(Deuxième épreuve) (Chuunin) Nobu Sada (Sora Okinawa) et Naerfer Raikôru[ TERMINÉE ]

Alors que la rosée du matin imbibait allègrement les parterres de fleurs colorées qui bordaient le palais, les oisillons annonciateurs du printemps réveillaient les convives de cette somptueuse demeure. Les matelas rembourrés et les oreillers moelleux avaient permis aux participants de l’examen de se revigorer - du moins à ceux ayant tenté de trouver le sommeil. Le propriétaire du domaine, Jinkaku Futae, avait invité les participants, à l’issue de la première épreuve, à se présenter à l’entrée des jardins. Il avait pris soin de préciser qu’ils pouvaient y accéder en passant par l’arrière du palais, et qu’ils seraient attendus à huit heures, ni plus ni moins. Un petit-déjeuner en libre service fut servi à la cafétéria peu avant l’aube, permettant aux participants de redécouvrir cette empotée de femme de service un peu trop grassouillette. Elle avait cette fois-ci jeté à la figure d’un commis une tasse d’eau chaude - certainement destinée à devenir un thé -, car celui-ci avait trébuché en portant un plateau de viennoiseries. Les témoins du désastre avaient dû affronter son regard dur. En soi, elle était bien plus effrayante que l’examen en lui-même. Après avoir dégusté des victuailles plus ou moins riches selon les envies, tout le monde s’était dirigé vers l’arrière du bâtiment où commencerait la deuxième épreuve.

Les spectateurs s’étaient amassés à la sortie, rendant l’accès relativement difficile pour les candidats. Braver la foule relevait d’un véritable défi, si bien que certains en déduisirent qu’il s’agissait d’une pré-épreuve éliminatoire : les servantes astiquaient les joues potelées des genins et des chuunins pour s’assurer qu’ils étaient en forme, les parieurs les assaillaient de questions pour se faire une idée du meilleur en lice, les marchands vendaient à la sauvette des friandises et des bonnets où ils avaient tissé le nom des candidats, et bien d’autres encore… Et lorsqu’enfin les jeunes gens ressortaient de ce bain de foule, déjà tout en sueur, ils pouvaient contempler de magnifiques jardins taillés à la Kumojin qui s’étendaient à perte de vue. En réalité, toute notion de profondeur était particulièrement délicate à percevoir, ce qui donnait une impression de gigantisme, alors même qu’une dizaine de minutes de marche aurait suffi à traverser ces innombrables haies et fontaines. Sous un porche en marbre mesurant plus de six mètres de haut, Jinkaku était entouré d’une multitude de gardes du corps en tissus colorés. Deux mètres en face de lui, les genins et les chuunins de tous les plus grands villages ninjas attendaient patiemment ses instructions. Lorsque l’horloge murale du palais eût sonné huit fois, le noble se racla la gorge avant d’intervenir.

- Bonjour à tous. J’espère que la nuit vous a été de bon conseil… et que vous n’avez pas trop été dérangés par mes soins nocturnes. commença-t-il en souriant à pleines dents et en se massant une blessure imaginaire à la hanche. La deuxième épreuve de l’examen chuunin et juunin est sur le point de commencer. Vous allez être appelés un par un par les numéros d’identification que nous vous avons fournis à votre inscription. Des groupes de deux seront accompagnés d’un membre de mon escorte personnelle jusqu’au lieu de lancement de la deuxième épreuve. Tous les concurrents participeront en même temps. En ce qui concerne les spectateurs, je vous prie de patienter que tous les candidats se soient éloignés avec leur guide pour venir me rejoindre sous ce porche. Je vous guiderai moi-même vers la salle des caméras, qui se trouve en sous-sol, et d’où nous pourrons apprécier l’épreuve en détails. Merci à tous.

Une fois les premières instructions mentionnées, une femme portant l’uniforme de la garde personnelle du Futae, à savoir un très fin tissu richement coloré - en rose, ici - et une lance fixée dans le dos par une lanière en cuir, appela tous les participants. Cela se remarquait à peine, mais les autres gardes lui vouaient un immense respect, ce qui permit aux esprits les plus fins d’en déduire qu’il s’agissait de leur cheffe. Une redoutable guerrière aux atouts féminins mis en valeur par sa tenue rose bonbon. Accoudée sur une petite table en bois ajoutée pour l’occasion et qui ne s’accommodait pas du tout au majestueux décor champêtre, elle tirait au sort des bouts de papier d’un grand bocal tressé en osier. L’attente semblait d’autant plus longue que le soleil brillait de mille feux, rendant l’air à peine respirable - ou peut-être que le bain de foule avait amplifié cette impression ? D’une voix particulièrement grave pour celle d’une femme, elle s’écria enfin :

- Numéros 1 et 202 !

Nobu Sada et Naerfer Raikôru sauraient se reconnaître. Les deux participants s’avancèrent jusqu’au bureau improvisé où un garde du corps portant un tissu couleur saumon fut désigné pour les accompagner. Le trio s’enfonça dans le jardin et marcha à un bon rythme. C’était la première fois que les jeunes gens avaient l’occasion de contempler les gardes du corps du prétendu Raikage d’aussi près : sous cet apparat exotique qui faisait penser à une tenue de guerriers du désert se dissimulait des individus à la musculature saillante et au teint légèrement cendré. La lance de combat qui dépassait dans son dos semblait encore plus intimidante à cette distance. Le garde du corps demeura muet pendant tout le trajet. Après être sortis des jardins où les fleurs se faisaient rares - détail typique des jardins à la Kumojin -, les concurrents parvinrent à un grand mur en marbre dont la couleur évoquait celle du porche de tout à l’heure.

(Deuxième épreuve) (Chuunin) Nobu Sada (Sora Okinawa) et Naerfer Raikôru[ TERMINÉE ] 1567169194-4fbf48b

L’immensité de l’édifice rendait impossible à deviner ce qui se dissimulait derrière… L’étrange effet de perspective du jardin ne permettait pas ne serait-ce que d’apercevoir cette muraille pendant la balade dans les haies taillées au carré. Nobu et Naerfer, accompagnés du soldat coloré, marchèrent encore un bon moment le long de ce mur. Ils virent défiler plusieurs portes en bois de bouleau qui s’incrustaient à merveille dans le mur et qui portaient des numéros et des horloges rupestres. On pouvait deviner que chaque duo allait pénétrer dans cette enceinte par une porte différente. Celles-ci étaient espacées d’un kilomètre les unes des autres. Une mesure certainement mise en oeuvre pour dissuader les participants de rejoindre les autre portes… Lorsqu’ils arrivèrent à leur porte attitrée, l’horloge y indiquait huit heures et vingt minutes. Le soldat du désert sortit soudain une longue corde de son uniforme - Dieu seul savait où il l’avait rangée, puisque sa tenue ne semblait présenter aucune poche. Sans les prévenir de quoi que ce soit, il attacha Nobu et Naerfer à cette corde plus ou moins élastique en l’enfilant à leur taille. Sa carrure impressionnante et l’aura qu’il dégageait les empêchèrent de toute manière d’émettre la moindre résistance. Sans qu’on puisse le justifier, cette corde à la couleur blanchâtre faisait penser à un lien vital… Peu après, la voix de Jinkaku Futae résonna par l’intermédiaire de ce qui semblait être des haut-parleurs, derrière la muraille.

