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| Sujet: Hana - La tristesse vous marque pour l'éternité... [Terminé] Ven 3 Jan - 1:40 | |
| Kanashimi Hana In Rp... • Âge : 22 ans • Nom : Kanashimi • Prénom : Hana • Nindo : « La tristesse, tout le monde y aura droit. » • Village : Déserteur de Kiri - Akatsuki • Clan : Kanashimi • Grade : Nuke-nin • Bingo-Book qui viendra après c:On n'oublie pas un visage... Malgré son étrange comportement et ses airs de personne dédaigneuse, Hana est d'une beauté assez anormale. Dans sa famille, il n'y eût jamais d'individu pouvant rivaliser avec elle sur le plan esthétique, étant donné que le clan Kanashimi était en partie connu pour ses membres d'une apparence généralement repoussante. Tandis que ses géniteurs avaient droit à des cheveux secs à l'apparence sale – malgré les lavements – Hana eût la merveilleuse teinte de l'ébène et une douceur incarnée, rien que pour ces longs cheveux lui arrivant au milieu du dos. Et pour poursuivre sur la lancée de cette beauté anormale, rien de tel qu'une peau d'un blanc pur, sans aucune impureté. Dans cette mer de chair blanchâtre se noient ses yeux bruns au doux penchant violet, piégés dans deux creux aux formes des amandes. Puis, une petite montagne se dresse au milieu de cet océan de blancheur. Cette petite chose que l'on appelle nez, est, chez Hana, fin et légèrement retroussé, contrairement au pique crochu de sa mère, et à la bosse de chameau de son père. Et enfin, un petit îlot de tendresse, perdu à quelques bornes de la montagne. Tout simplement de fines lèvres, naturellement rosées. Relié à cet océan par une simple passerelle hébergeant le sommet de la colonne vertébrale, un corps d'une normalité affligeante, mais qui est pourtant divin en comparaison avec les corps des géniteurs. La carrure de la jeune femme n'est pas très importante, que ce soit au niveau de ses épaules, de ses bras, de son bassin, ou encore de ses hanches. Elle n'a jamais été prise de surpoids, ni d'anorexie. Cela est bien étrange, étant donné que ses ancêtres y avaient pourtant eût le droit. Hana est tout simplement fine, sans plus. Son visage est le plus attrayant, étant donné qu'il n'est pas commun à toutes. Mais son corps, n'importe quelle femme pourrait l'avoir. Il n'y a que l'océan blanc qui donne un aspect attrayant à cette chose avec des formes ni invisibles, ni suggérées. Malgré tout, mieux vaut ne pas sous estimer ce corps. Il en a déjà mis K.O plus d'un ou d'une. L'habit ne fait pas le moine, dit-on. Dans le cas de la triste, ce proverbe s'avère être parfaitement vrai. Ce n'est pas parce qu'elle est un tantinet frêle qu'il faut la sous-estimer. Après tout, les Genins peuvent vaincre leurs supérieurs en un Rasengan. Et enfin, voilà une partie sur laquelle personne n'a jamais grand chose à dire. Que pourrais-je bien vous raconter sur les jambes et les pieds ? Ma foi, rien de bien spécial. Les membres inférieurs de la jeune femme débutent tout simplement là où ils devraient débuter. Ils sont d'une épaisseur tout à fait normale, d'une longueur toute aussi banale, et s'achèvent par des pieds aux mensurations convenant à toute jeune femme de la taille d'un mètre soixante-douze, comme Hana.
Dans les méandres de mes pensées... Pour une plus grande facilité de repérage, je fais toujours un plan précis pour le caractère, plan qui est le suivant : qualités, défauts, goûts, relations. Merci de ne pas prendre en compte cette note dans l'évaluation, même si je pense que ça allait déjà être le cas. Enjoy !
Comme toute personne, aussi sombre soit-elle, Hana possède des qualités. Et bien que ces dernières se trouvent être enfouies dans un coin au fond d'elle, la demoiselle n'arrive pas toujours à les refouler. Par exemple, elle peut très bien se montrer attachante envers un type particulier de personne. Dans ce cas, la mystérieuse laissera parler son véritable être et se mettra à protéger, voire même à aimer cette personne. Bien entendu, ce ne sont que de rares exceptions. Sachez qu'elle est également très loyale, et par dessus tout honnête. Peu importe la promesse ou le pari, tant qu'elle s'en souvient, elle en respectera les issues jusqu'au bout. Hana est également une femme de goût, si l'on peut dire ainsi. Elle aime être vêtue de façon convenable, propre, avoir une odeur envoûtante, et j'en passe. Comme l'expriment les clichés sur la gente féminine, c'est une personne à passer du temps devant son miroir et à se critiquer. Mais il faut savoir que la brune n'en viendra jamais à faire ces manières là devant quelqu'un, sauf exceptions encore une fois. Et enfin, elle ne désire que l'égalité. Bien que cela soit une égalité étrange, la kunoichi se considère par conséquent comme juste.
