Histoire
Ohatsu Hozuki est le demi-frère à Nuigetsu Hozuki. Le père de Nuigetsu eût une aventure avec une Uzumaki, c'est de cet union que naquît Ohatsu.
L'enfant grandit paisiblement dans un village aux alentours de Kiri, sans que personne ne soit mit au courant. Sa mère s'occupa de son éducation, elle lui enseigna les bases du Ninpo, à manier certains jutsus de base, une fois les bases apprises, la mère de Ohatsu se concentra sur le mental de son fils, c'est d'ailleurs à sa mère que Ohatsu doit son mental solide comme de la roche.
C'est une enfance plutôt banale pour le jeune Ohatsu qui aura été très bien éduqué par sa mère malgré que celui-ci aurait préféré grandir avec la totalité de sa famille.
A l'âge de dix ans, il participa aux examens pour passer genin.
Lors de l'examen écrit, il réussit haut la main en empochant la meilleure note, c'est lors de l'examen pratique qu'il devient major de sa promotion.
Pour son premier combat, l'Hozuki devait faire face à un membre du clan Momochi qui avait en possession avec lui deux sabres, il suffisait de le voir pour comprendre qu'il était sûrement un très bon épéiste. Malgré l'adversaire, l'Hozuki resta neutre comme à sa bonne vieille habitude, il ne semblait pas du tout impressionner par son adversaire.
- Allez-y ! s'écria l'arbitre, le combat débuta. La salle grondait d'applaudissements, hurlements. Le combat allait être féroce entre ses deux combattants.
Le début du combat n'était pas aussi emballant, l'Hozuki ne faisait qu'éviter les coups gracieusement offert par son adversaire, il ne tentait aucune offensif, aucune riposte, il analysait simplement le jeu de son adversaire et cherchait un point faible.
C'est sur une offensive du Momochi que l'Hozuki avait pu trouver une faille, un coup de sabre envoyé horizontalement droit vers l'épaule droite de l'Hozuki, celui-ci se baissa et le Momochi tenta de toucher son épaule gauche d'un coup identique à l'aide de son deuxième sabre. Mais heureusement pour l'Hozuki, il réussit à offrir un coup de poing bien placé dans le ventre de son adversaire qui en crachait sa salive, venant même à être déstabilisé par ce coup, il était surpris. L'occasion était là pour l'Hozuki qui se montrait de plus en plus impressionnant, un coup de pied très bien calé sur le poignet gauche de son adversaire, puis le même mouvement encore plus puissant sur le poignet droit de celui-ci, la salle était surprise, l'Hozuki avait complètement réussi a désarmer le Momochi.
L'Hozuki lança une offensive à l'encontre de son adversaire, en lançant une fumigène sur sa trajectoire tout proche de son adversaire qu'il parcourait en courant, un simple mot prononcé à travers une voix très basse;
- Suika.
Dès lors où l'Hozuki était sorti de cette fumée, il lança un des deux sabres à son adversaire en lui offrant un coup au niveau de celui-ci, coup paré très facilement par le Momochi qui tenta un coup de pied sur la côte de l'Hozuki, surprise.
L'Hozuki éclata en une flaque d'eau, reprenant forme derrière son adversaire le sabre placé à la gorge du Momochi qui avait quant à lui placé son sabre au niveau du torse de son adversaire en arrière, hélas l'Hozuki avait plus d'un tour dans son sac, un kunai accueillait la lame du sabre,f raîchement tenu par l'Hozuki pour offrir quelques mots finaux au Momochi.
- Sur-estime moi.
Lors du second combat, l'Hozuki sorta une nouvelle fois vainqueur. Le combat fut bref.
C'est lors de la finale, que l'Hozuki eut du fil à retordre.
Une finale contre un jeune utilisateur du suiton, qui était reconnu pour être le meilleur de son âge.
Malgré cette réputation, malgré la salle qui était en délire pour voir ce jeune combattre, l'Hozuki resta neutre, regardant dans le blanc des yeux son adversaire d'un regard pénétrant. L'Hozuki n'avait guère peur de son adversaire, mais pour se boosté il se remémora la phrase type de sa mère qui était devenue la sienne.
« Tout est dans la tête. »
Le combat avait commencé, le début était soldé par une phase de taijutsu offerte par les deux combattants qui était bien garnisse entre les innombrables coups, les nombreux coups puissants, les esquives, riposte, parade tous les ingrédients étaient présents pour donner du spectacle à la salle.
La suite offrait un combat aux armes, des duels aux kunais, des salves de shurikens, ainsi que les nombreuses explosions qui laissaient penser à une guerre entre deux villages, les deux combattants se donnaient à fond, ils avaient crée à eux deux un véritable champ de bataille.
L'Hozuki commençait à s'épuiser physiquement, partant sur un jeu nettement moins offensive pour en quelque sorte récupérer et pouvoir offrir une contre attaque digne de ce nom à l'adversaire.
Le jeune ninja commençait d'ailleurs à se montrer de plus en plus dangereux, commencant à offrir à l'Hozuki une démonstration de sa maîtrise du suiton.
« Teppoudama ! Mange ça !! »
C'est à ce moment-là que l'Hozuki avait réalisé que la victoire serait sur cette attaque de l'adversaire, l'Hozuki utilisa enfin l'avantage qu'il avait face à cet adversaire en consommant l'eau du Teppoudama qui n'était pas à sa haute pression, c'est par la suite que l'Hozuki insuffla du chakra à ses pieds pour augmenter encore plus sa vitesse et s'approcher très rapidement de son adversaire pour ensuite augmenter sa masse corporelle de son bras en y concentrant l'eau qui le composait.
La puissance du coup envoya valsé l'adversaire dans le mur qui composait la salle de combat. Ce même mur se fractura laissant la victoire à l'Hozuki.
C'est après la fin de cet examen qu'Ohatsu a pu apprendre qu'il avait un grand frère.
Une révélation qui n'emballait pas tellement le jeune Ohatsu qui ne sait pas tellement de choses sur Nuigetsu et qu'il le considérait comme quelqu'un de très différent, allant même à ne pas considérer celui-ci comme son frère. Malgré qu'Ohatsu aurait voulu grandir avec son père, des soeurs ainsi que des frères, celui-ci était déçu, déçu de savoir que son père n'était pas là pour l'aider dans son éducation, déçu que son père eut cette aventure d'un soir.
Ohatsu s'était d'ores et déjà fixé un objectif, surpasser Nuigetsu pour honorer sa mère et pour faire regretter en quelque sorte les actions de son père.
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et merci.
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