- Les participants sont tous arrivés face à leurs portes et les spectateurs sont tous installés dans la salle des caméras. Je peux donc vous dévoiler la nature de cette seconde épreuve : il s’agit ni plus ni moins d’un exercice de survie par binômes. Que vous le vouliez ou non, le participant qui vous accompagne sera dès à présent votre allié. Comme vous l’avez sans doute remarqué, vous êtes liés par une corde élastique qui permet une détente maximale de 5 mètres. Vous êtes donc littéralement inséparables ! Vous avez peut-être pensé que les jardins du domaine étaient ceux que vous venez de traverser mais la réalité est tout autre. Mes jardins s’étendent sur des hectares et sont semés d’embûches… mortelles. Votre but : les traverser en longueur, ce qui correspond certainement à une journée de marche. Les distances ne sont pourtant pas effarantes, mais ce qui est à l’intérieur pourrait bien vous retarder… Vous ne validerez cette épreuve qu’à la condition de franchir la porte d’arrivée portant le même numéro que votre porte d’entrée en étant toujours attaché à votre binôme par votre corde. Oh, et votre partenaire doit être en vie, cela va de soi. Je ne vous souhaiterai pas bonne chance aujourd’hui : vous aurez besoin de tout votre talent.

A cet instant, la porte en bouleau se déverrouilla toute seule grâce à un mécanisme automatisé. Une fois franchie, elle se referma derrière eux, les emprisonnant dans ce qui semblait être une gigantesque forêt dégageant une aura malsaine. L’environnement empestait comme une odeur… de mort.

HRP

La deuxième épreuve peut dès à présent débuter. Commencez par décrire votre trajet jusqu’à la porte, puis pénétrez dans l’enceinte des jardins. Restez évasifs sur l’environnement : vos péripéties vous seront décrites par le Maître du Jeu. Lorsque les deux candidats auront posté une première fois, un premier obstacle vous sera dévoilé. Le temps de réponse maximal est, comme pour la première épreuve, de 48h. Ordre de post : Sora - Naerfer - MdJ.

Bon courage !

NB : Pour ceux qui ne l’auraient deviné, la mention « jardin à la Kumojin » fait référence au style IRL « jardin à la française ».

Rang A

Bienvenue dans cette illusion !

Elle vous permettra de lire ce RP...

Bonne lecture !

Sora avait eu un peu plus de mal que d’habitude à trouver le sommeil. Pensant à ses proches, ses amis, tout ce qu’il avait perdu, le jeune Okinawa se perdit dans ses pensées pendant une grosse partie de la soirée. Parcourant les dédales sombres du labyrinthe qu’était devenu sa mémoire, Sora examinait un petit peu tout : du plus petit souvenir d’enfances aux moments clés de sa vie pourtant courte, Sora pris chaque couloir, chaque cul de sac, chaque chemin de chaque embranchement de son labyrinthe communément appelé mémoire. Sora se repassa les moments de joie avec Jin et Aino, ses deux amis d’enfance, avec Yumi, sa sensei, avec ses parents, et avec tous les autres membres de Konoha qu’il connaissait. Sora était heureux rien qu’en repensant à tous ces bons moments passés au village de la feuille, tous ces bons moments qui avaient forgé la personne qu’il était aujourd’hui. Cependant d’autres évènements bien plus tristes ont aussi contribué à créer la personnalité du jeune homme.

Penser permet de rester éveiller, mais penser fatigue. C’est donc à force de réfléchir que notre jeune Uchiha sombra dans le monde de Morphée, ce monde à la fois délicieux et horrible où le plus beau des songes peut se transformer en véritable enfer en l’espace d’un instant. Sora resta dans ce monde jusqu’au petit matin, où les oisillons et les premières lueurs du matin accompagnaient les douces senteurs florales afin de réveiller paisiblement le garçon endormi. La tête bien callée au creux de son oreiller, Sora ouvrit lentement ses yeux d’azur et laissa lentement sa vision s’accommoder à la lueur ambiante. Se redressant doucement, Sora chercha à se repérer dans le temps. Constatant qu’il était pour le coup plutôt en avance, il prit son temps pour se préparer. Lavant chaque parcelle de son corps, enfilant ses vêtements et raccrochant son masque sur son visage, Sora Okinawa, ou plus exactement Nobu Sada, était maintenant prêt pour la deuxième épreuve. Sora marcha d’un pas décidé sur le chemin de la cafétéria pour se remplir quelque peu l’estomac.

Ah, la cafétéria. Quand le personnel n’était pas trop virulent, c’était un endroit plutôt calme, où chacun mangeait ce qu’il voulait dans un calme quelque peu… relatif. Sora, arrivé dans les premiers, choisi de prendre quelque chose de nutritif en vue de l’épreuve qui l’attendait. Ainsi il avala ce qu’il avait choisi auprès des serveuses avant de sortir en vitesse de l’espace nutrition. Avançant lentement vers la sortie du manoir, Sora confirma ses doutes : cet endroit est très étrange et le personnel l’est tout autant. Le deuxième étage intriguait beaucoup le jeune homme, pourtant celui-ci s’était refusé d’aller plus loin qu’essayer d’ouvrir une porte. Les portes étant fermées à double tour, le jeune homme méfiant avait jugé bon de ne pas aller plus loin. Ne souhaitant pas retenter l’expérience juste avant l’épreuve, Sora se contenta de se diriger vers les jardins pour y être un peu avant tout le monde.

Cependant on avait précisé 8h piles. Sora resta donc un peu à l’écart de la zone d’où l’épreuve commençait, et il jugea bon d’arriver en même temps que la foule entière. Se glissant dans les premiers rangs du cortège qui arrivait devant les jardins. Le discours de Jinkaku commença pile à l’heure, lorsque l’horloge géante du manoir du prétendu Raikage sonna huit grands coups :

Bonjour à tous. J’espère que la nuit vous a été de bon conseil… et que vous n’avez pas trop été dérangés par mes soins nocturnes. La deuxième épreuve de l’examen chuunin et juunin est sur le point de commencer. Vous allez être appelés un par un par les numéros d’identification que nous vous avons fournis à votre inscription. Des groupes de deux seront accompagnés d’un membre de mon escorte personnelle jusqu’au lieu de lancement de la deuxième épreuve. Tous les concurrents participeront en même temps. En ce qui concerne les spectateurs, je vous prie de patienter que tous les candidats se soient éloignés avec leur guide pour venir me rejoindre sous ce porche. Je vous guiderai moi-même vers la salle des caméras, qui se trouve en sous-sol, et d’où nous pourrons apprécier l’épreuve en détails. Merci à tous.

Pour commencer Sora ne croyais toujours pas à cette histoire de soins nocturnes. Foutaises. Ensuite il y aura des caméras durant l’épreuve ? Donc il est logique de penser que le terrain sera grand. Une épreuve de survie ? Un labyrinthe géant ? Une arène géante truffée de pièges et d’obstacles où deux équipes s’affrontent en combat ? Sora ne savait rien de la nature de l’épreuve, mais il allait bientôt le savoir. Se concentrant et taisant ses émotions comme il l’a appris au sein du Jiei, Sora attendis avec patience d’être appelé. Le numéro qu’il portait, le un, montrait son côté seul et isolationniste. Sora s’était toujours senti plus à l’aise en étant seul, mais il sait que les relations humaines sont importantes. Attendant patiemment son tour, Sora regarda le Raikage. Toujours entouré de ses gardes du corps aux couleurs extravagantes, il paraissait toujours louche. D’ailleurs, dans l’assemblée, certains villageois étaient présents, villageois qui possédaient d’ailleurs toujours leur mystérieux tatouage. Sora se demandait bien ce dont il s’agissait, mais pour l’instant l’heure n’était pas aux investigations.

