-Abunai Onsen- [18+] PV: Yagami

Aaaaaaah Suna. Après tout ce temps passé au Domaine Futae à se dépasser, se défoncer, essayer de survivre aux épreuves, chose que tout le monde n'a pas réussi à faire, les ninjas de Suna étaient enfin de retour au village caché du sable. Suna no kuni, ce village où j'ai passé toute ma vie jusqu'à maintenant... au final je me disais que rien ne justifiait le fait de quitter son village natal. Les déserteurs doivent avoir une bonne raison... Je pourrais peut-être leur demander ? Oui, ça peut se faire, ça. Enfin bref, passons.

Le groupe venait de rentrer à Suna. Félicitant un peu tout le monde pour être revenu saint et sauf, du moins pour certains, je quittai le groupe pour prendre le large vers la maison de grès dans laquelle je vivais. Tout en déverrouillant la porte, je me souvenus des bruit caractéristiques que j'entends depuis que je vis ici. Le souffle du vent, le murmure lointain des gens qui discutaient dans tous le village, le bruit de la porte qui s'ouvre... Autant de choses qui me rappellent les bons souvenirs passés ici, au sein de la communauté des ninjas du désert. Pénétrant dans la demeure sombre à cause de l'heure tardive, je respira un grand coup avant de refermer la porte et de profiter un peu de ce confort personnel retrouvé.

Je me sentais sale. Toute cette agitation m'avait empêchée d'être vraiment propre. De plus, cette sensation étrange, cet manque profond caché à l'intérieur de mon être que j'avais réussi à endormir avec difficulté pendant la durée de l'examen... Il ressurgissait, ce besoin indéniable de plaisir, il commençait à pointer le bout de son nez au sein de mon cœur. Mais, comment se nettoyer et faire des rencontres ? Hmm... réfléchissons deux minutes... Il faut être en public pour faire des rencontres, et il faut un bain pour se nettoyer. Bain et publics ensemble, ça forme des sources chaudes ! Celles de Suna ne sont pas très loin d'ici, et elles contiennent une partie mixte d'après mes souvenirs. C'est l'endroit parfait où se diriger en cette belle soirée. Prenant ce qu'il me fallait, je sortis de chez moi pour me diriger vers les sources thermales en prenant soin de fermer mon chez moi à clé.

Malgré l'heure tardive, une petite lumière subsistait dans le modeste bâtiment. Pénétrant dans la bâtisse, j'observai un peu sa disposition : trois salles distinctes étaient visibles. Un écriteau pas forcément visible au premier coup d’œil référençait chaque salle comme étant bain masculin, bain mixte et bain féminin. Souriant légèrement, je pris le chemin des bains mixtes avant de pénétrer dans une salle qui semblait être un vestiaire. M'approchant des paniers, je déboutonna délicatement ma veste avant de la laisser épouser mes fines courbes jusqu'à finir par terre. Passant ensuite à l'étape suivante, j'enlevai mon haut mettant en valeur ma généreuse poitrine. Rebondissant comme une bien heureuse après le passage du haut plutôt resserré, je le pris et le mis sur mon épaule, le laissant pendre avant de ramasser ma veste. La pliant sommairement, je la rangeai dans un casier. S'en suivit ensuite par le haut précédemment enlevé. La encore, je le pliai grossièrement avant de le mettre dans le même casier. Ensuite, le bas. Laissant tomber lentement mes mains jusqu'à ma taille, en prenant bien soin d'épouser toutes les formes et toutes les courbes de mon sublime corps, je descendit jusqu'en bas afin d'enlever mes sandales. Une fois cela fait, je remontai de la même manière jusqu'à ma taille, là où était situé mon bas. Glissant mes pousses dedans, je le fis descendre lentement jusqu'en bas. Le textile épousa parfaitement mes formes avant de se laisser tomber par terre. Sortant mes pieds de ce que je venais d'enlever, je répéta le schéma précédent avec ce vêtement qui finit lui aussi plié dans une panière. Ensuite venait les sous vêtements. Dégrafant le soutien gorge d'une taille peu commune qui servait à canaliser mes énormes seins, je le pliai en deux avant de le mettre à son tour dans la panière. Ensuite, ce fut au tour de la culotte. La laissant glisser sur mes jambes, elle tomba à terre. Enlevant un à un mes pieds de ce sous vêtement, il finit lui aussi plié dans la panière. Me retournant, je passai à autre chose.

