Présentation Hiromi

Un homme, vêtu d'un long manteau allant jusqu'à ses genoux, de couleur sombre ; noire et très légèrement de violet, pratiquement invisible sauf avec une perception des couleurs très bonnes. Un homme aux cheveux mécheux partant en vrille sous ma capuche, camouflant mon visage, à l'aide d'un masque vêtu de motifs hasardeux, en rapport avec les explosions. C'est d'ailleurs avec une de mes explosions que je me suis fait cette cicatrice.

Comment retrouver mes parents disparus sans aucune raison, comment devenir plus fort encore pour survivre, comment réussir à s'en sortir avec uniquement 3 pilliers psychologiques, étant uniquement des amis de son travail.

Dans la misère la plus complète à Iwa, dans la classe ouvrière. Mes parents étaient dans une misère complète et sacrifiaient la moitié de leurs repas pour le mien, ils croyaient en moi, que je devienne l'homme qui révolutionnera le monde. Je n'ai pas réellement suivi d'entraînement, mais mon père me cachait quelque chose, et je le sentais.

C'est à l'âge de 6 ans qu'il commença à m'entraîner à l'art du Ninjutsu, à l'élément Bakuton ; notre Kekkai Genkai. C'est ainsi que j'appris à maîtriser notre Kekkai Genkai, dès l'âge de 6 ans, tout en m'entraînant seul sur un mannequin en bois. Il rentre alors à l'académie Ninja, et apprît les bases des Shinobi, continuant d'étudier pour passer Genin, un jour où l'autre. (je metterais pas plus de précisions sur l'académie puisque je ne sais pas si ma demande de rank sera validée ou non)

Il continua son entraînement, puis se mît petit à petit à faire des petits boulots à Iwa, pour pouvoir payer ses repas quotidiens, puis un jour ; sa mère part alors subitement on ne sait où, en ne laissant derrière elle qu'une simple lettre.

Il en vint de même pour son père, quelques semaines plus tard, le laissant livré face à soi-même, avec un vélo et la rue en guise de meilleurs amis. Il commence alors à travailler à temps plein pour subsister à ses besoins et se fait plusieurs amis à son boulot de livreur de journaux, qui étaient pour lui de très bons amis et des pilliers psychologiques pour ne pas tout lâcher. Ils étaient eux aussi de la classe ouvrière.

Il commençait à chercher dans les annuaires d'Iwa des numéros de téléphone aux noms de ses parents, mais aucune trace, rien dans les journaux, même pas une trace de leur existence hormis les lettres à leurs noms, envoyées à leur domiciles, qu'il récupérait chaque jour pour les lire, et peut-être assembler un plan.

Rien ne pourra arrêter la fureur de ces explosions, rien ne pourra arrêter sa soif de vérité, rien ne pourra l'arrêter pour retrouver ses parents.