Numéros 1 et 202 !

Sora venait d’être appelé. Rejoignant la table en même temps que l’autre shinobi qui était appelé, un garde du corps habillé d’une couleur bizarre fut assigné à l’escorte des deux shinobis. Entrant dans les jardins, Sora observa. L’assemblage géométrique parfait des buissons accompagné d’une non présence de fleurs rendait le tout très atypique au regard et l’étrange perspective du jardin empêchait de voir au-delà de cette mer de feuilles vertes formant des allées. Le garde qui accompagnait les deux shinobis était tout aussi atypique. Armé d’une longue lance à la pointe métalleuse (LOL COUCOU SHURA) acérée gardée dans son dos et vêtu de draperies couleur chaire d’un certain poisson communément nommé saumon, le garde à la peau bronzée garda le silence pendant tout le trajet. Sora n’avait cependant toujours pas remarqué l’étrange odeur émanant du jeune homme qui l’accompagnait, cette odeur légère d’alcool mélangé à des notes herbacées et végétales. Lorsque Sora capta enfin l’odeur qui émanait du shinobi qui l’accompagnait, les trois personnes étaient arrivées à un immense mur. Sora trouva le parfum plutôt agréable. Cela lui rappelait les senteurs naturelles, c’était quelque chose de plutôt étrange que Sora appréciait. Lorsque le trio fut arrivé devant une porte faite d’une délicate planche de bouleau jaune-blanche ornée d’horloges et de nombres, le garde qui accompagnait les deux shinobis sortit une corde qu’il enroula autour de Sora, puis de Naerfer. Sora lança un regard étonné à son partenaire. Peu après que le garde eu finit d’attacher la corde, une voix se fit entendre à travers plusieurs hauts parleurs disséminés sur tout le mur :

Les participants sont tous arrivés face à leurs portes et les spectateurs sont tous installés dans la salle des caméras. Je peux donc vous dévoiler la nature de cette seconde épreuve : il s’agit ni plus ni moins d’un exercice de survie par binômes. Que vous le vouliez ou non, le participant qui vous accompagne sera dès à présent votre allié. Comme vous l’avez sans doute remarqué, vous êtes liés par une corde élastique qui permet une détente maximale de 5 mètres. Vous êtes donc littéralement inséparables ! Vous avez peut-être pensé que les jardins du domaine étaient ceux que vous venez de traverser mais la réalité est tout autre. Mes jardins s’étendent sur des hectares et sont semés d’embûches… mortelles. Votre but : les traverser en longueur, ce qui correspond certainement à une journée de marche. Les distances ne sont pourtant pas effarantes, mais ce qui est à l’intérieur pourrait bien vous retarder… Vous ne validerez cette épreuve qu’à la condition de franchir la porte d’arrivée portant le même numéro que votre porte d’entrée en étant toujours attaché à votre binôme par votre corde. Oh, et votre partenaire doit être en vie, cela va de soi. Je ne vous souhaiterai pas bonne chance aujourd’hui : vous aurez besoin de tout votre talent.

Bon, bah Sora allait devoir utiliser tout ce que Yumi, Akeko et Fubuki lui avaient appris. Pénétrant d’un pas solennel dans l’antre que la porte laissait voir, Sora et Naerfer s’arrêtèrent peu après l’avoir passer. Observant la forêt qui allait accueillir l’épreuve, Sora aurait eu la chaire de poule s’il ne taisait pas ses émotions. La forêt peuplée d’arbres morts dégageait une odeur putride mêlée à une odeur de décomposition qui amenait une note mortuaire au lieu sinistre. Se retournant vers son coéquipier, Sora ouvrit le dialogue :

Salut, moi c’est Nobu. Je propose qu’on discute rapidement de nos capacités avant de commencer de traverser cette sinistre forêt. Je te laisse commencer.

Posant son regard sur le visage blanc orné de cheveux blonds de son collègue, Sora attendit une réponse.

Maintenant je vais fermer les yeux...

Merci d'avoir lu !

Et prenez garde, vous pourriez tomber dans mon illusion à n'importe quel moment...

La première épreuve avait été étonnnement simple, l'adversaire de Naerfer, un Chûunin d'Iwa aussi, se prénommant Kojiro, avait également réussi à l'emporter avec brio. Le combat avait été des plus brefs, si on pouvait appeler ça un combat. En effet, l'un avait lancé une technique, tentant de désarconner son adversaire alors que l'autre s'était contenté de l'esquiver et de donner la réponse à son tour. Les deux ninjas avaient su faire preuve de rapidité d'exécution et de discernement. Deux qualités indispensables pour être un bon Jûunin.

Après son épreuve, Naerfer était parti se reposer. En effet, la route pour Kumo avait été longue, et à peine était-il arrivé sur les lieux de l'examen, à peine il avait du faire son épreuve et utiliser des techniques lui coûtant du Chakra, et donc, gratter encore un peu l'énergie qui lui restait. Il n'était pas un dieu. Malaxer son Chakra lui prenait énormément d'énergie, sachant que ses techniques héréditaires consistaient en gros à sortir passivement en continu un léger flot de Chakra. Pour s'entraîner, et pour que les vapeurs d'alcool se diffusent en continu sur le jeune homme, Naerfer avait dû tomber plus d'une fois dans les pommes. De fatigue. Il était tombé comme une masse, et allait dormir pour de bonnes heures avant l'épreuve suivante...

Il entendit de l'agitation dans la cour située juste en dessous de sa chambre. L'aile de Konoha était splendide. Le vieux Futae avait fait en sorte que tout le monde se sente chez lui, dans l'aile de son village. L'aile de Konoha disposait de murs en pierres jaunes sur lesquels se déroulaient quelques parchemins rapellant l'histoire ancestrale du village. Naerfer s'était levé et contemplait alors l'histoire. Son histoire, l'histoire de son village. Il observait avec attention chaque étape de cette frise historique avec émotion. De la naissance du Chakra avec Otsusuki Kaguya, l'histoire des deux fils de Rikudo : Indra et Asura, le combat entre Madara Uchiha et Hashirama Senju, L'attaque de Kyûbi sur le village, le scellement de Kyûbi par Minato Namikaze en son fils Naruto et en lui même... La quatrième grande guerre des shinobis... Tant d'évenements passés, tant de grandes choses se déroulant. L'histoire de Konoha est incroyable, et Naerfer se frappait la tête. Qui était-il, lui? Face à ses grands noms de l'histoire? Lui aussi voulait y rentrer. Qu'on parle d'un Raîkoru. Tout le monde parlait des Senju, des Uchiha, des Uzumaki, des Sarutobi, et j'en passe... Mais dans aucune ligne de l'histoire ancestrale des Ninjas, le mot Raikôru y est inscrit. Lui aussi pourtant a hérité de Chakra, pourquoi ne pourrait il pas l'utiliser avec une puissance aussi considérable que l'on fait des dizaines de personnes avant lui?

