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Sujet: Yura Hayashi Dim 14 Mai - 22:19
Yura • Hayashi
IRP !
Nom :Hayashi (林 - Forêt, bosquet) Prénom :Yura (由蘿 - Raison, lierre) Âge :23 ans Sexe :Féminin Nindo :Ne plus être une ninja. Être soi-même. Village : Konoha Clan :Hayashi Grade : Anbu Bingo Book : Bingo-Book
Je ressemble à...
Une apparence, une silhouette, un visage, un corps. Voici le champ lexical attendu durant cette description physique. Elles se ressemblent toutes, prétextant se démarquer par une originalité absente. Celle-ci ne fera pas exception, une description reste une description. Que dire de Yura ? Un nez est un nez, une bouche est une bouche, et sauf erreur de ma part, les êtres humains ont tous deux bras et deux jambes en supposant que la nature n’ait fait aucun caprice. La jeune femme semblait a priori correspondre aux critères habituels. Plaisanteries mises de côté, il n’y avait rien d’exceptionnel, de transcendant, lorsqu’on posait son regard sur la demoiselle. Elle paraissait bien faite, dans le sens où rien n’avait l’air de clocher. Dépassant de peu le mètre soixante, elle était jugée dans la moyenne, sa corpulence en revanche embrassait les exigences attendues de la part d’une ninja : athlétique, bien que plantureuse. Une danrée riche et généreuse ordinairement exploitée ; qui se traduisait habituellement par des jeux déplaisants de regards solitaires avec ses pairs qui semblaient trop absorbés par son décolleté. Pourtant, ses yeux couleur noisette s’amusaient à revêtir l’écarlate dans des circonstances aléatoires selon des jeux de lumière inconvenants. Cela ajoutait à ses expressions une intensité particulière qui contrastait soigneusement avec la finesse de ses traits et la pureté fragile qui s’en dégageait, le tout étant plus que largement aidé par son teint pâle, qui s’en sortait tout juste sans avoir l’air malade. Des lèvres charnues légèrement gercées du fait qu’elle occupait son temps et évacuait sa frustration à les mordiller, finissaient l’œuvre de son visage, comme une ponctuation de fin de phrase. Et que dire de sa voix ? Assurée, douce, d’une autorité superficielle qui respirait la bienveillance. Une voix maternelle, à la sonorité apaisante. Elle semblait vouloir panser son propre mal-être plutôt que celui des autres à chacun de ses mots prononcés, tant le personnage se contredisait. Et puis, tel l’emballage, ses cheveux bruns tombaient le long de ses pommettes, longeaient ses joues et masquaient ses oreilles pour former une enveloppe volumineuse aux allures attirantes de crinière ; malgré le caractère lisse de ces derniers. Féline, sauvage, presque bestiale et faussement négligée. Impossible à apprivoiser tout en étant complètement accessible. C’était l’idée, physiquement en tout cas, que Yura présentait à autrui. L’attitude, c’était autre chose.
« Tiens-toi correctement, ce n’est pas l’image que l’on veut renvoyer aux habitants du village Yura. »
La posture. La démarche. Son conditionnement sautait aux yeux de ceux qui osaient y prêter attention. Cela paraissait trop propre, trop lisse, rien ne dépassait et tout était en place. Rien ne trahissait l’attitude de Yura aux yeux des autres, tout était subtilement contrôlé. Diablement polie, ne manquant jamais une courbette à l’égard de ses supérieurs hiérarchiques, rien ne pouvait se montrer plus impeccable que son allure. Chaleureuse en apparence lorsqu’elle arborait un sourire mielleux, cette bienséance excessive et compulsive la rendait adorable et sympathique auprès du troisième âge, homérique auprès des enfants, fiable auprès de ses pairs et lacunaire auprès de son père. Cela allait plus loin et se retranscrivait dans ses choix vestimentaires du quotidien, lorsqu'elle ne revêtait pas l’uniforme d'anbu : superficiellement sobre. Car si elle ne s’autorisait aucune couleur et qu’elle ne jurait que par le blanc et le noir, sa tenue légère et affriolante qu’elle justifiait par une « liberté de mouvement » incomparable, ne répondait plus à la ligne de conduite qu’elle s’imposait pourtant quotidiennement. Et là semblait se trouver son seul écart.
