Aniki Power! [En attente de validation ]

Attention bande de tocards, ceci est une description physique, susceptible d’heurter les plus fragiles, je ne suis en aucun cas responsable des nombreuses séquelles que cet écrit peut vous causer, tout recourt en justice est donc impossible… De plus cette description est sexuellement transmissible, alors pensez à vous protéger.

Nous nous retrouvons maintenant pour débattre ensemble du physique bien particulier de ce fameux gaillard qui parcourt les terres du forum d’un pas lent et prononcé, comme si le temps n’avait pas d’emprise sur lui, comme si l’affaire retentissante de Dieudonné  lui importait peu, comme si… Enfin bref vous m’aurez suivi ou pas, personnellement je m’en fous, ce personnage est assez calme et posé dans sa démarche, mais cela ne veut pas dire qu’il n’attire pas les regards, bien au contraire ! Comment peut-on passer inaperçu avec un style vestimentaire si… Comment dire… Particulier ! Il ne faut pas déconner, c’est quoi ces fringues couleurs fuchsia ?! On dirait qu’il pique les vêtements de sa mère avant de sortir, alors oui, toi, oui toi ! Le lecteur menant une double vie le soir, et là, seule les plus lucides auront compris, tu peux le comprendre, mais pour une personne tout à fait normal, ce look peut être qualifié de merdique… Ba oui ! Je le dis haut et fort moi monsieur, je n’ai pas peur !

Quoi qu’il en soit, l’aisance dont celui-ci fait preuve et l’autosatisfaction qu’il dégage force l’admiration ! Après c’est sûre qu’il n’a pas la beauté naturelle de notre magnifique modératrice Haato, mais que voulez-vous, on fait comme on peut hein ! On peut donc lui accorder le mérite d’avoir un charisme bien à lui, tout comme Gakuto, mais finit les compliments frauduleux, qui cache une tentative certaine de soudoyer nos biens aimés modérateur et fondateurs, qui sont je trouve totalement parfait ! Bon il est temps de nous attarder sur cet accoutrement un peu en dehors des normes imposées par la société. Alors commençons par ce magnifique chapeau de couleur noir, sur lequel quelques plumes trônent, car on le sait tous, ce sont les petits accessoires de la sorte qui font fureur, regardez Sergerk, lui se sont ses lunettes, très classe au passage, qui lui donnent un petit style et ba Zetsu c’est ce chapeau.

Si l’on regarde un peu plus bas, on observe que le héros porte un long manteau noir à manches longues, sur lequel sont brodées diverses formes et là je veux dire stop ! C’est quoi ce violet fuchsia ! Bon ok j’arrête de vous saouler avec ça. Enfin bon je trouve que celui de Yukimura est bien plus classe, mais bon c’est un simple avis et ça n’engage que moi. Ensuite et pour conclure sur les fringues portées par notre jeune protagoniste, on distingue un pantalon, tous ce qu’il y a de plus simple, resserré au corps par une ceinture de cuire, du basique quoi.

Passons maintenant à visage du petit Aniki, tout d’abords il est important de mentionner que ses yeux sont souvent cachés par le bout de son chapeau, pourquoi ?... Ba je ne sais pas moi, arrêtes de me faire chier avec tes questions ! De toute façon cet étrange personnage semble passer des heures à soigner l’esthétisme de sa barbe et de sa moustache, parfaitement coupées et qui lui donne un petit côté hispanique. Il est important de préciser que ses yeux noirs semblent constamment fixer l’horizon. A ce qui parait ça lui donne un petit côté BG, ne me demandez pas ce que signifie le mot BG, ce commentaire ne vient pas de moi, mais d’une fille disant je cite : « Il est presque aussi craquant que Justin, avec son petit regard de BG !! ». Passons maintenant à son torse imberbe qu’il exhibe à tout bout de champs, en laissant son long manteau ouvert. Après c’est sure qu’il en envoi moins que Zaraki, mais bon on ne peut pas tout avoir !