Sa réflexion pris fin lorsqu'il atteint le bout du couloir, et qu'il commençait à descendre les escaliers un par un. Encore des réflexions qui s'offraient à notre jeune Chûunin. Qu'avaient-ils de plus? Des Jutsus héréditaires puissants? Comme le Sharingan, le Byakugan, le Rasengan, des Fuins? Non. Tout le monde avait des attributs héréditaires, c'est ça qui faisait la force d'un clan. Mais qu'avaient ils de plus? A part un talent inné. Naerfer creusa au fin fond de sa mémoire, et trouva alors la réponse à partir d'un seul nom dans l'histoire. Quelqu'un qui lui ressemblait un peu d'après les dires, avant de devenir un Hôkage. Naruto Uzumaki. Certes lui avaient des ancetres qui avaient déjà écrit leur lignes dans l'histoire des Shinobis, mais ce raté avait eu l'immense avantage de posséder une quantité énorme de Chakra grace à Kyûbi. Ou grace à un démon à queues quelconque. Il avait entendu parler en étudiant l'histoire des Ninjas qu'il y avait des Bijûus, des personnes dans lesquelles on scellait les démons à queues pour protéger son village, en premier lieu, mais qui pouvait, si on s'alliait et qu'on s'entendait correctement avec son Démon à Queues, conférer une puissance incroyable. Naerfer leva la tête. Il allait proposer une grande chose à son Hôkage après cet examen. Il avait hâte...

Il arriva sur les lieux de l'épreuve. Un grand jardin, je dirais même un jardin immmense. Il surplombait Naerfer de toute sa taille. C'en était impressionnant. D'un côté, la vie semblait s'y étendre, et les fleurs semblaient bourgeonner à l'intérieur tel un havre de paix, on aurait souhaité y rester toute sa vie, mais de l'autre côté, un parfum de mort ennivrait les sens du Chûunin, et pourtant... il était habitué à ne plus sentir les odeurs fortes, vivant avec constemment. Il fit une légère grimace en sentant cette odeur, et en observant le jardin qui était d'une architecture cependant splendide. Naerfer attendit sagement à sa place, en haut de quelques escaliers de marbre, quand soudain, il entendit son numéro :

"Numéro 1 et Numéro 202 !"

Naerfer s'avança devant une des nombreuses entrées du jardin. Ils allaient certainement devoir rentrer en groupe et aller à l'autre bout du labyrinthe avant les autres. Un jeu d'enfant...

Mais un Ninja de Kumo s'approcha et lia Naerfer à son allié. Le numéro 1, Nobu Sada était un Chûunin d'Iwa. Décidément ! Ils allaient lui refiler tout Iwa comme partenaires à l'examen où ca se passe comment? Et de plus, le seul Chûunin qui intéressait Naerfer, le type aux cheveux rouges, bah c'était pas lui qu'on lui refilait. Merde alors ! Bref, le type était tout de même étrange. Il portait un masque sur le visage et n'inspirait pas confiance. Tout celà rappellait à Naerfer une des fresques qui était posée sur le mur de l'aile de Konoha. Ce type au masque... Ca rappellait étrangement le masque tordu que possédait Obito Uchiha lors de son combat contre Minato Namikaze. Mais là ce n'était pas Obito qui était avec lui, sinon il aurait réussi l'épreuve haut la main. Mais si seulement Naerfer savait... qu'il n'était pas si loin de la vérité !

"Salut, moi c’est Nobu. Je propose qu’on discute rapidement de nos capacités avant de commencer de traverser cette sinistre forêt. Je te laisse commencer."

Bon, au moins il parlait, et avait une voix plutôt calme, posée. Il n'était pas là pour chercher des ennemis, et semblait plutôt amical dans ses paroles. Naerfer pensait que tout les gens à Iwa étaient des monstres assoiffés de sang. Peut-être s'était il trompé? Les deux protagonistes qu'il avait rencontrés jusqu'à présent ne lui semblaient pas du tout hostiles, non, Kojiro, il aurait bien aimé lui parler après l'épreuve car justement, il avait même l'air sympathique. Et c'était pareil avec ce Nobu. Mais la question était : Pourquoi ce masque? Devait-il se cacher aux yeux du monde? Etait-il laid au point de ne pas vouloir montrer son visage? Etais-ce pour dissimuler ses techniques? Naerfer n'en savait rien. Pas encore.

"Salut Nobu. Moi c'est Naerfer. Je ne dévoile pas mes capacités à n'importe qui, sâche simplement que j'aime beaucoup l'alcool, et ue je risque de te saouler. Vraiment. Mais, dis moi... Pourquoi tu portes un masque?"

~~"SUCE MOI"~~ ~~(référence what the cut tmtc)~~

Cette épreuve semblait compliquée. Bienvenue dans le monde des grands. Le bruit de la foule dérrière eux s'éloignait tandis qu'ils avancaient, et l'obscurité du labyrinthe se faisait de plus en plus importante. Ils étaient liés l'un à l'autre. Les mouvements n'étaient pas évidents. Qu'est-ce qu'il les attendait au fond de ce labyrinthe?

Les aléas et le destin avaient aujourd'hui décidés de réunir deux être différent dans l'âme mais semblables par le corps, après de rapide présentation ils allaient avoir le bon plaisir de découvrir le première des embûches dissimulées sur leur parcoure.
A quelques décamètres, environs trois se trouvait un pont que le temps n'avait pas épargné, de l'autre coté de celui-ci se trouvait l'entrée de ce qui pouvait être une véritable jungle. Comment allaient-ils faire pour le traverser tant la solidité du pont n'inspirait pas confiance.

HRP :

Très bon rp, vous êtes donc face à un pont qui tiens par miracle... Bonne chance.

Rang A

Salut Nobu. Moi c'est Naerfer. Je ne dévoile pas mes capacités à n'importe qui, sache simplement que j'aime beaucoup l'alcool, et que je risque de te saouler. Vraiment. Mais, dis moi... Pourquoi tu portes un masque ?

Sora réfléchissait sur ce qu'il devait dire ou non. Étant donné que son acolyte aimait bien l'alcool et qu'il possédait une somptueuse odeur, mélange d'alcool et de senteurs herbacées et végétales, Sora se demandait si son acolyte n'utilisait pas l'alcool pour se battre. En plus Sora pensait avoir entendu parler d'un clan de Konoha empli de gens maniant l'alcool. Étrange, pensait le jeune Konoha-jin. En tout cas Sora souhaitait prévenir son acolyte, mais pas directement. Pesant ses mots, Sora répondit avec prudence :

Bien, sage décision. Pour ma part je te dirais juste de faire attention, tu risquerais d'avoir quelques surprises plutôt... brûlantes, tu vois ce que je veux dire. Et pour le masque, disons que je trouve qu'en avoir un peut avoir du bon dans certaines situations. Avançons maintenant, si tu le veux bien.

Le duo avançait calmement, côte à côte, dans cette forêt quelque peu sinistre. Aucun bruit n'était audible, mais l'aura mortuaire et malsaine que dégageait le lieux n'était pas faite pour mettre les jeunes shinobis en confiance. Perpétuellement sur ses gardes, Sora était en train de réfléchir tout en marchant. Si son acolyte sens l'alcool, cela veut dire qu'il y en a dans l'air, et s'il y en a dans l'air, il peut s'enflammer. Bon. En plus avec cette corde, la mission ne va pas être facile. Au final aucun des deux acolytes ne savaient rien du genre d'épreuve qu'ils allaient devoir affronter. Continuant à marcher dans la sinistre forêt, les deux alliés d'un jour attendirent d'atteindre leur première épreuve.