Cette égalité, merveilleuse transition pour basculer sur ses défauts. En effet, le terme d'équité qu'elle sous-entend n'est pas rose ou encore pur, loin de là. Elle parle d'une égalité morale, en terme de souffrance. Ayant connue cette dernière très jeune, Hana en a été traumatisée jusqu'à vouloir la répandre au sein de chaque être vivant. C'est triste, mais c'est ainsi. En parlant de tristesse, c'est le défaut principal de la sombre. Cette dernière sera toujours présente pour déblatérer des inepties sur la véritable tristesse, le sens de la solitude, et j'en passe. Cette attitude très négative a généralement pour effet de déteindre assez vite sur les personnes qui l'entourent, malheureusement. Pourtant, elle n'est ni dépressive, ni suicidaire. La belle a juste un penchant assez étrange à s'abonner à la parlotte quotidienne sur des sujets peu enchanteurs, un des traits particuliers de son don à l'asociabilité. Et oui, Hana se trouve être une demoiselle compliquée à cerner, et par conséquent, difficile à amuser, divertir, ou bien attirer. Elle n'est pas la personne avec qui vous rigolerez régulièrement, ou encore votre confidente. Sa capacité à jouer sur les mots et à se servir des gens dépasse l'entendement, bien qu'il soit aisé de la contrer lorsque l'on connaît ses petits tics de parole sur les sujets assez peu convenables. Et enfin, son asociabilité est marquée et terminée par son assiduité maladive. Lorsqu'on lui confie une tâche, Hana s'assurera que cette dernière soit réalisée avec brio, sans aucune bavure. Elle en devient même très maniaque sur de petits détails, et parfois même paranoïaque. Jusqu'à ce jour, personne n'a pu la supporter en tant que coéquipière.
Les goûts de la jeune femme sont assez variés, si l'on peut le dire ainsi. Du côté de ce qu'elle aime, vous aviez raison de penser qu'en première position se situe cette utopie de triste égalité. Bien que potentiellement irréalisable, elle idolâtre presque cette idée. Vient ensuite son goût tout particulier pour l'apparence. Narcissique ou non, la jeune femme aime se parer de bijoux – plus particulièrement ceux d'argent ou d'onyx – et être correctement habillée en toutes circonstances, ce qui balance bien évidemment sur un attrait tout particulier pour la monnaie. Hana apprécie également de voir souffrir les autres personnes tout comme elle a souffert auparavant, petit plaisir bien évidemment relié à son utopie. En terme de gastronomie, elle n'a pas de goûts particuliers. Tant que c'est bien cuisiné, elle se fera un plaisir de manger comme une vorace quand vous aurez le dos tourné. Quand à ce qu'elle méprise, cela comporte le monde en général. Avec ses idées mal placées sur la mort, la souffrance, et la tristesse, Hana n'arrive pas à voir ce qu'il y a de bon en ce monde, et cela l'aveugle. Voilà pourquoi elle agira la plupart du temps de son côté, sauf si le cas l'oblige à travailler avec quelqu'un d'autre. Vient ensuite le tour de son mépris des lapins, dû à une petite altercation avec l'un d'eux au cours de son enfance. C'est stupide, mais c'est ainsi. Et enfin, la dernière chose principale qu'elle haït est l'enfance, non seulement parce qu'elle conserve de mauvais souvenirs de la sienne, mais en plus parce qu'elle a horreur des cris d'enfants, de leur joie de vivre, et de ces sourires insupportables. Quand elle voit ça, la demoiselle a juste envie de criser un bon coup, histoire de faire passer la haine.
Point de vue relationnel, autre chose d'assez complexe, mais en réalité simple. Pour faire court, Hana déteste environ 99% des personnes qui l'entourent, et ce malgré leur attitude. Comment attirer son attention, dans ce cas là ? Tout simplement en ayant le même point de vue qu'elle, chose qui risque d'être assez compliqué. Ou dans une alternative plus simple, vous pourriez très bien l'amadouer en notant ce qu'elle apprécie, et en feintant ces goûts pour votre propre être. Mauvais comédien, s'abstenir !