Pour boucler ce chef-d’œuvre et comment ne pas en parler, le Kirijin porte sur lui une épée plutôt imposante, avec une longue lame noire. Il ne s’en séparera jamais, donc évitez de jouer les petits foufous en essayant de la lui voler ! Enfin le jeune homme porte un collier avec une petite croix et ça personne ne sait pourquoi, encore une manière de se la raconter auprès des petites gamines qui le trouvent BG. Raaa… Sacré Zetsu !

Vous dire que j’ai connu cette guerre atroce serait vous mentir, ou du moins ne divulguer qu’une moitié de vérité. En effet je n’avais que deux ans lorsque celle-ci prit fin, mais déjà mon clan en gardait de nombreuses séquelles, comme de nombreux autres clans. Ce qui est certain c’est qu’au-delà des dégâts matériels qu’il engendre, un telle conflit militaire reste à jamais gravé dans l’esprit de ceux qui l’on vécut et dans la mémoire de leur descendance, destinée à perdurer à jamais dans le temps. Seule son interprétation diffère, il est certain que quel que soit le village, jamais celui-ci n’envisage ou n’assume, être le protagoniste en tort dans cette histoire, car s’il est plus que tentant de montrer à tous que l’on est le plus puissant, il est bien moins aisé de reconnaitre la responsabilité qu’un si tragique évènement engendre. Il est certain qu’il est bien plus facile de provoquer la haine, plutôt que d’entériner le conflit avant que celui-ci ne prenne des proportions trop importantes et ne dégénère sur un drame sans précédent. La question est maintenant de savoir pourquoi la soif de pouvoir de certains, les poussent à faire telle choses, car malgré la trêve qui perdure depuis tant d’années, les conflits prendrons bientôt le dessus sur les belles promesses et ça n’importe quelle personne censée le sait pertinemment, car s’il y a une chose que j’ai appris tout au long de ma jeune vie, c’est que contrairement au célèbre dicton, l’homme n’apprend rien de ses erreurs.

Si je vous raconte tout ça, c’est que ce qui peut vous sembler être un simple débat philosophique est en fait un bon résumé de ma vie, pas tant dans mon vécu personnel, mais plutôt dans la réflexion qui m’a menée à vivre ma vie comme je la vis à présent. Reprenons donc, au commencement, je veux dire par là, aux nombreux moments qui m’ont construit et qui me représentent aujourd’hui. Mon nom à moi c’est Aniki et j’aimerais bien vous dire que vous le connaissez tous, du fait qu’il correspond à celui d’un clan qui prospère aujourd’hui ou bien qui a atteint son apogée à une époque maintenant révolue, mais ce serait vous mentir et nous ne sommes pas là pour ça, n’est-ce pas ? Ce nom de clan, car oui c’est bien le nom d’un clan, passe désormais et comme toujours inaperçu et tout comme un étranger que l’on croise du regard entre deux rues, celui-ci ne signifie rien. C’est assez triste à dire en vérité, car si tous ces seigneurs puissants avaient tenus leurs promesses, nous ne serions sans doute pas des inconnus à cette heure. Néanmoins ne croyez pas que mon clan ne cherche à redoré son blason, loin de là, car notre monde est fait d’une diversité foisonnante de clans aux noms diverses et qui ne servent à rien d’autre qu’à prétendre avoir une forces supérieur à leurs voisins.

A quoi bon exister si ce n’est pour se reposer sur nos richesses et tenter de nous mettre en avant à tous prix pour exhiber notre puissance ? Personnellement je n’en vois aucuns intérêts dans cette existence, que je qualifierais de complètement absurdes et bien loin du but premier des clans, qui luttaient pour survivre et non pas pour amasser un tas de richesses matériels. Ça doit être le monde dans lequel nous vivons qui veut ça, mais mon clan lui, a vite arrêté de croire en ce monde, qui ne tient ni ses promesses, ni ses idéaux, autant dire qu’il est absurde et semble se complaire dans cette déchéance certaine et inévitable. Nous avons donc choisit de rester discret et de ne pas réclamer notre dut, pourquoi ? Car en réalité, rien n’est vraiment limpide dans ce monde et se sont ceux qui se terre dans l’obscurité qui ont le plus de chances de finir vainqueur, il valait donc mieux rester discret et poursuivre un objectif bien définit, afin de mener une action concrète pour que la guerre ne soit plus.