Cette attente ne fut d'ailleurs pas bien longue. Arrivant à ce qui semblait être un pont, Sora et Naerfer étaient enfin arrivés à leur première épreuve. Se rapprochant tout naturellement du pont, le duo arriva rapidement à une distance qui lui permettait de l'observer sans le faire bouger. Observant alors cet étrange pont, quelques questions murirent alors dans l'esprit du shinobi. Pouvait-il résister au passage simultané de deux personnes ? Allait-il s'effondrer totalement, ou juste d'un côté ? Le ravin était-il assez étroit pour permettre à deux shinobis de passer au dessus ? Sora n'en savais rien, mais de multiples hypothèses défilaient dans sa tête. Il en retint quelques unes, comme sauter au dessus du ravin, ou courir sur le pont l'un derrière l'autre au prix de casser le pont. Cependant quelque chose allait gêner les deux collègues : la corde qui les reliait. Exposant ses hypothèses à son coéquipier, Sora pris une fois de plus la parole, toujours arrêté non loin du pont.

J'ai deux idées : soit un essaye de sauter au dessus du ravin sans passer par le pont, ou soit on passe sur le pont le plus vite possible. Tu penses à quelque chose en particulier ? Et au passage la corde risque de nous restreindre, donc fait toujours attention à la garder dans le sens qui nous entrave le moins.

[HRP : Excuses moi pour le temps de réponse, à toi et aux modérateurs.]

Tandis que les deux protagonistes discutaient, ils arrivaient enfin au bout du chemin qui menait à la première mais non la moindre épreuve de ce gigantesque labyrinthe. Une épreuve qui ne payait pas de mine, mais qui allait cependant demander coordination. Mais Naerfer ne pensait pas à ça pour le moment. En effet, il était resté depuis bien cinq longues minutes sur les dernières paroles de son allié. Des réactions brulantes? Il est bon de porter un masque dans certaines situations? Mais que celà voulait dire. Son allié d'un jour cachait quelque chose et tenait à laisser des indices au jeune blondinet. Surtout que certaines réactions brûlantesde Nobu pouvaient être dangereuses potentiellement pour l'équipe. En effet. Les vapeurs d'alcool s'enflammaient rapidement. Ce qui veut dire que si il était quelqu'un qui maîtrisait le Katon, celà pouvait largement nuire à l'équipe. Naerfer eu une idée soudaine. Il baissa son flux de Chakra, qui, à son habitude, se laissait diffuser en continu passivement pour que ses Jutsus aient la meilleure efficacité le moment venu. C'était une technique des Raikôru pour s'entraîner, étant donné que la diffusion d'alcool du shinobi venait directement des tanketsus du corps. C'est à dire que si quelqu'un venait à fermer les Tanketsus d'un Raikôru, la diffusion d'alcool serait beaucoup moins forte. C'est de là que venait l'odeur nauséabonde pour certains, parfaite pour d'autres. Des Tankestus, les fameux points de Chakra. Comme ils étaient au corps à corps, une attaque Kâton au corps à corps viendrait à les annhiler tout les deux. C'était dangereux.

Bref, divaguons. Le Chûunin réflechissait donc aux paroles de son allié. Pourquoi être si bref dans son choix de masque? Et surtout pourquoi laisser des indices? Il n'en était pas sûr, mais Naerfer pensait que son allié avait décidé de cacher son identité au monde tout simplement car il était un déserteur. Ce que Naerfer détestait bien évidement. Pourquoi déserter son village? Car tu y as fait quelques choses de grave. Naerfer lui, qui voulait devenir Oi-Nin à un moment de sa vie, et devrait alors à ce moment là porter un masque lui aussi, ne pouvait laisser un déserteur en liberté. C'était plus fort que lui. Il vint alors à une déduction des plus logiques. Il commençait à se méfier de Nobu. Ce qui est normal. Et le but de cette épreuve était plus que de passer la deuxième épreuve pour sélectionner les Chûunins, mais bien de découvrir ce qu'il se cachait dérrière ce masque.

Si jamais l'homme qui se cachait dérrière le masque de Nobu Sada était enfait un déserteur de Konoha. Il n'hésiterais pas une seule seconde à le capturer dès la sortie de ce labyrinthe. Telle était sa mission.

Il était tout de même sympathique ce Nobu. Trop sympathique. Trop ampathique pour un Iwa-Jin. Il y avait effectivement un doute possible. Il restait perplexe, et dès qu'il vit le pont, il le regarda avec un air désabusé. Il allait devoir faire équipe avec ce type au masque?

- J'ai deux idées : soit un essaye de sauter au dessus du ravin sans passer par le pont, ou soit on passe sur le pont le plus vite possible. Tu penses à quelque chose en particulier ? Et au passage la corde risque de nous restreindre, donc fait toujours attention à la garder dans le sens qui nous entrave le moins.

Il observa son allié, et jeta un regard sur la corde qui les reliait. Pour leur propre survie, ils devaient faire en sorte de se débrouiller pour passer cette épreuve, une des nombreuses épreuves de ce labyrinthe. Avant de se décider, Naerfer leva la tête vers le soleil. Il avançait dans le ciel, ce qui indiquait le temps qu'il leur restait. Heureusement pour eux, l'épreuve venant de débuter, le soleil n'était pas très avancé. Ce qui leur donnait un temps de réflexion certain. Il évalua les possibilités, et élimina les dangereuses pour la vie. Ils ne risquaient pas leur vie dans l'instant, donc ils avaient le temps pour la réflexion. Ne pas se presser. Ils avaient encore du temps. Autant prendre des décisions rapidement lorsque leur vie est en jeu. Naerfer se creusa la tête, aucune des deux idées n'était la bonne :

"Je pense qu'avec cette corde, qui n'est longue que de 5 mètres, on arrivera difficilement à sauter ce pont, qui doit faire une trentaine de mètres. C'est simple, un sautera, et l'autre tombera dans le ravin. Ou bien celui qui sautera tombera tout seul avec le poids de l'autre. C'est du suicide. Ensuite, si on passe tout les deux, le pont risque de cèder. Hm... Le dilemme est assez compliqué."

Il avait bien une idée, mais celà lui userait pas mal de Chakra, ne pas tout utiliser d'un coup serait le mieux, mais la voie de la survie s'offrait à lui :

"J'ai bien une idée, mais il va falloir qui tu assures par la suite. Avec une technique de ma propre invention, mais qui utilises beaucoup de Chakra... Je pourrais tenir le pont le temps qu'on passe, mais il va falloir qu'on courre."

Naerfer fit des Mudras, puis hurla :

"Saketon : Yotte Otoko no Jigoku no Ora !"

Une intense aura émana du Chûunin, c'était des vapeurs d'alcool qui se diffusaient très rapidement autour de lui. Il y avait un tel condensé d'alcool qu'il était visible à l'oeil nu :

"Ah oui, j'oubliais, j'éspère que tu n'es pas très sensible à l'alcool mon ami !"

Mon ami, c'était plus pour la forme que pour le fait. Très vite, il concentra l'aura pour former deux géants, qu'il dirigea en dessous du pont. Il matérialisa les géants d'alcool de manière à ce qu'ils puissent soutenir le pont sur leurs épaules. Il y en avait un au milieu du pont, et un au début. L'aura n'allait pas plus loin. Naerfer grinça des dents. Il avait déjà utilisé beaucoup de Chakra pour matérialiser de telles choses, mais le pont semblait solide. Il falalit qu'il explique très vite à son partenaire :

"On va courrir le temps que mon alcool soutienne le pont. Dès qu'on sera au milieu, on sautera tout les deux en même temps. A mon signal..."

Il se préparait, sa vie et celle de son allié était en jeu :

"MAINTENANT !"