Jamais je n'oublierai... I – Sacred Birth C'était un mauvais jour d'automne. Comme d'habitude, il pleuvait à Kiri. Dans ce village ninja où le Suiton était l'affinité dominante, une petite fille était née. Mais sa naissance, bien que normale, ne l'était pas pour sa famille. En effet, les Kanashimi n'étaient pas connus pour être les plus belles personnes qui soient, loin de là. Et pourtant, pour la première fois dans ce clan, un bébé à l'apparence normale est venu au monde. Cet événement était un miracle pour la famille d'affreux. Ils croyaient qu'ils allaient pouvoir prouver au monde entier que leur clan ne portait pas que des chromosomes aux caractères négatifs. C'était une véritable renaissance mentale pour le clan. Pourtant, malgré cette naissance, les habitants de Kiri continuaient à jurer sur eux, comme quoi la petite nouvelle était issue d'un mélange bâtard, comme quoi la mère aurait réussi à aller voir ailleurs malgré son physique repoussant. Cette pauvre rumeur causa bien du tord à la génitrice, qui fut battue par son mari au moins tout aussi laid qu'elle. Bien évidemment, personne n'osait arrêter le chef de famille dans sa furie, par peur de subir le même sort. Et pendant ce temps, la petite fut élevée par son grand frère qui avait déjà quatorze ans quant à lui. Les parents étaient bien trop occupés à se crier dessus sans arrêts, malgré les pleurs de l'enfant. Enfin, le reste de la famille restait dans son coin, ne voulant pas se mêler de ce genre d'affaires. Ils accusaient la petite d'être la source de tout ce chaos, et c'était bien vrai. Dans ce clan, seul le frère acceptait d'aider la belle. C'est lui qui apprit toutes les choses nécessaires à Hana, aussi bien le langage, l'écriture, et les arts ninjas de base. Oui, la petite n'eût pas le droit d'apprendre dans une académie comme tout le monde, faute des parents. Seul le frangin l'enseignait à la bataille lorsque les plus vieux avaient le dos tourné. Et cette galère dura pendant les sept premières années de vie de la petite. À partir de ce moment là, le frère se faisait de plus en plus absent. Il faut dire que lui avait eût droit à une promotion en tant que Juunin. Les missions se faisaient donc de plus en plus nombreuses pour lui. Résultat, la petite se retrouvait de plus en plus seule, et livrée à la violence et aux cris de ses géniteurs. II – Spread your wings and fly ! Encore un jour pluvieux de plus pour Kiri. Le temps ne changeait jamais, à vrai dire. La seule chose qui variait, pour une fois, était la présence du grand frère au sombre domaine familial. Il en va de soit que la petite Hana était des plus heureuses. Pourtant, l'humeur du dîner de famille n'était pas le plat du jour, si l'on peut dire. Chaque membre de la famille lançait des piques à un autre, même à la jeune tandis qu'elle n'avait droit qu'à la seule défense de son aîné. Encore heureux que ce dîner ne dura qu'une trentaine de minutes. Un peu plus et cela partait en bataille physique entre le père et le fils. Les enfants partirent donc dans leur coin, et les vieux firent de même. Cette séparation allait pourtant être définitive. En effet, le frangin se hâta d'emballer quelques affaires de la jeune ainsi que de la nourriture, sans qu'elle ne comprenne pourquoi. L'aîné exprima juste un petit « fais moi confiance ». Et rien que par cette phrase, Hana était prête à le suivre jusqu'au bout du monde. Et c'est presque ça qui allait se produire. Le frère attrapa toutes les affaires emballées, et prit la petite sur son dos. Furtivement, il s'en alla du sombre domaine, jusqu'à même quitter Kiri en trompant la vigilance des gardes. Tout se passa correctement jusque là. Enfin … La petite entendit le lendemain par quelques échos de voyageurs que deux êtres à l'apparence repoussante étaient mort à Kiri, empoisonnés. En réalité, il s'agissait du frère ayant empoisonnée à petite dose la nourriture de la veille. Mais Hana n'en sût jamais rien. Ce n'était qu'une petite vengeance personnelle du frangin, vengeance dont elle ignorait tout. Mais cela ne l'empêcha pas de passer de bons moments, malgré qu'à Kiri on l'accusait désormais de complicité avec son frère, étant donné qu'elle était également portée disparue pile au moment de l'incident. Tout le monde se fichait de son âge. À présent, les gens de Kiri ne voyaient en elle que l'assistante d'un meurtrier, et donc une meurtrière. Malheureux n'est-ce pas ? Mais encore une fois, elle n'en savait rien. Elle ne se doutait même pas qu'il y avait quelque chose de