Prenant un petit tabouret de bois, je m'avança vers les douches. Mouillant mon sublime corps qui ne demandait que ça, je m'assis ensuite sur le tabouret pour me savonner partout. Ainsi, je fis disparaitre la sueur et la saleté qui avaient commencé à habiter mon corps. Une fois cela fait, je me leva et pris une serviette que j'enroulai autour de ma poitrine pour la laisse tomber jusqu'en bas de mon entrejambe. Une fois la serviette parfaitement fixée, j'étais fin prête à me diriger vers les sources chaudes en elles même.

Une fois arrivée au bord du bassin, je remarqua une petite tête accompagnée d'une serviette un peu plus haut que le niveau de l'eau. Me glissant discrètement dans l'eau à côté de la personne, j'affichai un sourire amusé en regardant le petit bonhomme plongé dans ses pensées. Comment cette rencontre se déroulera-t-elle ?

Alors que je regardais toujours ce qui semblait être un garçon, celui-ci se releva et étendit ses bras. L'un d'eux se posa sur mon épaule, sans aucuns problèmes. La scène m'amusait de plus en plus. Lorsque le garçon compris qu'il venait de poser la main sur autre chose que le rebord du bassin, il tourna lentement la tête avant de poser son regard sur mon corps d'ange. Voulant dire quelque chose, il ouvra la bouche, mais juste un bégaiement de stupéfaction sorti :

B...be...bea... qu...qu...

Son expression ébahie et le fait qu'il recula précipitamment tandis que son visage prenait une teinte rouge tomate me força à laisser échapper un petit rire. Alors qu'il était littéralement pétrifié sur place, ne sachant pas quoi faire en dehors de m'admirer sous tout les coutures, ce qui commençait à me plaire, je me mis à changer de position. Prenant ma longue chevelure pour la ramener sur mon épaule, me tournant de 90° et penchant un peu la tête en arrière, je lui laissa pendant quelque secondes le plaisir d'admirer autre chose que ma sublime et imposante poitrine. Les courbes du haut de mon dos étaient à l'image du reste de mon corps : belles et melliflueuses, c'était un atout de plus pour troubler le jeune homme. Alors qu'il ne bougeait toujours pas et qu'il continuait de m'admirer, je m'avança doucement vers lui, pour ne pas l'effrayer. Posant mon regard dans le sien, je croisa mes bras sous ma poitrine, ce qui eut pour effet de surélever la paire de grosses collines qui donnait du relief à mon corps aux courbes si harmonieuses. Rapprochant un peu mon visage du sien, je lui souffla quelques mots :

Tu sais, je ne mord pas...

Puis, je glissa ma tête au creux de son épaule pour atteindre son oreille. Ma poitrine était collée contre son torse, et mes cheveux couvraient le bas de son visage. La scène étaient... étrange. Seuls dans des bains publiques, une jeune femme et un garçon plus jeune... c'était une expérience qu'on ne pourrait vivre qu'une seule fois. Il fallait profiter de la situation. Je lui murmura à l'oreille :

Enfin je crois...

Reculant lentement ma tête, je me remis à ma position initiale et continua d'observer le jeune garçon qui, ma foi, était plutôt intéressant, et ce sur tous les points.

