avec le mari Fumetsu en question mais la prédiction se déroulait devant ses yeux. C’est cette nuit la que fut conçu Kuusou, l’enfant mentionné dans une des milliards de prophétie.

2.Le père de Kusha observait discrètement sa fille et son mari depuis toujours. Il utilisait une technique de métamorphose pour changer son physique afin de ne pas se faire reconnaître. Bien sur, à Tsuchi la sécurité était à son summum, les autorités savaient surement que cet ancien ninja venait faire des tours en ville. Etrangement il ne se faisait pas chasser.

Au moment ou Kusha devait accoucher elle était seule avec son mari. C’est dans l’ombre que le futur grand-père contacta une ancienne ninja médecin, Ayumi, amie au couple. Celle-ci ne connaissait pas Oshi mais elle n’avait pas le temps de lui faire confiance, elle prit ses affaires et courut à travers la rue pour faire naître Kuusou.

3.Bien après la naissance du garçon, le père observait de moins en moins sa fille. Premièrement il avait compris que celle-ci était heureuse mais la raison principal restait la fixation qu’il avait sur son petit-fils. Persuadé que Kuusou était en centre d’une prophétie, de voyances et même de l’histoire il ne le lâchait plus d’un œil. Oshi  fut heureux quand il vit son petit-fils apprendre sa maîtrise du Suiton mais c’est assez vite que celui-ci eu un blocage. Encore une fois il intervint dans l’ombre.

En effet, lors d’un soir de plaine Lune il donna rendez vous à Ayumi sur une montagne de Tsuchi no kuni. Le grand-père attendait cette femme en admirant la Lune puis il fut interrompu.

– Vous ? C’est vous qui m’aviez prévenu pour l’accouchement de Kusha, comment avez-vous su ce jour la qu’elle était sur le point de mettre au monde son enfant ? Et qui êtes vous ?

_ Ecoutez mademoiselle, je n’ais pas de temps à perdre. Kuusou a besoin de ceci, prenez le, donnez le lui et enseignez lui le maniement de cette arme.

Le vieillard tandis sa main et l’ouvrit, laissant apparaître un souffleur de bulle métallique orné de petit symbole incompréhensible. Ayumi hésita quelques
secondes avant de le prendre.

– Pourquoi devrais-je le faire ?

_ Pour son bien.

C’est ainsi que ce rendez-vous pris fin et c’est de la que provient l’origine du souffleur de bulle de Kuusou qui l’accompagnera au long de ses périples.

4.Le grand-père espionnait de moins en moins sa famille. Il avait un plan qu’il avait prévu depuis un bon moment. C’est en l’an 95 qu’il se présenta à Iwa. Cette fois ci il prit son apparence naturelle sans aucune crainte. Il déposa une demande d’aide afin d’acquérir l’aide de shinobi :

« Je souhaite avoir de l’aide via les shinobi d’Iwa afin de reconstruire mon petit village qui a la base est indépendant se situant entre les frontières du pays du Feu et celui de la Foudre. Celui-ci a subit des dégâts important suite à d’importante conditions météorologique et des attaques de bandits. En l’échange d’une main d’œuvre je pourrais vous proposer diverses récompenses. »

C’est à la suite de cette demande que l’équipe liant Kuusou, Tsuki et Lupus fut choisie.

5.Pendant que Kuusou et son équipe voyageait, à l’intérieur d’une mystérieuse grotte se déroulait un mystérieux entretien. La grotte était circulaire, les parois, elles, étaient parsemées de flambeaux. Le reste était vide sauf le centre ou était bâtit un autel.

_ Votre but est simple. Une team de ninja d’Iwa sont en direction de ce petit village, vous devrez les capturer. Il y aura trois enfants surement accompagné de leur maître, si vous trouvez la tâches difficile ne prenez que l’enfant aux cheveux bleu, c’est la cible principale. Ramenez le moi ici vivant ainsi vous gagnerez la moitié de la somme que je vous ais promise. Pour la suite on verra plus tard.