Il se mit à courrir à toute allure. Son Jutsu tenait pour le moment, mais comme il avait stoppé son signe de main, il allait tenir que quelques secondes encore. Il fallait qu'ils soient très rapides et ésperait que son allié le suive à la même vitesse. Le premier géant s'écroula. Il ne restait que celui du milieu. Dès que celui-ci céderait, il fallait qu'ils sautent. Et c'est ce qu'il fit :

"SAUTE !"

Il prit son impulsion au niveau du dernier géant d'alcool qui céda lui aussi, et sauta sur la plus grande distance qu'il pouvait, tenant la corde dans sa main gauche, au cas ou son allié tomberait. Le poids était grand, et le pont se déroba sous ses pieds. Il voyait l'autre partie de la rive qui n'était plus très loin... Quelques centimètres. NON ! Et si ! Naerfer se rattrapa à une main sur l'autre rive. Ce n'était plus loin. Sa main droite s'accrochait férocement à ce rebord. Prmeière épreuve passée. Il fallait maintenant qu'il remonte...

Les deux Shinobis arrivèrent à passer le premier obstacle qui se dressait face à eux grace à l'ingéniosité du konohajin, qui par son attribut bien spéciale parvint à soutenir le pont pour un trajet express. Même si au final le fidel passeur de bois céda sous le poids des hommes et du temps. Accroché du bout des doigts et suspendue au dessus d'une petite rivière dont le courant était fort. Il fallait pour le premier remonter au plus vite, pour ne pas risquer la chute. A vrais dire elle n'importait peut lorsqu'on savait que le plus important était l'atterissage. Non loin de là s'ils parvenait a remonter, les deux hommes trouveraient un chalet. Une aubaine pour faire une halte et réfléchir à une possible stratégie. Mais cet habitat était pour le moins, très originale. En l'observant on pouvait voir qu'il était fait de sucrerie. Un met délicieux qui redonnerait de l'énergie. Dans cet épreuve si robuste l'apport de glucose n'était pas à négliger. Qu'allaient-ils faire ? Risquer le precipice ou poursuivre sur la terre ferme.

HRP :
Bravo vous avez franchi la première épreuve, les quiproquos du précédent tours sont d'ores et déjà réglés. Pour la qualité du poste ayez l'obligeance de comprendre sue je vous répond de mon téléphone portable.

Rang A

Naerfer ne mis pas beaucoup de temps à répondre. Le manieur d'alcool réfléchissait tout en parlant, annonçant quelque chose à son coéquipier, lui aussi ancien Konoha-jin :

Je pense qu'avec cette corde, qui n'est longue que de 5 mètres, on arrivera difficilement à sauter ce pont, qui doit faire une trentaine de mètres. C'est simple, un sautera, et l'autre tombera dans le ravin. Ou bien celui qui sautera tombera tout seul avec le poids de l'autre. C'est du suicide. Ensuite, si on passe tout les deux, le pont risque de cèder. Hm... Le dilemme est assez compliqué.

Sora espérais que Naerfer avait une idée, sinon l'épreuve allait être plutôt difficile pour les deux coéquipiers d'un jour. Sora réfléchissait lui aussi, mais il ne possédait que des Jutsus Katon et le Kage Bunshin. Ah ! Pourquoi ne pas faire un pont secondaire avec des clones ? Cela devait être possible, après tout les Kage Bunshin sont assez résistants et ils ont une conscience, donc ce serait facile de faire un truc du genre. Finissant son plan farfelu dans sa tête, Sora fut légèrement surpris d'entendre que son coéquipier avait une idée ingénieuse, mais couteuse en chakra.

J'ai bien une idée, mais il va falloir qui tu assures par la suite. Avec une technique de ma propre invention, mais qui utilises beaucoup de Chakra... Je pourrais tenir le pont le temps qu'on passe, mais il va falloir qu'on courre.

Ensuite, le Raikôru enclencha quelques mudras avant de crier à pleins poumons le nom de son jutsu, un nom plutôt compliqué d'ailleurs :

Saketon : Yotte Otoko no Jigoku no Ora !

Donc il manie le Saketon... Si je ne me trompe pas c'est une affinité propre a un clan de Konoha très décrié. C'est donc un Konoha-jin... Intéressant...

Sora venait de découvrir la vrai nature de son coéquipier, qui était plutôt intéressante pour le jeune Uchiha. Ainsi cela lui faisait une connaissance en plus à Konoha. En plus celui-ci ne connaissait que la version "cachée" de Sora, ce qui était un avantage puisqu'il pourrait discuter avec lui, et ainsi peut-être tenter quelque chose avec le Hokage. Sora allait pouvoir bricoler tout un tas de plan pour se sortir du bourbier dans lequel il était. Rester à Iwa n'aurait qu'un impact négatif pour Konoha et Sora lui-même. Le jeune garçon se doutait qu'il n'avait plus de famille, mais rien ne lui avait confirmé cela, si ce n'est l'intervention de l'étrange scientifique à Iwa. Se re-concentrant sur la situation, Sora sentit que l'odeur de l'alcool était de plus en plus forte et les vapeurs d'alcool présentes dans l'air prirent une consistance visible, ce qui finit par former des géants plutôt étrange. Naerfer eu la présence d'esprit de prévenir Sora sur sa réaction à l'alcool, mais cependant l'alcool commençait déjà à prendre légèrement la tête de Sora et ce malgré son masque. Retenant sa respiration du mieux qu'il pouvait, Sora sortit deux Kunais. En effet, si jamais le pont cédait quand même et qu'il fallait sauter, il pourrait utiliser les Kunais tels des piolets d'alpiniste et ainsi remonter avec. Sa présence d'esprit fut confirmée par les dires de son coéquipier :

On va courrir le temps que mon alcool soutienne le pont. Dès qu'on sera au milieu, on sautera tout les deux en même temps. A mon signal...

Sora se tenait prêt. Les jambes fléchies, Le regard attentif, les sens affutés, comme toujours lorsqu'il était en mission en fait. Le signal du Raikôru ne se fit pas attendre, et les deux jeunes gens se mirent à courir. Les vapeurs d'alcool se faisaient moins présentes, ce qui allait soulager un petit peu Sora, qui recommença à respirer. Courant derrière son coéquipier sur le pont, Sora attendis le deuxième signal de Naerfer, ce qui ne se fit pas attendre. En effet, le manieur d'alcool cria peu de temps après :

SAUTE !

Sora se dépassa physiquement lors de ce saut, mais malheureusement cela ne fut pas assez. Etant resté derrière son coéquipier car le pont ne permettait le passage que d'une seule personne en largeur, Sora s'était pourtant rangé du côté droit du pont tremblant fortement. Ayant sauté le plus haut et le plus loin qu'il pouvait, Sora se réceptionna un peu en dessous de la bordure, en plantant violemment ses deux Kunais dans le mur qui lui faisait face. Descendant sur quelques centimètres, Sora remonta tant bien que mal avec ses Kunais pour finalement s'accrocher sur le bord de la rive. Utilisant ses nouvelles prises, un peu plus solides que les Kunais, Sora se hissa finalement sur la rive. Là, Naerfer l'attendait. Celui-ci avait déjà dû remonter, ayant de meilleurs prises que l'Uchiha. Prenant rapidement la parole, Sora félicita son coéquipier :

Bravo pour l'idée, je venais d'en avoir une mais la tienne semblait tout aussi efficace. Je te conseil de ne pas trop consommer de chakra encore, si tu en a déjà consommé beaucoup il ne faudrait pas que tu soit à court.