Bien que diminué suite à la guerre shinobi, ma famille c’était installé sur une petite ile au nord-est de Kiri, l’un des seuls villages qui nous avaient offerts leur aide suite à l’extinction de notre lignée. Il faut bien dire que mes ancêtres étaient originaire de ce beau pays, car maintenant que j’y pense je ne vous ais encore rien dit sur les origines du clan Aniki, il y en a tellement à dire en même temps ! Pour faire simple, mon clan a vu le jour dans les rues de Kiri, alors que les sept épéistes de la brume n’existaient pas encore et pour cause, c’est notre chef de clan qui les forma en partie à l’art du Kenjutsu ! Après leurs avoir appris tous ce qu’il savait Ken Aniki, le fondateur de notre belle famille, décida de créer notre lignée et bientôt de nouveaux sabreurs de qualités vinrent renforcer la force militaire du pays de la brume. Puis de nombreuses divergences politiques vinrent noircir le tableau et enfin la guerre menée contre les démons à queux ! Nos meilleurs guerriers furent envoyé en premières ligne sur les différent fronts et comme vous devez sans doute vous en douter, un grand nombre des nôtres y laissèrent la vie et peu à peu, notre clan qui était bien partit pour être reconnu, tomba dans l’oubli. Malgré ce coup du sort tragique, notre habilité pour le Kenjutsu et notre Kekkei Genkai se transmit de générations en générations et me voilà aujourd’hui, fière descendant de mon clan !

C’est donc fort d’un passé marquant dont il a tiré de nombreux enseignements, que mon clan s’installait dans ce petit bout de terre entouré par la mer, notre nombre restait encore trop faible, mais comme je vous l’ai déjà dit, la dernière guerre n’avait pas épargnée notre famille. Il ne fallait néanmoins pas nous dénigrer, car le nombre n’avait jamais fait notre force et même si nous étions peu, nous n’en demeurions pas moins très puissants. Alors que je commençais mon apprentissage de notre art de combat, les anciens eux semblaient plus que jamais consternés par ce qui les entourait. En effet les guerres s’enchainaient et rien ne semblait indiquer une amélioration définitive, il était temps pour notre clan de commencer sa quête du pouvoir, il nous fallait marquer une bonne fois pour toute le monde de notre emprunte et pour ça ils avaient semble-t-il trouver une solution radicale ! Dès lors, notre conseille décida de faire de nous une organisation puissante, avec pour but de chasser les démons à queux pour ensuite les sceller aux membres les plus ambles et soumettre les villages grâce à notre pouvoir, ce qui avait créé une polémique au sein des anciens, mais qui était une sorte de décision final, c’était dorénavant à nous d’écrire l’histoire !

A l’aube d’un nouveau départ, il fallait accélérer le processus pour accentuer la puissance de nos membres, c’est dans cette vision novatrice que nos dirigeants avaient instauré de nouvelles épreuves pour nous habituer aux situations extrêmes. Sur le modèle de l’illustre examen de la brume, où les jeunes shinobies devaient s’entre tuer pour sortir victorieux et diplômés, des situations réelles qui nous poussaient, nous enfants du clan Aniki, à côtoyer la mort et à réveiller nos plus bas instinct pour s’en sortir. Cette nouvelle direction avait réussie à faire des meilleurs enfants, des monstres combattant pour une cause qui n’était pas la leur, d’ailleurs je ne me souviens pas avoir eu mon mot à dire. Je me demande ce que ressentaient mes adversaires lorsqu’ils versaient leurs dernières larmes et que mon sabre venait leur apporter la mort, était-ce un soulagement ou bien une tristesse. La prise de conscience de notre finitude était-elle agréable ou exécrable ? Au fond de moi je repense à chacun d’eux, car ils servaient tous la même cause que moi, partageaient le même sang, c’était comme si je tuais mes frères ! Malgré ce grand chagrin, nos épreuves nous rendaient chaque jour meilleur au combat et sans ça jamais nous n’aurions pu former ce qu’ils appelaient la jeunesse dorée.

