Je pense à ...
àAu niveau de sa personnalité, Sadao est quelqu’un de très gentils qui n’aime pas la violence gratuite ou le meurtre, s’il le peut, il évitera même d’abattre un adversaire et essaiera plutôt de lui faire ouvrir les yeux sur sa vie et la voie à suivre pour devenir une personne meilleur. Il aime particulièrement la voix du samuraï, bien qu’il ne souhaite pas en devenir un lui-même puisqu’il suit la voie du ninshuu hérité du Rikudo Sennin. Cependant, il éprouve un grand respect pour ceux qui suive la voie du bushido, reprenant certain concept de la voix du guerrier pour les intégrer à sa propre voix. Ainsi, il souhaite garder son honneur.
Son plus grand rêve est de devenir un maître dans l’art du Kenjutsu, ainsi, il a comme passe-temps l’entrainement, comme hobbies, l’entraînement. Il aime s’entraîner pour affiner sa technique et ainsi en faire la meilleure au monde.
Cependant, il n’a pas que des qualités, il est également quelqu’un d’extrêmement pervers qui n’hésite pas à se procurer la série Icha iCha du légendaire Jiraya des Densetsu no Sennin. Il recherche également la présence de belle jeune femme, qu’il adore très peu vêtu. Mais, il ne pousse pas son vice jusqu’à espionner la gente féminine jusque dans les Onsens qui sont pour lui un lieu de détente et de calme.
Il est également important de noter que Sadao éprouve une haine sans bornes à l’égard du village d’Iwa et tous ces membres. Ainsi, même s’il n’aime tuer, il n’hésitera en aucune façon à abattre un Shinobi d’Iwa. Cette haine féroce pour ce village trouve sa cause dans l’obligation qu’avait eue le clan Shikaï de se battre, pour Iwa et le Sandaïme Tsuchikage Onoki, lors de la troisième Grande guerre Shinobi
J'ai vécu...
Sadao est né dans le lointain village de Tsurugigakure no Sato, son père Sosuke Shikaï en était alors le dirigeant. Pendant les cinq premières années de vie de Sadao , ce dernier vécu une période simple et tranquille grâce à l’amour de sa famille et à la profonde amitié qui liait chaque membre du clan. Ainsi, le jeune héritier du clan Shikaï apprit à marcher, à parler et fut initié à l’écriture et la lecture.
Sadao à cette époque avait également un lien très fort avec son grand-père Shin, qui lui parler des deux plus grands héros du clan, Sora et Sen Shikaï deux des plus grands bretteurs du clan. C’est à ce jeune âge que le jeune garçon trouva enfin son rêve, celui de devenir le meilleur bretteur du monde, plus fort que les légendaires sabreurs de Kiri. Cependant comme tout le monde le sait, il n’existe aucune vie idyllique, hormis dans un univers utopique.
Ce fut lors d’une nuit sans lune, lorsque les chasseurs nocturnes deviennent les maîtres de la nuit, que se déroula le drame. Une puissante force de ninja déserteur convergea vers le village du clan, ils enfoncèrent la grande porte et tuèrent sauvagement les gardes en faction. Ils n’avaient qu’un seul objectif atteignait Sosuke pour l’obliger à donner les rennes du village au chef des Nukinins. Ne désirant pas un seul instant voir d’autre membre de son clan se faire tuer le père de Sadao préféra remettre le village. Cependant refusant catégoriquement de rester et d’obéir à des criminels, le clan choisit de quitter leurs villages et de retourner vers les nations élémentaires.
C’est ainsi que le jeune Sadao parti avec son clan vers une zone inconnue. Pendant ce voyage, Shin en profita pour initier le jeune garçon à l’art du clan, le Kenjutsu, art auquel il prouva être un véritable génie, même pour un Shikaï. Devant son talent, son grand-père ne sut que faire, c’est ainsi que Sadao apprit l’existence d’un homme que tous appeler Kyokushin. Malheureusement pour lui nul ne savait où il était. Devant ce fait, le jeune apprenti ninja choisit de performer sa technique au kenjutsu avant de tenter une recherche du maître.
Presque deux ans après leur départ des terres de Tsurugigakure no Sato, Sadao et son clan arrivèrent enfin sur de nouvelles terres, celle du pays de l’herbe. Sosuke, fit alors le choix d’aller voir le chef du village de Kusa pour lui proposer une alliance défensive entre le clan Shikaï et Kusa en échange de leurs libertés. Chose qui fut acceptée par le chef du village et le conseil.