Se reposant, Sora resta debout, le regard dans le vide, pendant quelques instants. Reprenant son souffle et ses esprits, Sora ne tarda pas à proposer à son coéquipier de continuer la route.

On repart ? On à pas mal de route à faire.

Les deux shinobis reprirent leur route en pénétrant dans la jungle qui leur faisait face. Essayant de capter chaque bruit et de séparer les bruits d'animaux ou de végétaux et les bruits anormaux comme un déclenchement de pièges ou des bruits de pas, Sora était très concentré. Les deux Konoha-jins finirent par arriver devant une maison plutôt étrange. En effet, Sora l'analysait déjà et avait facilement remarqué qu'elle était fait de sucreries. Étrange, un abri comme celui-ci dans une jungle comme celle-ci... Cela ne mettait pas en confiance l'Uchiha méfiant. Réticent à l'idée de pénétrer dans cette étrange demeure, Sora expliqua à son coéquipier :

Je sais pas ce que t'en penses, mais j'ai tout sauf confiance dans ce truc bizarre. En plus les sucreries sont des sucres rapides, donc en manger ne nous serait pas très utile sur le long terme. Tu en penses quoi ? On peut la brûler entièrement sinon.

Après les réticences de l'Iwajin, le manieur d'alcool de Konoha semblait aussi réticent à entrer dans cette petite cabane de sucrerie. Ainsi le binôme passait devant l’abri fait en confiserie pour continuer leur chemin long et sinueux en cet endroit aussi étrange que lugubre. Non loin de là se trouvait un pont de pierre construit dans les ruines de ce qui s'apparentait à une ancienne citée perdue. Aucune alternative à l'horizon ils devraient traverser le dit endroit pour pouvoir continuer cette épreuve. Mais ici ils guettait est attendaient les voyageurs. Une horde de petit homme sauvage appelés Indininjène leur tendrait une embuscade. Plusieurs pièges étaient disposés sur leur route. Autre information la vélocité de cette tribus leur servait à chasser leur met le plus délicieux... La chair humaine.

Hrp :
J'ai sauté le tour de Naer pour permettre à Sora d'avancer ce n'est en tout point pas une sanction contre Naerfer.
Faites attentions aux pièges soyez vigilent.

Rang A

Comme Sora s'en doutait, Naerfer était aussi réticent que lui à l'idée de rentrer dans cette étrange maison faite en sucreries. Sage décision, se surpris à penser Sora. Continuant d'avancer avec son partenaire, SOra observait les alentours. Le décor n'avait toujours pas changé : les mêmes arbres bordaient toujours le sentier qu'empruntait le duo, ces mêmes arbres qui rendaient le lieux lugubre et sinistre. La même odeur de mort régnait encore et toujours, chose qui n'aidait pas à se détendre. C'est donc perpétuellement sur ses gardes que Sora avançait dans la sinistre forêt, propriété de l'étrange et magnanime Jinkaku Futae.

Arrivant à un pont de pierre un peu plus loin après la maison en bonbon, Sora, accompagné de Naerfer, observa de loin l'édifice et ses alentours. Placé au beau milieu de ruines de ce qui semblait être une ville, le pont semblait plutôt solide, mais des ruines... Cela n'était pas fait pour mettre Sora en confiance, ainsi il invita son partenaire à se cacher sur un côté, là où ils pourront observer sans être observés. Préférant la sécurité aux risques, Sora décida de créer un clone d'ombre pour le faire traverser le pont afin de faire en sorte de déclencher les potentiels pièges de la zone. Sora expliqua à Naerfer son plan :

Je vais utiliser un clone pour faire en sorte de sécuriser le pont en déclenchant les potentiels pièges qu'il abrite. Cette zone ne me donne pas du tout confiance, autant jouer la sécurité.

Après ces quelques mots, Sora fit apparaître son clone qui n'eu pas besoin d'instructions pour se diriger vers le pont. Le duo n'avait plus qu'a observer discrètement le clone emprunter le pont.

HRP : Le tour de Naerfer est sauté.

Le clone de Sora passa est déclencha des pièges diverses, ce qui eu le don de faire littéralement voler une pierre qui vint heurter la tempe du Konohajin celui-ci tomba alors inconscient. Le bruit occasionné par les diverses détonations eut le dont d'alerter les cannibales, ceux-ci au nombre de treize se dépêchèrent d'aller chasser leur prochain repas. La seule issus possible pour l'Iwajin était de prendre le pont fragilisé. Pour éviter l'affrontement où d'obtenir un signe du destin.

Rang A

Le clone marchait rapidement et fini par atteindre le pont. Marchant prudemment, celui-ci déclencha nombres de pièges qui auraient été fatal à monsieur Tout-le-monde. Mais Sora n’était pas monsieur Tout-le-monde. Loin de la. Descendant du clan Uchiha, il avait un honneur à faire respecter, et ce n’était pas de vulgaires pièges qui allaient mettre fin à l’histoire naissante de notre jeune Uchiha. Lorsque le clone pris une pierre dans la tempe et tomba inconscient, Sora le fit disparaître. Connaissant ainsi mieux les zones fragilisées du pont grâce aux informations de son clone, Sora était prêt à passer l’édifice en ruine. Tapant sur l’épaule de Naerfer en lui mimant l’ordre de courir, les deux Konoha-jin se lancèrent dans leur course. Peu après, les cris des petits êtres cannibales intimèrent au duo l’ordre de courir de plus en plus vite. Sora était devant et Naerfer le suivait de près. Les deux courraient pour leur vie.

Le groupe des cannibales les rattrapaient rapidement, ainsi Sora eut une idée. Utiliser des kunais avec des notes explosives pour exploser le pont. Bonne idée, non ? Cependant il y avait l’aura de Naerfer. Enfin l’alcool qu’il dégageait dans l’air. L’alcool, ca s’enflamme. Donc il va falloir s’organiser pour ne pas faire exploser les deux Konoha-jin en même temps. Sora sortit deux kunais avec des notes explosives qu’il prépara au lancer. Une fois la moitié du pont atteint, Sora les planta dans le sol puis continua sa course effrénée. Les petits êtres se rapprochaient dangereusement, si bien que Sora ne dût pas tarder pour faire exploser tout ca. Préférant quand même sécuriser la chose, Sora ne déclencha l’explosion que lorsqu’il fut quelques mètres plus loin. Formant son Mudra, Sora prononça :

Katsu !

Le pont explosa, et le soufflé de l’explosion les propulsa légèrement en avant. Manquant de tomber, le duo continua cependant de courir, mais les cannibales qui restaient forcèrent le duo à se retourner et à combattre. Prenant les devants, Sora créa deux clones qui encerclèrent rapidement le groupe d’indigènes avant de leur lancer des shuriken. Sora ne pouvait pas utiliser son katon à cause de l’aura de Naerfer, c’était handicapant. Comment le duo allait-il faire pour s’en sortir ?

Ils avaient franchis le pont qui s'écroula grâce à l'action de celui qui n'était donc pas monsieur tout le monde. Tel un héro il veilla même à ne pas blesser son ennemi. Cependant les indigènes qui étaient encerclés par des clones fait par l'Iwajin à la grande endurance avaient plus d'un tour dans leurs sac. L'un d'entre eux visiblement le plus vieux si l'on jugeait à sa calvitie apparente et aux rides qui saillaient son visage. Mimant en brandissant un bâton dont des os servaient d'ornement. Il lança dans un baragouinage :

- Tanpura Tenpupu Tenpuraaaaa.