Dans ces temps sombre de mon enfance, seule la survie comptait, il n’était plus question de moi, ni d’un échec quelconque, il en dépendait de la survie de mon clan, car ce que nous avions commencé était comme une sorte de rouage, qui jamais ne s’arrêtait de fonctionner. Si ma vie devait brusquement m’être enlevée, alors qu’il en soit ainsi, je l’acceptais, fière d’avoir combattu auprès des miens et pour l’ascension de ceux-ci. Le sang était devenu une chose commune pour moi, tout comme la douleur d’un corps maculé de bleus et autres hématomes diverse, j’avais appris à dompter la douleur à force de la côtoyer jours après jours. Alors que tous se passait pour le mieux me concernant, mon douzième anniversaire n’était désormais plus qu’à quelques jours, je venais d’être promus dans l’une des escouades d’élite en tant qu’apprenti et il me tardait de partir en mission ! C’est alors qu’un homme du clan vint à ma rencontre, ils avaient besoin de tous les soldats disponible pour aller à la chasse aux démons à queux. En effet, nos vagabonds avaient pisté et retrouvé une de ces abominations, il nous fallait absolument mettre la main dessus !  

A ce moment-là mon excitation était à son paroxysme, jamais je n’aurais pensé combattre une telle puissance si jeune, était-ce raisonnable ? Rien à foutre, j’allais écrire mon destin et je comptais bien le faire avec brio ! Il était inconcevable pour nous d’échouer et j’étais accompagné d’une cinquantaine de ninjas du clan, ainsi que d’une escouade de personnes qui maitrisées l’Irojutsu. Celles-ci étaient envoyées par Kiri pour nous prêter main forte et il était vraiment appréciable de constater que ce village s’investissait pleinement dans la cause qui était notre. A vrai dire ma grande hâte était aussi dut au fait que j’allais enfin voir nos unités d’élites en action, on les appelait l’Aquisition. Il faut savoir que j’aspirais à devenir aussi puissant qu’eux, mais à vrai dire tous les guerriers du clan voulaient se voir un jour honoré de cette distinction. C’était ce à quoi j’aspirais depuis toujours, le grade hiérarchique le plus honorifique de tous, faire partie de l’Aquisition était à la fois un honneur et une promesse, car se sont eux qui se voyaient sceller les démons à queux et qui jouissaient donc d’une puissance incommensurable ! Moi qui étais un éternel insatisfait, je convoitais ce mérite et le pouvoir qui allait avec.    

Nous n’avions pas eu à chercher bien loin pour rejoindre la caverne dans laquelle se terrait notre ennemi. Celui-ci c’était réfugié dans un gouffre sous-terrain creusé au pied d’une montagne, la végétation y était abondante et il nous était possible d’entendre le vent qui venait effleurer de son souffle délicat les multiples branchages qui nous entouraient, ainsi que la délicate mélodie des ruisseaux qui nous entouraient, ce coin avait tout d’un paradis sur terre ! Il cachait bien son jeux, car qui croirait qu’une abomination était enfouit ici, pas grand monde ! Alors que tout le groupe c’était rassemblé devant l’entrée de la grotte, un homme qui portait un pendentif en forme de croix, signe distinctif de son appartenance à l’Aquisition, prit la parole.