Je pense à ...
C’était loin. À des kilomètres. Une distance folle. Un trajet qui traversait villages, rivières et montagnes ainsi même que le temps. Rien que cela, oui. Il suffisait simplement de se soumettre aux supplices de l’esprit, à son caractère malicieux et à en user tous les rouages et les artifices, plisser les yeux quelques secondes comme une lunette qu'on ajuste et puis de lentement projeter son regard vers ce qui nous semblait de plus lointain. Et là encore de gratter, chercher un petit plus, s'engouffrer et essayer de repousser la limite de l'espace. Là. Loin, vraiment loin très loin derrière. Et nous y étions. À cette image. Éloignée de celle à laquelle Yura se devait de correspondre. Quelque chose de mi-figue mi-raisin, une créature hybride qui semblait lutter pour correspondre à ceci et cela. Une apparence qui transcendait une autorité ancienne, alambiquée et définitivement pernicieuse. Celle-là même qui exige tout de vous, votre âme, votre conscience, si tant est qu'elles ne soient pas qu'une seule et même entité. Vous la connaissez bien. La Tradition. Avec une majuscule méritée, quand bien même le pluriel semblerait plus pertinent. Toute la personnalité de la jeune femme paraissait en orbite autour de cette planète tristement ancrée dans ses souvenirs. Un jour contiguë et docile, le lendemain discordante et hostile. Écrasante, omnisciente, et malheureusement présente dès ses premiers jours ; destinée à en peindre tous les autres, jusqu’au dernier. Que fallait-il choisir, entre l’approbation, la facilité, l’acceptation et la liberté, l’isolement et le rejet ? Entre le pluriel et le singulier ? Ce qui semblait qualifié d’égoïsme et ce qui était appelé du bon sens ? Une lutte infinie entre ses désirs profonds, son envie d’émancipation, et son besoin de reconnaissance se nouait dans son crâne, impossible à défaire. Et nous voici plongés dans l’allégorie de son personnage. Manipulée et manipulatrice, avec des capacités d’adaptation rares, créant ce paradoxe singulier qui la composait. N’importe qui était n’importe quoi, et peu importait celui ou celle qui se dressait devant elle, le schéma se poursuivait inlassablement, la boucle était bouclée, et l’humain n’était plus qu’une page blanche qu’elle remplissait tel un devin, lui prédisant chacun de ses mouvements. Et malgré tout elle stagnait à ce même endroit, ce cul-de-sac redondant. Elle bloquait, et ne parvenait pas à s’adapter à la seule et unique personne qu’elle côtoyait perpétuellement : elle-même. Si Yura développait des qualités précieuses pour un ninja, elle en subissait toujours le contrecoup. Des défauts qui ne s’en allaient que pour revenir. S’adapter pour être reconnue. Puis pour rejeter. Un mal-être incessant, nocif et pourtant devenu son meilleur allié. Misanthrope malgré elle, elle se détestait autant qu’elle haïssait sa personne, et encore plus fort et plus intensément qu’elle désirait se faire aimer, et s’aimer elle-même. Vulgarisation d’Icare, elle transgressait toutes ses règles intérieures, et se retrouvait plongée dans son malheur. Mais détrompez-vous. Cette personnalité conflictuelle se montrait invisible aux étrangers. Ce qui ressortait des conversations, de ses fréquentations, n'avait rien de spectaculaire mais ne frôlait jamais la frontière invisible du quelconque. Elle se distinguait en tant que ninja par ses aphorismes toujours pertinents et a fortiori par son érudition – qui n’avait rien d’innée et qui s’acquérait comme n’importe quelle autre compétence : par le travail. Elle s’évertuait de tout son être à atteindre ses objectifs afin d’éviter le déshonneur familial. Et ça lui réussissait. Tout ce qu’elle disait ? Sensé ; tout ce qu’elle commandait, faisable ; tout ce qu’elle entreprenait, possible. Tout ce qu’elle achevait : admirable. Une simple femme, appliquée, extravertie sans trop l’être, au contact facile avec un décor familial envié et difficile à cerner. Mais qui ne se mélangeait pas. Ce « mais » toujours présent qui l’empêchait de nouer des liens profonds avec les autres. Ce désir frustrant, qu’elle détestait. Beaucoup trop préoccupée à faire coïncider les exigences de sa famille avec ses propres projets, la place qu’il restait pour le social n’existait pas. Elle enviait ceux qui y parvenaient, à le faire pour de vrai, là où elle ne parvenait qu’à faire semblant. Être humaine.