Sur le corps de Naerfer apparut alors une marque. Celui-ci pouvait sentir ses membres se raidirent et se rapetissèrent. Il ne tarda pas à se retrouver confiner dans une boite. Il était enfermé et rien ne pouvait l'en sortir. Tandis que devant Sora venait à présent une grande porte avec un minuteur et quelque files, le tout relié à une grosses cuve de chakra en effervescence. Il affichait un décompte de 5 minutes il fallait trouver le moyen de l'arrêter sans quoi, une fois ce délais passé elle exploserait dans le cas contraire les deux hommes auraient terminés leur épreuve. Les indigènes eux prirent la fuite.

HRP¨ : T'as du mal avec ta conso de chakra... Il faut que tu la calcule de ta première technique utilisée dans ce sujet jusqu'à la dernière !

Naerfer est dans une boite et est hors jeux jusqu'à la fin de l'épreuve.

Les fils sont bleus, rouge, jaune et vert. L'un d'entre eux arrête la bombe de chakra. Tu as un tour pour trouver la solution. Bon jeu.

Rang A

Le nombre d'indigènes diminua grâce aux shurikens des trois Sora, mais il en restaient encore, et ils allaient être coriace. Sora le sentait au fond de lui, ce combat n'allais pas tourner rond très longtemps. Restant sur ses gardes, Sora observait un indigène, visiblement un vieux chaman si l'on se fiait à sa calvitie accompagnée des multiples rides parcourant son visage et à la sorte de bâton rituel orné d'ossements qu'il agitait frénétiquement autour de lui. Continuant son étrange danse, il lança un baragouinage qui servait certainement d'appel rituel.

Tanpura Tenpupu Tenpuraaaaa !

Tenpura ? Il allait sérieusement invoquer des beignets ? Réagissant comme un enfant, Sora pensa distraitement au délicieux plat que lui servait parfois sa mère. Ah, sa chère et tendre mère... Elle lui manquait tellement... En se rappelant son doux et joyeux visage, sa tendresse inégalée et sa grande bonté, Sora versa discrètement une larme derrière son masque. Il ne savait pas ce qu'elle était devenu, et ne savais pas grand chose de plus vis à vis de son père. Ce sale scientifique fou qui servait de Kage à Iwa devait mourir. Sora se doutait qu'il avait kidnappé ses parents, et à en plus copié sa conscience. Sora ne pourrait jamais pardonner à celui qui au deuxième homme qui a ruiné sa vie. L'autre était Aizen Samidare. Despote autoritaire et complètement timbré, Aizen avait créé l'empire de Mizu, une nation soit disant forte et dirigée d'une main de maitre par un garçon d'à peine quelques années de plus que Sora. Celui qui était responsable de la mort de Hanako, celui qui était responsable de la destruction de Konoha. Ces deux personnages étaient responsable de ce qu'est à présent la vie de Sora, et sur ce point la le survivant Uchiha ne pourra jamais les pardonner.

Sortant de ses rêveries, Sora constata que ce qui était auparavant son coéquipier était maintenant une boîte. Pure et simple. Au moins celle-ci ne dégagera plus d'alcool, c'est bien. Une chose bizarre était aussi apparue, à savoir une grande cuve de chakra en effervescence munie d'un espèce de minuteur affublé de quatre fils.

Kuso. Une bombe de chakra ? Se demanda l'Uchiha.

Apparemment sa réflexion se révéla exacte lorsque le minuteur se déclencha, peu de temps après. Au départ réglé sur cinq minutes, maintenant les secondes s’égrainaient. Il fallait que Sora trouve une réponse, et rapidement. Il fallait réfléchir. Le seul indice qu'il avait étaient les couleurs des fils : bleu, rouge, vert et jaune. Il y avait aussi l'incantation étrange à base de beignets du vieux chaman indigène, mais comment cela pouvait-il aider ? Il fallait trouver une couleur, pas de la nourriture. Réfléchissant, Sora ne regardait pas les secondes s'écouler. Ses clones réfléchissaient avec lui, donc il pouvait réfléchir trois fois plus. C'est cool, ça.

Arrivant bientôt à trois minutes restantes, le minuteur stressait toujours un peu l'Uchiha. Taisant ce stress grâce à son entraînement au Jiei, Sora avait les idées claires, comme ses clones. Soudain, l'un deux eu une idée. Parlant à voix basse, il informa le vrai Sora :

J'ai une idée : les tenpuras, ce sont des beignets frits. Ils sont jaune, n'est-ce pas ? Donc essayons de couper le fil jaune !

Ce n'est pas une mauvaise idée. se surpris à pense Sora après tout il fallait bien en couper un, et c'était le seul indice dont ils disposaient. Sora eu une idée en plus. Parlant aussi à voix basse, Sora informa ses deux clones de la situation :

J'en ai une en plus. Désolé de vous utiliser encore comme ça, mais c'est la façon la plus sécurisée de désamorcer ce piège. Je vais renvoyer l'un de vous deux, et l'autre sera charger de couper le fil jaune une minutes après que je sois parti vers la suite de l'épreuve. Si la bombe ne se désamorce pas, coupe tous les fils : il y en a certainement trois de mauvais et un de bon, donc si on coupe un mauvais et que la bombe n'explose pas, cela veut dire qu'on peut couper le reste des fils en une seule fois pour désamorcer la bombe. Une fois le travail fait, disparait par toi même. D'accord ?

Répondant par un hochement de tête, les clones se préparèrent. Observant l'attitude des deux, Sora fit disparaitre le clone de gauche qui semblait prêt à cela, laissant le clone de droite travailler sur la bombe. Quand à lui, Sora pris la boite qu'était maintenant devenu Naerfer et s'enfuit vers la suite de l'épreuve.

Sora quitta peu après les ruines. Au même moment, son clone coupa le fil jaune.

HRP : Les couts en chakra sont la pour être utilisés en cas de litige comme l'ont dit plusieurs Staffeux. Par conséquent, calculer le pourcentage de chakra restant me semble inutile.

Le fil jaune, n'est-ce pas Messires... Le clone décidément bien nombreux en cette nouvelle ère ninja avait décidé après un aparté avec son maître de découpé le fil couleur jaune. La cuve entre soudainement en effervescence. Pour laissée échapper un ''piouff ''. En effet et au désarroi des amateurs de tragédies gréco-romaine rien ne se produisit. Rien si ce n'est que la boite, oui cette fameuse boite où est enfermé Naerfer le Konohajin. Se mit à reluire de manière fortement étrange. Il ne pouvait rien faire celle-ci explosa. La cuve était initialement un leurre et la boite qui donna lieu à une puissante lumière qui se mêla à l'explosion... Il n'y avait plus aucune trace ici des deux jeunes chunins.

Spoiler:

HRP :

Spoiler:

» (Deuxième épreuve) (Chuunin) Shinki Jishaku et Nuigetsu Hozuki [Terminée]
» (Deuxième épreuve) (Chuunin) Yagami Akoshana et Hadiko Momochi [TERMINE]
» (Deuxième épreuve) (Chuunin) Shura Hônodenki et Fuko Royuki [Terminé]
» (Deuxième épreuve) (Chuunin) Maigo et Kojiro Hosokawa [Terminée]
» (Deuxième épreuve) (Chuunin) Dorumo Sabaku et Tsubaki Narahima [Terminée]

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