Ara ara ! En plus d'être timide, il est embarrassé, gêné et de ce fait maladroit... génial ! J'aimais beaucoup ces instants, je m'amusais beaucoup et ces jeux de drague et d'embarras m'aidaient à oublier la dure réalité de la vie. Après tout, prendre du bon temps dans un bain publique en finissant par rendre heureux quelqu'un d'autre, pas grand chose de mieux à faire après être rentrée d'un examen difficile, non ?

Alors que j'étais devant lui, le jeune homme était toujours paralysé par l'embarras. Il ne savait quoi faire, et finit par essayer de faire un pas : un seul pas qui lui suffit pour glisser et me tomber dessus. Tu te doute bien où, non ? Petit coquin ! Le jeune rouquin fini sa course dans ma poitrine qui lui servit de coussin alors que son corps était brûlant. Ça faisait chaud entre mes deux montagnes, mais ce n'était pas si désagréable que cela. La fraîcheur de la nuit contrastait avec la chaleur ambiant procurée par les sources chaudes, le corps du garçon et la situation générale. C'était un moment plutôt plaisant.

Alors que nos regards se croisaient, un sourire amusé de plus s'afficha sur mes lèvres. Tandis que le jeune homme voulais s'extirper de sa position quelque peu embarrassante pour lui, je me construisais d'autre plans en tête. Alors qu'il était presque parti, ma main se cala derrière sa tête et je lui refourra la tête dans mes imposants seins. Accompagnant cela, une petite phrase pour le rassurer :

Ara ara, reste la et détends toi.

Alors que ma main défilait dans ses cheveux teintés d'un rouge éclatant, je me préparais à lui parler un peu. Après tout, vu comment nous étions proche il fallait mieux apprendre à se connaître plus en "profondeur", si vous voyez ce que je veux dire. Tandis que la situation était figée depuis plus d'une dizaine de secondes, je lui demanda quelques trucs :

Tu est jeune, non ?

Voila, on allait pouvoir devenir un peu plus proche lui et moi. J'attendais une réponse tout en contemplant le beau ciel étoilé de la nuit du désert.

Ces lumières dans le ciel me donnent envie de philosopher. Sommes nous les seuls dans l'univers ? Sommes nous les seuls à nous taper entre nous, animaux de la même espèce, pour des histoires de territoire et de politique ou je ne sais quoi ? Difficile à dire. Enfin, de toute façon, l'essentiel c'est de profiter de sa vie. Vivre sa vie sans s'amuser, en ne faisant que se plier aux exigences d'autrui pour le bien de tout le monde, c'est vivre UNE vie. Pas SA vie. Voila pourquoi je drague tout le temps, je vais jusqu'au bout des choses et je me bat. Tout simplement car j'aime ça. Car je veux profiter de ma vie.

Alors que le garçon me répondait d'une voix innocente et tremblante, ma serviette, qui couvrait partiellement mes seins et tombait un peu plus bas histoire de tout couvrir, commençait à glisser sous l'appuie du jeune garçon. Il fallait changer de position rapidement, sinon je pense que le jeune garçon sera un poil choqué. Bien que ca ne me dérange pas, lui pourrait peut-être l'être. Il me répondit :

Hmm... o...ou...oui? Vous... vous avez l'air de vous amuser. Hehe.

M'amuser ? Et oui, c'est le but de ma vie. Je voulais expliquer au jeune homme ma vision de la chose, ainsi je ne perdis pas de temps et répondis :

Oh oui, tu n'as pas idée comment je peux m'amuser. Tout le temps. Après tout, on est ici pour vivre notre propre vie, non ? Tu devrais y réfléchir, quand tu as le temps. Et tu peux me tutoyer si tu veux.

Alors que le garçon m'entourais de ses bras, ses mains se posèrent sur une partie non couverte par la serviette du haut de mon dos. La fraicheur de ses mains et leur contact sur ma peau me provoqua un frisson qui me parcouru l'échine. Cependant, la fraicheur de ses mains me surpris aussi, et le sol quelque peu glissant de la source chaude eu le temps de finir le travail : mes pieds glissèrent dans l'eau, et je tomba en arrière, avec le rouquin toujours sur moi. Dans un grand splaf, j'était maintenant entièrement la tête sous l'eau.