J'ai vécu...
Kazuo Hayashi a écrit:
Nous découvrons tous tôt ou tard que le bonheur parfait n'existe pas ; tant et si bien que cette tautologie, ce pléonasme, semblait désirer avec un sarcasme certain l'accentuation de la futilité qui habitait l'existence même. Mais peu nombreux étaient ceux qui prenaient le temps de s'arrêter à la considération inverse consistant à affirmer qu'il n'existait pas non plus de malheur absolu. Les raisons qui empêchaient la réalisation de ces deux états limites étaient du même ordre : elles tenaient à la nature de l'Homme. Ce qui s'y opposait, pour être plus précis, était relativement simple : notre connaissance toujours imparfaite de l'avenir, endossant le doux nom selon la situation d'espoir ou d'incertitude du lendemain. Enfin, c'étaient les inévitables soucis matériels, qui s'ils venaient troubler tout bonheur durable – si l'on s'en tenait à une définition contraire de celle que prônaient les écrits que j’ai assidument suivis ; constituaient aussi de continuels dérivatifs au malheur qui nous accablait. Et, parce qu'ils le rendaient intermittent, le rendaient du même coup supportable. Dans mon cas précis, le déterminisme qu'enveloppait mon avenir sur certains points me retirait l'agréable illusion qu'était cette incertitude auquel tout être humain devrait pourtant avoir droit. L'espoir et/ou incertitude du lendemain semblaient bien décidés à faire la gueule, en somme.
Mon attrait pour l’écriture se caractérisait par un aspect curieusement nouveau, s’éloignant d’un vieux plus familier. Effectivement, je m’y étais toujours adonné, mais ce format constituait une exclusivité symbolique. Cependant, malgré le caractère thérapeutique de cette pratique – qui ne tient en rien de l’obligation ou d’une recommandation médicale, il me semble juste d’affirmer que ce qui va suivre pourrait me porter préjudice. J’ai décidé de coucher sur papier à titre personnel l’histoire de ma vie. Cette autobiographie complètement absurde constitue une camisole, un garde-fou, une sorte de prison libératrice. Je me prénomme Kazuo, et je fais partie intégrante du clan Hayashi. Un hasard funeste, qui me conduit aujourd’hui à vous présenter ma vérité, telle que je l’ai ressentie. Avant toute chose, si vous lisez ces lignes, c’est que mon nom a probablement disparu de l’histoire de Konoha (bien qu’il n’ait jamais réellement existé en son sein) ainsi que de celle de mon clan, qui a dû s’acharner dans un travail titanesque à me condamner à la plus grande peine que l’humanité puisse connaitre : l’oubli. Je suis l’ainé de ce qui constitue de nos jours, sous le règne du Hachidaime Hokage, Hanako Hyûga, la cinquième génération du clan Hayashi présentement dirigé par Kumon : un homme d’une cinquantaine d’années de taille et de constitution ordinaires, avec un tempérament sanguin qui se trahissait par une coloration foncée de son visage ; il avait une figure froide aux traits réguliers ainsi qu’un nez fort, le nez en proue de vaisseau de l’homme prédestiné aux conquêtes victorieuses. J’étais son fils, ou plutôt ce qui lui servait de figure cathartique, incarnant des rêves qui me dépassaient et des possibilités dont il ne semblait plus pourvu. Ma famille ressemblait à un iceberg dont seule la partie émergée était enviable. Dotée d’une situation financière confortable acquise grâce à des moyens douteux qui seront justifiés ultérieurement ; ce qui qualifiait au mieux ses membres se composait de six lettres : loyaux. Tous les membres sans aucune exception s’entêtaient génération après génération à une seule et même tâche, à savoir l’apport d’un soutien conséquent au Hokage, sans jamais prendre en compte la personne drapée derrière le titre. Cela nous assurait une position privilégiée dans la hiérarchie du village et une protection plus ou moins efficace selon les périodes. Et bien trop souvent une réputation peu ou prou légitime de fayots et a fortiori de lèches-cul.