C’est à cette époque que Sadao apprit qu’un des grands villages ninjas était réputé pour ses sabreurs. En effet ayant eu vent de l’excellence des sabreurs de Kiri, le garçon prit la décision de se faire former à l’art du Kenjutsu dans ce village. Peu enclin à laisser son fils partir, Sosuke refusa de le laisser partir, mais devant l’insistance de Sadao et de son père, le patriarche du clan s’inclina et laissa le jeune garçon partir à la condition qu’il soit accompagné de son grand-père et qu’il espionne le village de Kiri au nom du clan.
Sadao partit alors en direction du village de Kiri avec son grand-père. Ce dernier en profita pour avancer son petit-fils dans l’art du sabre. Ainsi, ils prirent deux semaines à arriver à Kiri, là, ils demandèrent à rencontrer une personne responsable afin de notifier leurs arrivées et l’inscription du jeune Sadao à l’académie ninja. Ainsi pendant quatre années le jeune apprenti pût apprendre la vie de Shinobi, ainsi que toutes les techniques de base à connaître pour un jeune ninja. Mais, il ne restreint pas son entraînement à cela, il continua à perfectionner son art du sabre et essaya également de débloquer son affinité élémentaire Fuuton.
D’autre part, après quatre ans passés à l’académie ninja, Sadao intégra une équipe composée de deux autres genins et d’un juunin Sensei. Cependant, il se contenta de faire les missions et les entraînements communs et non de retenir leurs noms sur du long terme. Ainsi, une nouvelle année s’écoula, à la fin de laquelle Sadao et ses coéquipiers passèrent l’examen Chuunin. Examen qui vit la mort d’un des coéquipiers de Sadao lors de la phase éliminatoire.
Sadao fut ainsi le seul de son équipe à participer à la finale de l’examen, final qu’il ne remporta malheureusement pas, mais qui le vit être conseillé de retenter prochainement l’examen. Ceci aux égards de ses compétences, excellent dans le maniement des armes et une bonne stratégie face aux divers adversaires qu’il a rencontrés, mais au manque de pluralité dans ses techniques et savoir-faire. C’est ainsi, suite à la mort d’un de ses camarades l’équipe fut décomposée.
Malheureusement pour lui, son grand-père décéda brusquement un an après sa nomination au rang chuunin, ce qui le força à emmener lui-même le corps auprès de son clan. C’est ainsi qu’il quitta Kiri en étant anéantis par ce brusque décès, malgré tout, il savait qu’il devrait revenir au village pour ne pas être considéré comme un déserteur ce qui aurait déplu à son grand-père Décédé.
Plus de deux mois après son départ, Sadao revint à Kiri avec son affinité Fuuton trouvée, mais n’ayant eu aucun cas le temps d’apprendre à s’en servir. D’autre part, il a la ferme intention de trouver maître Kyokushin afin de devenir plus fort et obtenir le titre de Chuunin. Et c’est en arrivant à Kiri qu’il commença son enquête afin de retrouver cet homme mystérieux qui hantait ses rêves. Cependant même après six mois de recherche intensive durant ses missions solo il ne trouva rien, pas même la moindre trace de cet individu. Rapidement il se rendit compte que ses recherches éveillèrent les soupçons des instances du village et il fut convoqué pour expliquer son étrange comportement.
C’est ainsi, que Sadao se retrouva en face des plus hauts ponts de Kiri. Ces derniers l’interrogèrent de long, de large et en travers pour savoir en quoi son enquête consistait. Il choisit l’honnêteté comme réponse et leurs appris qu’il recherchait un maître que son grand-père avait rencontré dans le passé, ce dernier étant quelqu’un de particulièrement doué et qui avait formé de très bons Shinobi à travers la péninsule. Il ajouta également que cela lui permettrait d’augmenter ses capacités pour défendre Kiri afin d’endormir la méfiance que pouvaient causer ses paroles.
Suite à cet entretien les instances de Kiri prirent leurs temps avant de finalement donner une réponse positive à Sadao. C’est ainsi, que Sadao se retrouva un beau jour à préparer un voyage pour trouver Kyokushin.