louche au fait que son frère veuille absolument la cacher au monde. Certes, s'échapper d'un village ninja libérait de certaines contraintes comme la redevance et l'obéissance absolue à un Kage, mais en imposait d'autres comme se cacher aux yeux de tous, ou même se créer une fausse identité aussi bien morale que physique. Mais le plus dur était de trouver de l'argent. Cette fois-ci, le frère ne pouvait pas laisser sa sœur seule lors de mission, il devait l'emmener et donc approfondir sa connaissance du combat. En soit, ce n'était pas si mauvais. C'était même plutôt avantageux pour la jeune fille qui devenait déjà de plus en plus forte. Certes, la pratique sur le terrain était bien plus risquée que l'enseignement à l'académie, mais cela faisait également prendre quelques années d'avance, à la longue. En gros, c'était une véritable vie de vagabonds et de mercenaires que menait la petite fratrie. Parfois, ils en ressortaient avec des blessures bénignes, mais parfois avec des séquelles mentales grave, comme la vue d'une petite famille en sang, couchée sur le sol sombre et froid. Ce genre d'épreuve était tout particulièrement éprouvant pour la petite qui commençait à se poser des questions sur le pourquoi et le comment elle était obligée de faire ça. Mais jamais son frère ne lui répondit. C'était un choix stratégique et surtout sentimental. Par cette ignorance, Hana continuerait à suivre éternellement son grand frère, et ne commencerait pas à douter de lui. Enfin, c'est ce que l'aîné pensait. Sa cadette commençait pourtant à douter … III – Forgive me, Hana... Enfin du soleil. En effet, les deux protagonistes avaient quitté les alentours de Kiri pour plus de sécurité, en espérant qu'ils n'aient pas contacté un autre village pour leur venir en aide. Et pourtant, c'est ce qui s'était produit. Par l'afflux soudain des primes sur les Bingos Books, d'autres petits villages n'eurent d'autres choix que d'intervenir. La sécurité s'en voyait donc renforcée un peu partout, si bien qu'un jour, le frère et la sœur tombèrent sur un groupe de trois anbus à la recherche de quelques criminels. Et par malchance, dans leur liste se trouvaient les deux fugitifs. Un combat s'engagea donc. Hana avait beau avoir grandi et prit de la force et de l'expérience, mais à treize ans, il était théoriquement impossible de faire front direct avec trois anbus. Le frère s'en chargea donc, avec de grosses difficultés. Trois contre un, le combat aurait dû être à sens unique. Mais les arts propres au clan Kanashimi les ont sauvé de justesse. Que c'est pitoyable, se disait l'aîné, être sauvé par son passé. Mais malgré cette victoire, il n'en ressortit pas indemne. En effet, il y avait perdu un bras entier, tranché par un coup de katana mal esquivé. Cette malheureuse tragédie n'en laissa pas Hana de marbre. La jeune pleurait encore et encore, espérant bien trouver un centre d'urgences pour sauver son frère. Mais ce dernier l'empêcha de s'y rendre, en fournissant tout simplement comme information tout le passé concernant leur famille, et leur fuite de Kiri. À ce moment là, la brune aurait giflé son frère si seulement il n'était pas blessé. Mais elle était trop occupée à pleurer sur le sort de celui qui l'avait sauvée. Bien heureusement, cette perte de membre ne fut pas fatale au frangin. Hana avait réussi à le maintenir en vie, en prix de deux nuits blanches consécutives. La jeune était littéralement épuisée, et s'endormit tout de suite après. Mais à son réveil, il n'y avait plus rien. Plus rien, sauf trois mots écrit au sol, avec du sang. « Forgive me Hana ». C'est à présent tout ce qu'il restait du frère de la fugitive. Elle se disait qu'il aurait au moins pu lui dire adieu en face, mais non. Elle ne comprit pas pourquoi il était parti, elle n'en savait rien. Tout ce qu'elle savait était le fait qu'elle était en train de souffrir, du plus profond de son être. Elle se disait que la seule personne qui croyait en elle l'avait abandonnée à son tour. La triste se sentait si seul lors de cet événement, personne n'était là pour la rassurer. Elle désespéra, et tomba tout simplement du mauvais côté sans même chercher à comprendre les motivations de son aîné. Elle le croyait mort, ou encore loin d'elle, heureux tout seul. C'est sur ces idées qu'elle commença à sombrer et à devenir méprisante, étrange, et à refouler ses émotions. IV – Give your sorrow to others Aussi simple que cela puisse paraître, Hana réussit à survivre durant de longues années, tout simplement en profitant