J’aspirais conséquemment depuis l’académie à ce qui devait être à l’époque un privilège, et je me donnais depuis petit un mal de chien à honorer les exigences croissantes de mon père qui voyait déjà dans le gosse que j’étais un successeur suffisamment décent pour ne pas ruiner ce qu’il bâtissait laborieusement. Évidemment, rien ne s’est déroulé comme convenu. J’ai bel et bien pendant un temps uniquement, respecté la tradition et intégré la garde personnelle du Hokage, mais cela fut sans suite. À sa mort, un nœud gordien avait pris place parmi les réunions du clan Hayashi ; se transformant en une infection latente qui avait conduit au despotisme nouveau de ma conscience. Konoha étant en proie à une crise majeure, plusieurs candidats potentiels avaient été pressentis pour succéder à Hanako. Avant de poursuivre sur cette lancée narrative et romanesque, il est nécessaire de mentionner que l’histoire de mon clan a toujours été marquée par divers événements alambiqués, décourageant toute personne exagérément curieuse de s’intéresser plus qu’il n’en fallait à nos affaires. Cette parenthèse implique plus éloquemment des jutsus subrepticement transmis par le dirigeant actuel du clan à son descendant direct. En somme d’un leader à un autre avec une communication restreinte vis-à-vis du reste de ses membres. L’interdit atteignait en conséquence un paroxysme alarmant, naviguant gravement avec ce qui aurait et pourrait provoquer la chute de notre famille. Il s’agissait de kinjutsus consistant à rendre ennemis et amis malléables. Un sceau, une impulsion, et il devenait possible de projeter une idée dans l’inconscient de la personne ciblée. Ce processus répété avec intensité permettait d’influencer directement l’adversaire, le poussant à adopter un comportement subordonné. Le principe pouvant sembler analogue aux techniques employées par le clan Yamanaka, il n’en restait pas moins singulier. L’idée prenant racine directement dans l’esprit, il n’était alors plus question de manipulation, mais d’influence. Nous n’étions plus les envahisseurs remplaçant des identités par d’autres afin de tromper l’adversaire, mais les instigateurs d’une manigance beaucoup plus habile. On ne parlait pas de transfert mais d’endoctrinement. L’opposant devenant ainsi absolument convaincu que l’idée n’avait pour seule origine que lui-même – bien que cela exigeait une certaine forme d’advertance de la manœuvre, ce qui selon le procédé énoncé, n’était pas le cas. Inquiétant, hein ? Pourtant, ce ne sont là que les fondements de ce qui a été conçu par notre clan. Une suppression du libre-arbitre, une obstruction à la morale, à l’éthique et à plus forte raison à l’humain. Et cela se poursuivait au-delà des limites de toute déontologie, en osant s’immiscer dans ce que l’Homme avait de plus estimable, ce qu’il faisait qu’il était lui et pas un autre, et que c’était très bien comme ça. Sa mémoire.