«  Mes très chères frères, je n’ai pas besoin de vous dire comme je vous fais confiance, car chacun d’entre vous ne fait qu’un avec le clan, il est donc de ma famille. Je ne souhaite pas non plus vous mettre des œillères, en vous faisant croire que chacun d’entre nous rentrera dans son foyer ce soir. En effet nous avons à faire à une abomination des plus terribles et rien ne nous garantit la victoire, mais bordel nous sommes les fiers représentants du clan Aniki ! Nous trainons avec nous un lourd passé et jamais nous ne laisserons un quelconque démon bafouer notre honneur ! Plutôt crever que de laisser cette bête géante nous pulvériser ! Alors vous êtes avec moi mes frères !? »

S’en suivit des acclamations approuvant les propos du sophiste. A par ramant il avait su viser juste, même si personnellement j’étais plutôt perplexe, enfin quoi qu’il en soit, le combat d’anthologie allait bientôt débuter et il me tarder vraiment d’y briller ! C’était une occasion rêvée pour moi de de montrer à tous, ma crédibilité et ma force. Plus je m’engouffrais dans l’antre, accompagné de mon équipe, plus les bruit de combats se faisaient entendre ; nous avions chacun une tache précise, celle de ma section était de distraire le monstre pour permettre aux gars de l’Aquisition de se faire soigner par les équipes médicales. Lorsque notre unité arriva sur les lieux, c’est un tableau morbide qui s’offrait à nous, de nombreux cadavres étaient entassés par terre, alors que les hommes de l’Aquisition affluaient par dizaines pour essayer de porter le coup fatal au Bijuu qui se dressait face à eux, on avait à faire à l’illustre Yonbi ! Il ressemblait à un immense gorille à poils rouges et crachait d’immenses rayons destructeurs sur nos combattants, mais alors que nous étions tous intimidé par ce monstre, une voie s’éleva dans l’immense grotte « Groupe de diversion : l’abeille » Il était donc temps pour nous d’entrer en scène !

Voyant que mes alliés semblaient être sous le choc, je lançai un gris de guerre histoire de les remotiver « Pour notre famille ! » C’est alors que je me ruai sur mon adversaire, accompagné de mes camarades qui semblaient être galvanisés par mon cri de guerre. Se fut mon épée qui trancha la première le bijuu, mais contrairement aux autres, la mienne avait un pouvoir unique, en effet elle détenait la particularité de couper tous. Je m’explique, celle-ci pouvait couper le chakra et les éléments, ce qui faisait d’elle une arme hors du commun et c’est pour cela que j’avais choisi d’en faire mon arme gardienne, mais aussi de sa faculté que je tenais mon surnom : l’épéiste intangible. Comme vous vous en doutez sans doute, pour un monstre fait de chakra qu’est un bijuu, la douleur fut donc plus prononcer qu’un simple coup de lame lambda. Je ne pus m’empêcher d’aborder un sourire de satisfaction lorsque celui-ci se tourna vers mon groupe pour se venger de l’affront qu’il venait de recevoir.

Il se rua sur nous, les yeux remplis de haine, comme s’il souhaitait ne faire qu’une bouchée de nous, mais c’était mal me connaitre et alors que mon groupe esquivait ses puissants coups, je me servis des parois rocheuses comme d’un point d’impulsion pour me projeter au plus près de son abdomen, me laissant ainsi tout le loisir de lui porter deux gros coups d’arme à cet endroit précis. Ma stratégie avait marchée et mes coups avaient laissés comme deux plaies ouvertes, c’était tout ce que je voulais, il ne me restait plus qu’à lui porter le coup de grâce ! Alors que j’avais effectué un bond impressionnant pour arriver à la hauteur de sa tête, le monstre esquissa un petit sourire avant de me pulvériser d’un coup de queue puissant. Le choc fut terrible, comme si je venais de me prendre un énorme coup de jus, mon corps termina sa chute dans l’une des nombreuses galeries que comportait le champ de bataille. Je perdis connaissance une fois que mon crane heurta le sol.