de ce que la nature lui a offert. Elle a marchandé de nombreux services clandestins, s'est débrouillée pour financer de nombreux entraînements, et ce dans un seul but : faire connaître la véritable tristesse à chacun. Elle grandit pauvrement, profitant simplement de chacun, et gagna également en pouvoir. Ce qu'elle haïssait le plus à présent étaient ses origines, le mensonge de son frère, et surtout la joie. Plus jamais elle ne voulait entendre parler de ça, sous peine d'horribles souffrances. Et pourtant, quelqu'un osa. Elle était à présent une jeune femme de la vingtaine, assez puissante et intelligente pour se débrouiller par elle-même. Pourtant, quelqu'un lui tendit la main. C'était un inconnu arborant un sombre manteau aux motifs en forme de nuages colorés de rouge. Elle avait déjà entendu parlé de cet habit, en mal bien évidemment. Certes, ce n'étaient que des rumeurs ninjas, mais qui s'avéraient pourtant réelles. Cette organisation du passé qui refaisait apparemment surface depuis peu, ce sombre ambassadeur qui disait avoir besoin de quelqu'un comme Hana. Et comme seul argument, il lui dit « Offre ta peine aux autres parmi nous ». L'inconnu avait prononcé cette phrase comme si qu'il en savait beaucoup sur la jeune femme. Et rien que cet argument attira la demoiselle dans quelque chose dont elle ignorait beaucoup, dans l'Akatsuki… Mon clan, mon honneur Les Kanashimi sont un clan de Kiri, pas très important mais pourtant assez utile en soit. Les membres de ce clan sont connus pour leur aspect physique repoussant, et pour leurs techniques assez peu enchanteresses. La place qu'ils occupent au sein du village est assez spéciale. Tout d'abord, chaque enfant se doit de suivre un enseignement aux arts ninjas de six ans à quinze ans, puis trois ans d'enseignement approfondi au sein de la famille. Après cela, les enfants désormais majeurs n'ont que deux options qui s'ouvrent à eux : poursuivre une vie de ninja normal, ou bien suivre les racines de la famille, et donc devenir bourreau. En effet, les Kanashimi occupent cette place depuis un bon bout de temps. Ils sont ceux qui font cracher des informations aux prisonniers de guerre, ou encore qui les font souffrir pour leur faire regretter leurs actes. Cette tradition s'est transférée à environ la moitié des enfants de la famille, qui ont également eût droit à deux technique héréditaires propres à la famille. Sachez que les Kanashimi ont une affinité qui leur est propre, cette dernière est le plasma. Et voici les deux techniques héréditaires qui l'accompagnent.
Ion Tenso no Jutsu (イオン移動の技術 – Technique du Transfert d'Ions) : Cette technique consiste à – comme son nom l'indique – transférer des ions dans la matière afin de la rendre conductrice. L'exécution de cette technique peut donc rendre n'importe quelle matière sensible à la foudre, et ainsi, l'attirer plus aisément. La seule contrainte de la technique est qu'elle nécessite un contact physique avec la matière, elle est donc irréalisable sur quelque chose d'impalpable.
Ion Seinai no Jutsu (イオン性ない – Technique de l'Absence d'Ions) : Elle est un peu le contraire de la technique d'au-dessus. Celle-ci consiste à retirer les ions nécessaires au plasma dans la matière afin de la rendre isolante. Encore une fois, il faut pouvoir toucher la matière pour réaliser cette technique.
Vie Privée Les informations qui suivent sont facultatives sauf celle marquée d'un astérisque : • Âge : 15 ans • Localisation : Sur Terre. C: • Prénom : Il est imprononçable par les humains que vous êtes. • Nindo : Un jour je serai le meilleur Rplayer ! ♫ • Passions : Les mangas, le RP, les jeux vidéos, dormir, manger des humains … Des trucs normaux quoi. • Personnage du manga préféré : Hm … Dans Naruto, je dirai sans aucun doute Deidara. • Comment avez vous découvert le forum ? : Par espionnage de sites terriens (ou top-site quoi) • Comment trouvez vous le forum ? : J'aime bien la page d'accueil, le design ne latte pas mes rétines extra-terrestres, et le blond n'est plus en vie, enjoy it ! • Que faudrait il changer ? : Je pense qu'il faudrait juste raccourcir le règlement. Quand on en voit la taille, il y a de quoi être découragé pour le lire. Pourtant … Je l'ai fait. Gloire à l'envahisseur ! • Autre chose ? : Oui, j'ai déjà RP. Je crois que ça va faire trois ans que je suis dans ce merveilleux monde. • Avez vous lu le règlement ?* : Oui, et le contexte. (Je rajoute la virgule parce que j'ai envie. :v)
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