Je glissais. Alors que le temps se ralentissais, que ma serviette se détachait, que mon corps plongeait tout doucement dans l'eau, collé à celui de ce garçon. Pénétrant dans l'eau, j'étais totalement nue, la serviette au fond du bassin et le gamin collé à mon corps. Le corps de l'adolescent était chaud, peut-être anormalement chaud ? Très certainement à cause de la gène qu'il subit suite à mes actions. Enfin bref. Pour l'instant nous étions en communion, sous l'eau, collés, alors que mes ardeurs grandissaient toujours.

J'avais de plus en plus de mal à retenir mes pulsions. J'avais envie de me faire plaisir. Je voulais, au fond de moi, du plus profond de mon être, butiner son pistil, mais pour l'instant je ne pouvais pas. Cette volonté brûlante animant mon corps, ce désir immense parcourant mes entrailles, c'était une exalte totale alors que nous étions presque unis l'un à l'autre, dans cette eau chaude des bains publiques. Puis soudain, le rouquin sortit rapidement la tête de l'eau, et en profita pour me sortir à mon tour, usant d'une force prodigieuse qui m'impressionna. Intéressant... J'en prends note pour la suite. Maintenant, totalement nue, j'étais debout devant lui, agenouillé, totalement nue. Sa tête aux cheveux rouge ainsi qu'au teint rougit par la gêne m'observait de ces yeux, canalisant une grande force et une grande volonté pour s'empêcher de descendre le regard plus bas, vers l'antre du septième ciel. M'empressant de satisfaire sa résistance, je me baissa dans l'eau, me mettant moi aussi à genoux, approchant dangereusement mon visage du sien alors que mon corps totalement nu était à peine masqué par l'eau chaude du bassin. Glissant quelques mots, je lui laissa quelques indices évidents sur la suite des évènements :

Il est temps d'y aller, tu ne crois pas ? Les bains vont bientôt fermer...

Gardant un petit sourire dont j'ai le secret au coin de la bouche, je m'efforçais à réprimer mes pulsions nymphomanes pour ne pas troubler le garçon, je pris sa main et me retourna pour me diriger vers les vestiaires. Toujours vides, ceux-ci contenaient toujours nos vêtements, toujours bien rangés. Prenant quelques serviettes, nous nous séchâmes grossièrement tous deux avant de s'habiller pour quitter l'établissement. Prenant la main du garçon encore une fois, je l'entraîna de force à travers les rues de Suna pour arriver à ma demeure. Déverrouillant la porte, je pénétra ma maison en y entraînant l'adolescent aux cheveux rouges avant de fermer la porte à clé. Enlevant ma veste blanche, je la mis sur un porte manteau. Je n'avais plus que mon haut et mon pantalon. Le gamin semblait un peu mal à l'aise, mais j'allais vite lui dire de faire comme chez lui :

Détends toi, fait comme chez toi, met toi à l'aise. Tu veux quelque chose à boire, de l'eau, du jus de fruit ?

Tandis que je me servais quelque chose à boire pour me rafraichir et que le jeune homme n'avait encore rien dit, je me rendis compte que je m'étais mal séchée : mes fringues étaient encore mouillées par endroit. Très bonne excuse pour accélérer les choses, ça ! M'approchant de la petite table qui était au centre de la pièce, j'y déposa les deux verres avant de faire mine de me rendre compte que j'étais mouillée.

Voilà. Ah, mince, je suis mouillée. Va falloir que j'enlève ca. Ca ne te dérange pas, hein ? De toute façon tu m'a déjà vu nue, alors je suppose que non.