Inachevé. Ce papier en partie maltraité par les parasites environnants, l’humidité et le temps qui se déversait maintenant furieusement sur ces mots qui oscillaient entre l’absence de sens et le hurlement d’une vérité aigre, paraissait sans suite. Retrouvé par Yura durant ses années d’apprentissage en tant que genin, ce manuscrit à la fois éloquent et sourd se traduisait in fine par un sentiment de frustration, tenant pour rôle principal un tohu-bohu intermittent sur la scène qu’était désormais son crâne. La lecture de ces lignes s’était intimement gravée en elle pour n’en laisser qu’une empreinte teintée d’interrogations, la faisant doucement vaciller dans ses mauvais jours entre la paranoïa, la bipolarité et la psychose pour l’autoriser de temps à autre dans les bons à s’en contrefoutre. Ce n’était pourtant que de l’encre sur du papier ordinaire, mais cela avait donné naissance à des irrégularités dans le raisonnement habituellement soumis envers son père qui caractérisait depuis l’enfance la jeune femme.
Docile, elle se distinguait lorsqu’elle était enfant par une philosophie douce, un optimisme charmant et surtout par une aptitude à tout trouver facile, logique et naturel. Ergo, elle ignorait le besoin de se plaindre ou de maugréer et se contentait de s’appliquer à réaliser ce qui lui était demandé. Elle se pliait aux attentes de son père comme un chien remuait la queue pour une friandise : dans l’espoir d’en retirer de malheureux avantages, ou une quelconque reconnaissance ad vitam æternam insatisfaite. Ses batailles intramuros proliféraient depuis cette source, la poussant depuis l’académie à renier puis à abandonner ses réelles aspirations. Cela l’avait pressée vers la voie du ninja, empruntée par d’autres avant elle lorsqu’elle désirait simplement s’instruire pour se laisser vivre. C’est en écoutant diverses histoires, remontant à l’époque de la quatrième grande guerre ninja qu’elle avait développé cet appétit de l’aventure passive, où la place de spectateur lui convenait davantage que celle d’acteur.
Une figure en particulier l’avait marquée. Un shinobi de Konoha, qui s’était distingué par son art de vivre remarquable et une éthique sans pareille. À chaque fois qu’elle en entendait ses anecdotes, elle demeurait béate et admirative. Ça lui avait servi de moteur durant ses entrainements, lorsque la peur des représailles ne lui suffisait plus. Et lorsque le chagrin lui rendait visite. Car ce qui l’avait toujours interpellée dans cette lettre résonnait en elle avec violence dans ses moments d’apathie. Kumon était le prénom de son père, et si elle s’en fiait à ses connaissances, il demeurait le seul à se prénommer de cette manière, morts ou vivants, au sein de son clan. Mais le nom de Kazuo en revanche ne lui disait rien. Pourtant à en croire son récit et la chronologie des événements, il semblait impossible qu’elle ne l’ait pas connu. L’autorité effrayante qu’incarnait son père bridait ses questions, l’assujettissant sur le long terme à un silence malsain.
Ce chagrin et ces questions s'étaient changés en une forme nouvelle au fur et à mesure des années, régressant pour n’être plus qu’un bourdonnement ponctuel une fois l’âge adulte atteint. Un feulement qui se manifestait familièrement dans l’unique but de maintenir le souvenir de sa présence, pour ensuite prendre la fuite ; répétant ce schéma sans cesse. « Tempora mutantur et nos mutamur in illis » ; les temps changent et nous aussi changeons avec eux. Tout comme Yura, qui avait finalement cédé face à la propagande qu’elle endurait parmi les siens et dont le résultat demeurait plus que décevant s’il avait été présenté à la personnification de son passé. Un produit du clan Hayashi, formatée avec des bribes de liberté illusoire la muselant davantage.
• Âge : 21 ans. • Localisation : Quelque part vers les Alpes ! • Prénom : Meh, mystère. • Nindo : Faire de mon mieux, et aider les autres, dattebayo. • Passions : C'est très banal. Voyager, faire du sport (hiking hiking), étant trèèès gourmande, aller au restaurant, lire, jouer blablabla. • Personnage du manga préféré : Shikamaru ! Mais je les aime tous. • Comment avez-vous découvert le forum ? : Google. • Comment trouvez-vous le forum ? : Difficile de se faire un avis comme ça, mais pour l'instant c'est positif ! • Que faudrait-il changer ? : J'aime beaucoup le design mais je le trouve un peu sombre • Autre chose ? : Mmmmh nooon ? • Avez vous lu le règlement ?* : Yumi est une diva ?