Les mercenaires étaient nombreux, tous vêtu de noir. Suite à ce discours ils se dispersèrent afin de retrouver plus facilement les cibles.

6. Une troupe d’homme en noir  c’était regroupé dans la grotte du grand-père. Les enfants étaient tous présent mais le sensei lui était mort, découpé en mille et un morceaux, tous abandonnés sur la route. Oshi était à la fois heureux d’avoir enfin son petit-fils entre ses mains mais aussi furieux vu l’état de ces trois genin. Tous étaient inconscients. Lupus et Tsuki furent emmenés et attaché à l’étage du dessus. Tandis que le vieillard s’occupa personnellement d’attacher Kuusou sur l’autel pour en suite rejoindre la troupe de mercenaires.

_ Pour la suite il vous suffit de rester avec moi et de vous battre à mes côtés contre ce qui va arriver. Ceux qui sont faible je vous conseille de partir loin d’ici afin d’éviter toute mort inutile. Je vais vous donner votre bourse mais vous me décevez !

– Donnez nous notre argent, que personne ne parte, nous allons montrer à papy qui nous sommes, nous n’avons pas peur de la mort !

_ Me montrer qui vous êtes ? Vous me faites pitié, je vous avez dit de ne blesser en aucun cas les enfants !

– Vous ne l’aviez pas stipulé dans notre contrat, nous sommes des mercenaires et nous voulons juste de l’argent !

_ Préparez vous…

Le vieux se mit à exécuter un rituel étrange tout droit sorti de l’extraordinaire. Il possédait sur lui des tas de bouquins poussiéreux, des tablettes de pierres. Pendant qu’il récitait des incantations les parois de la grotte furent inscrites d’écriteaux incompréhensibles qui se propageaient dans la roche pour finalement avoir un démon qui fasse son entré en kamikaze. Tout droit sorti de nulle part il s’affola et se déchaîna contre tout ce qu’il pouvait.
Le grand-père se dirigea vers son petit fils en urgence.

_ On doit faire vite ! Pas le temps de parler, tu dois m’écouter, je suis ton grand père !

Kuusou ne comprenait pas vraiment se qu’il se passait, des personnes volaient par ici, d’autres mourraient par la pendant que son grand père lui racontait un tas de charabia incompréhensible. Le grand-père sorti une lame et crachat un puissant jet de feu sur celle-ci afin de la chauffer à blanc. Il la colla de suite sur la poitrine de son petit-fils.

_ Désolé mais tu dois me comprendre, tu es un homme !

Bien qu’il tentait de le rassurer celui-ci n’entendait plus rien, il ne pensait plus qu’à la douleur que cette lame brûlante lui avait infligé sur sa poitrine. Suite à cela la bête fut maîtrisé, Kuusou prononça une phrase qui fit en sorte d’incliner la bête, comme si elle était à ses ordres et finalement il perdit connaissance. Le peu de mercenaires qui restaient prirent la fuite.

7. Oshi prit son petit-fils dans ses bras. Il remonta lentement des escaliers de pierres menant à la surface. Il parcouru un champ de neige en prenant soin de couvrir son descendant avec ce qu’il pouvait. Une fois devant sa maison, afin d’ouvrir la porte il mit l’inconscient sur son dos pour avoir les mains libres.  Une fois à l’intérieur, il se dépêcha tant bien que mal d’avancer vers une salle. Le poids sur son dos commençait à peser lourd pour lui. N’ayant pas quitté ses bottes pleine d’eau et de neige il faillit perdre l’équilibre sur le parquet qui ne cessait de craquer à chacun de ses pas. Une fois arrivé à destination il entra dans une grande salle ou se trouvait plusieurs lits. On pouvait comparer cette pièce à un dortoir. Au premier regard tout nous faisait penser qu’il était inhabité. La pièce était poussiéreuse,  les meubles étaient parfois recouverts de toiles où l’on pouvait trouver des cadavres d’araignées, qui étaient mortes sur leurs demeures à cause de la vieillesse. On pouvait y retrouver une bibliothèque vidée de ses livres qui étaient tous par terre, chacun était ouvert à une page qui concernait des antiquités ou des mythes.