Me relevant de toute ma hauteur, je croisa les bras sur mon torse en resserrant les deux grosses dunes façonnant le plat désert de mon corps pour prendre les côtés de mon haut. Enlevant ensuite la chose lentement, délicatement, le désert se dévoila véritablement, gardant juste cette petite couche de brume cachant les deux dunes tant convoitées. Ensuite, il était temps de passer aux deux falaises. Les deux longues falaises que j'utilisaient pour marcher étaient recouvertes d'un tissu noir qui me collait beaucoup à la peau en raison du peu d'eau qu'il restait encore sur mon corps étaient prêtes, ainsi je glissa mes deux pouces dans le voile que je retira, toujours en gardant la partie pour l'instant encore défendue cachée des regards. Maintenant que j'étais prête, j'observait le jeune garçon. Cela devait être la première fois qu'il venait seul, comme ça, chez une inconnue. Je suppose qu'il stressait, qu'il ne savait que faire. Prenant les choses en main, j'entrepris de commencer à me diriger lentement vers lui, mon regard assuré plongé dans le sien. Comment réagira-t-il ? Seul l'avenir nous le dira.

Son corps parlait pour lui, divergeant avec ses véritables intentions. Ce n'était qu'un adolescent, cela ne m'étonnerais pas qu'il ne connaisse absolument rien en la matière. Étant maintenant proche de lui, j'avais eu le temps d'observer son regard fuyant et sers mouvement légers et paniqués. il cherchait apparemment le moyen de se sortir de cette situation embarrassante. Maiiiiiiiis c'est un homme après tout. Son corps parlait pour lui même alors que j'étais collée à lui. Ses mains s'étaient posées sur ma poitrine, comme avant. Son souffle court me communiquait son stress et son embarras. Ses vêtements, mis à la va vite sur son corps musclé, pouvait tomber avec un peu d'aide, aide que je ne vais pas me gêner pour lui fournir.

Nous étions collés l'un à l'autre. Nous ressentions respectivement le souffle de l'autre. Je n'avais encore rien fait alors que lui était en train de caresser d'un toucher de velours les deux collines dessinant les courbes de ma vallée. Il faut bien commencer, donc allons-y ! J'en meurt d'envie depuis si longtemps... pensais-je. Approchant alors mon visage du siens, je plongea dans le noir mon système de détection visuel avant de faire entrer mes lèvres en contact avec les siennes. Happant ses fines lèvres rosées à l'aide des miennes, j'étais sur de le capter complètement et de le focaliser sur la suite des évènements. Je sentais déjà quelque chose plus bas, mais je m'en soucierais plus tard.

Une vallée vallonnée par de vertes collines se dessinait devant mes yeux. Encore sous le voile sombre de la nuit, la déserte vallée où, seul, tout au fond, un arbre en fleur sublime se dessinait, troublant la tranquillité et la monotonie du lieu voilé par les ombres. Tandis que le soleil se levait, ces voiles sombres s'enlevèrent un par un. Des plus légers aux plus sombres, tous tombèrent, tels de vulgaires feuilles mortes étalées sur un sol d'herbe verte. Alors que derrière moi se dessinait une falaise où demeuraient les quelques voiles de noir restant, devant moi se dressait toujours cet arbre. Rendu encore plus beau par l'illumination du Soleil qui reflétait ses rayons sur chaque pétale de la majestueuse et tout aussi grande plante en fleure, l'arbre était comme connecté à moi. Je me sentais lié par un lien chaud qui se ressentait sur mon visage et la partie haute de mon corps. Cette sensation était très étrange.

Décollant ma bouche de la sienne, je remarquais que nos mains s'entrechoquaient depuis le début. Prenant fermement ses pinces dans mes mains fraiches et délicates, je recula doucement en lui parlant :

N'ai pas peur, suis moi. Tu verras, tu ne regretteras pas.

Reculant jusqu'à ce que nos bras soient tendus, je lâchai mon bras gauche en entrainant le rouquin avec moi tout en me retournant. Je voulais l'entraîner dans ma propre chambre.