Dernière édition par Yura Hayashi le Sam 27 Mai - 0:27, édité 23 fois
Soufuku Nitobe Rang S
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Sujet: Re: Yura Hayashi Dim 14 Mai - 22:27
Bienvenue Sur Senkai No Shinobi, en espérant que le forum te plaise autant qu'il nous plait ! Pour la moindre question tu peux envoyer un Mp à l'ensemble du staff du forum. Si tu possèdes un contact skype, tu peux aussi me le partager par Mp pour intégrer le channel réservé au forum (plus utile pour communiquer).
Par la suite je te souhaite une bonne chance et que la force soit avec toi, jeune padawan.
Ps: Un très bel avatar !
-Soufuku Nitobe, Modérateur à votre humble service-
Hakai Yûtsuna Rang A
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Sujet: Re: Yura Hayashi Dim 14 Mai - 22:27
Bienvenue parmi nous ! J'espère que tu t'y plaira ! Si tu a quelconque questions n'hésite pas à les poser ici ou par MP au membres du staff =)
PS : Très joli avatar ! J'adore !
Nasuko Fukoda Rang A
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Sujet: Re: Yura Hayashi Dim 14 Mai - 22:52
Bienvenue à toi sur Senkai
Ton avatar est vraiment super !
Yura Hayashi Rang A
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Sujet: Re: Yura Hayashi Dim 14 Mai - 23:18
Merci à tous (:
J'ai envoyé un MP avec mon id skype !
Nami Yokka Rang S
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Sujet: Re: Yura Hayashi Dim 14 Mai - 23:30
Bienvenue! Mouahahahah
Shiho Mizuhaji Rang B
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Sujet: Re: Yura Hayashi Lun 15 Mai - 4:27
Bienvenue a toi!
Kensaku Kaguya Rang D
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Sujet: Re: Yura Hayashi Lun 15 Mai - 15:41
Une future Konohajin ! Bienvenue
Tsubaki Narahima Rang A
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Sujet: Re: Yura Hayashi Lun 15 Mai - 22:27
Bienvenue l'amie,
Bon courage, blablabla (comme les autres ont dis).
Yumi Esuki Rang S
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Sujet: Re: Yura Hayashi Jeu 18 Mai - 9:41
Bienvenue à toi.
Tsuku Hakka Rang A
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Sujet: Re: Yura Hayashi Jeu 18 Mai - 17:45
Bienvenue sur le forum, bonne chance pour ta présentation ^^
Arya "Nami" Kyuso Rang B
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Sujet: Re: Yura Hayashi Sam 20 Mai - 16:17
Bienvenu parmi nous !
Yura Hayashi Rang A
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Sujet: Re: Yura Hayashi Lun 22 Mai - 21:58
Merci à vous. (:
Sinon j'ai terminé ma présentation. Le côté très évasif de la biographie est voulu, étant donné que je veux développer ses intrigues inRP. Je l'ai aussi écrit de cette façon histoire de me faciliter la tâche si des modifications sont à effectuer. Les techniques évoquées par Kazuo dans sa lettre ne seront pas maitrisées par mon personnage, elles serviront juste au background, et j'irai développer ça dans le topic de présentation du clan.
Et sinon, désolée si c'est un peu brouillon sur certains passages, je vous avoue que j'avais pas beaucoup de temps à y mettre.
Nasuko Fukoda Rang A
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Sujet: Re: Yura Hayashi Lun 22 Mai - 22:01
Personnellement j'ai trouvé cette lecture vraiment attrayante. C'est très rare de voir une présentation aussi bien rédigée. J'ai hâte de pouvoir RP avec toi à Konoha
Yôtaro Genzou Rang C
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Sujet: Re: Yura Hayashi Lun 22 Mai - 22:21
Bonsoir tachons d'avoir du courage pour être validés !