Au milieu de la salle, sur les lits qui étaient face à la porte, gisaient les deux compagnons du nouvel hôte. Le porteur le déposa à son tour sur l’un des lits. Il les laissa tranquille et commença à retourner au sous terrain. Il quitta sa maison et vit la trappe qui menait au sous-sol non loin de lui mais au milieu du froid une sensation de chaleur était présente sur une partie de son corps. Il regarda son ventre qui était recouvert de sang, il avait une grande plaie, elle commençait à s’ouvrir. Il mit vite fait un bout de tissu dessus avant de s’effondrer dans la neige. Laissant le beau sol blanc s’imprégner de son sang afin de devenir un champ de sang glacé.

Une durée indéterminé après, des silhouettes firent leur apparitions au près du centre de la neige rouge. A gauche il y avait Tsuki, au milieu Kuusou qui était inanimé et à droite Lupus. Ils s’arrêtèrent devant le corps d’Ohi en se demandant s’il valait la peine de l’aider ou non. Sans parler ils se mirent d’accord, ils continuèrent d’avancer jusqu’au prochain village où ils se reposèrent dans un hotels.

Mes clans, ma dignité

Ryuchi:
Le clan Ryuchi a aidé à la création du village de Iwa, aidé par le clan Kamizuru lors de la première ère du monde shinobi. Mais ce fût le dirigeant du clan Kamizuru qui devint le shodaime Tsuchikage et le clan Ryuchi s'exila dans les montagnes entre le pays des neiges et celui des cascades afin d'y fonder leur propre village (ou plus précisément leur communauté). Les années passèrent, c'est pendant la première grande guerre ninja que le clan Ryuchi s'allia à Yuki est devint le plus grand clan du village. Durant la seconde grande guerre le clan tout entier fût exterminé, seul quelques rescapés réussirent à refaire leur vie. De nos jours, on ne compte qu'un membre encore vivant qui à élu domicile à Kumo.
Ce clan est très peu connu, car il a toujours gardé ses distances avec les autres villages. Mais il était tout de même réputé pour leur manipulation du sang, leur ingéniosité et leurs connaissances dans les sciences. Ce clan a dû créer sa propre académie ninja quand ils ont bâti leur communauté, car pour pouvoir se défendre, ils devaient former leurs enfants aux arts ninja. Le clan dispose donc d'un panel de techniques qui leur sont propres et précieusement répertoriées dans les arcanes du clan. Aujourd'hui certains ninja de Kumo entrainés par le dernier membre du clan, utilisent ces techniques

Orinposu:
Le Clan Orinposu, un des clans les plus anciens de ce monde, est aussi l’un des plus puissants, mais contrairement aux autres clans, celui-ci ne pris aucun partie durant les grandes guerres ninjas, et il se refusa à rejoindre le village d’Iwa. Préférant l’indépendance, le clan vivait dans les hautes montagnes de Tetsu no Kuni. Cet isolement du reste du monde leur permettait de développer l’art du ninjutsu, jusqu’au fameux jour ou les démons furent découverts, mais ce jour était le plus funeste que le clan n’ait jamais connu, plus des trois quarts de leurs membres furent massacré par le démon Kronos, probablement le plus puissant d’entre tous. Il fut aussi le premier à être scellé dans le corps d’un humain, qui n’est autre que Tennôsei le chef du clan Orinposu. Après la grande catastrophe, les survivants se dispersèrent, se mélangeant à la population, et laissant leur ancien nom pour de nouveaux. Seul leur pouvoir commun leur permettais de se reconnaître entre eux, mais avec le temps, ceux qui transmettait encore cette technique d’une génération à l’autre devinrent pas plus nombreux que les doigts d’une main, Kabi, le grand père de Takabi, était l’un d’entre eux.

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