Soufuku Nitobe Rang S
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Sujet: Re: Yura Hayashi Lun 22 Mai - 22:52
-Les points positifs :Fluide, du vocabulaire, une simplicité qui est comme cette pincette de sel qui donne à un bon plat son alchimie. Je me suis laissé transporté par ta présentation et c'est plutôt rare. Tout ces ingrédients à la fois font qu'on plonge dedans, sans prendre le temps de regarder ce qu'il y a au dessous de la planche !
-Les points Négatifs :Peut être que j'aurai aimé en lire plus, c'est tellement bien fait aussi.
-Verdict : Ô toi nouveau membre qui trépigne d'impatience ! Sauras-tu éviter les pièges qui seront présent sur la longue route que tu t'apprête à emprunter ? En tant qu' Anbu à Konoha, fonce le Yuukan n'attend plus que toi !
-Soufuku Nitobe, Administrateur à votre humble service-
Ps : Je met tout de même ton cas en attente et je donnerai un avis supplémentaire demain.
Tsubaki Narahima Rang A
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Sujet: Re: Yura Hayashi Mar 23 Mai - 1:40
Elle a fini sa fiche ... Ma Nae est devenue une grande fille
Yura Hayashi Rang A
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Sujet: Re: Yura Hayashi Mar 23 Mai - 2:17
Merci Souf', une nouvelle fois en espérant que ton avis change pas trop d'ici demain (enfin, d'ici quelques heures).
Tsubaki :
Edit : Et merci Yôtaro, désolée j'avais pas vu. (:
Dernière édition par Yura Hayashi le Mar 23 Mai - 20:22, édité 1 fois
Tsubaki Narahima Rang A
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Sujet: Re: Yura Hayashi Mar 23 Mai - 2:30
Uzumi Hibiki Rang A
Messages : 542
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Sujet: Re: Yura Hayashi Mar 23 Mai - 22:26
Bienvenue dans le monde de Shinobi no Senkai, kunoichi portant le nom de Yura Hayashi.
Critique du physique : Une pirouette habile qu'est ta façon d'amener cette description, en refusant même d'en faire une. J'ai beaucoup aimé les parties ou tu te refuses d'utiliser des adjectifs pour qualifier directement ce à quoi ressemble Yura. Tu nous forces à l'imaginer dans notre subconscient, à l'instar des films d'horreur qui dissimule l'origine de la peur pour mieux la cultiver. C'est cela que je trouve intelligent. J'en regrette presque lorsque tu nous donnes des informations trop précises. Le tout avec un texte bien écrit.
Critique du caractère/psychologie : Un personnage intéressant ou ses forces sont ses faiblesses et vice-versa. Manipulée par les attentes qui l’assaillent, et manipulatrice pour tromper ses interlocuteurs afin de s'adapter à eux. Si bonne menteuse qu'elle se ment à elle-même, une question me vient à l'esprit : ne se manipule-t-elle pas toute seule ? Un véritable enjeux identitaire se dégage, hâte de voir ce que ce voile va devenir et révéler en RP. Un texte dont l'introduction n'a pas ou peu de sens, jusqu'à ce que la "créature hybride" soit abordée, faisant écho et laissant penser une personnalité antipode, presque hideuse. Et on est servit par la suite.
Critique Histoire : Une véritable continuité de ta présentation, tant au niveau des thèmes que de ta richesse linguistique. A vrai dire, avec un peu d'analyse, on devine la fin avant même que tu l'écrives.
Niveau de rédaction générale : La même que mon collègue, en apportant toutefois une nuance. Malgré cette facilité de lecture, une certaine complexité y est présente. Ton travail et ton talent est de le rendre simple.
Félicitation, je te valide sans problème Anbu de Konoha. Ou Jônin ou grade spécialisé de rang A, selon le nouveau système de grade et rang.
Tu peux dès à présent RP. Un administrateur passera pour t'accorder ta jolie couleur verte bien méritée, ainsi que ton grade.