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Sujet: Re: La Course à l'échalote [RP OUVERT] Ven 12 Oct - 4:36
Un pas, deux pas, trois pas.. le Senju ne voyait plus rien dans l'Assemblée mis à part sa cible, la Kirijin qui à elle seule dans cette Assemblée représentait tout les crimes qu'avait pu commettre son Village au cours de l'Histoire et notamment dans le contexte présent, le rush sur Konoha qui avait abouti à tant de pertes inutiles. Mais, quelque chose n'allait pas dans la gestuelle, dans le regard que lançait Kyo, on pouvait tout autant ressentir la peine, la douleur, l'hésitation à franchir un pas décisif.. il n'avait jamais été une machine à tuer et s'était décidé à devenir Shinobi pour apporter quelque chose qui avait été mit aux oubliettes depuis des générations, dans un monde où le sang, la violence faisait office de lois. Loin d'avancer par pur plaisir, sa haine était un moteur momentané tandis qu'au fil des secondes, toute sa vie lui revenait en mémoire sous forme d'images qu'il ne pouvait ignorer.. toutes ces vies prises, des décisions qui menaient à ce genre de comportement, c'est ce que le Senju voulait combattre par-dessus tout, et c'est ce qu'il fit.
Son dernier pas, bien plus marqué et bruyant que les autres marqua un arrêt dans sa marche, tandis qu'il semblait expirer toute cette haine accumulée depuis des années, tapie au fond de lui et qui ne cherchait qu'un prétexte pour ressortir, plus vivace que jamais.. Il était pourtant temps d'en finir avec elle et de passer à autre chose, c'est ce que ses parents auraient voulu pour leur fils : qu'il ne succombe jamais à ce qu'ils avaient fuis de leur temps. La tête de Kyo d'un seul coup fut légèrement projeté en avant, assez pour lui faire mal mais pas assez pour le faire tomber où bien même le déséquilibrer de sa posture initiale et se retourna, ses yeux s'ouvrant de plus belle en constatant que le corps de cette demoiselle était pour le moins atypique. Elle semblait pourtant mal en point et le Senju lui adressa un sourire bienveillant en la remerciant du regard, comprenant ses intentions et se retourna vers les ANBUS qui avaient du coup scellés tout mouvement de Chisame grâce à un puissant Fuinjutsu.
Le Jonin inspira et expira en se retournant et se retourna vers Shiro désormais qui devait être autant troublée que lui et s'avança vers elle et déposa une main sur son épaule puis prit sa main et lui adressa un sourire pour la faire réagir afin de ne pas la laisser seule dans cette situation qui avait du tout autant qu'au Senju réveiller des souvenirs marquants et qu'elle pour le coup avait aussi succombé à l'appel de la vengeance.
- Ne t'en fais pas, tout est fini maintenant, regagnons nos places. Nous avons une Assemblée à tenir.
Le ton doux du Senju tout autant que la douceur de sa main tentait d'apaiser les maux de la Kunoichi. Kyo se mit en marche et regagna rapidement sa place. L'Assemblée et les membres de celle-ci, mobilisés ou sollicités directement et indirectement par la présence de la Kirijin en firent autant et tout revint à la normale.. enfin il y avait bel et bien une chose différente depuis les quelques minutes venant de s'écouler. Le regard du Senju n'était plus celui d'un enfant qui ne cherchait qu'un prétexte pour s'échapper de ce débat politique pour aller manger des Ramens où jouer en forêt les évènements passés avaient fortement influé sur sa vision des choses, et sans doute pour la première fois de sa vie, il allait se mettre sérieusement en avant dans un débat de ce type.
Orientant son regard vif en direction de Kenjû-san puis du Conseil lui même pour ne pas sévir injustement, sa réplique vive, sèche et décisive ne se fit pas attendre, audible pour tous, articulée au possible.
- Je devrais vous rappeler assez rapidement que nos émotions et nos convictions, ne sont pas des jouets sur lesquels l'ANBU et le Conseil peuvent s'appuyer pour déclencher une telle mascarade. Depuis quand l'élite furtive, forte du Village se permet de telles comédies ?
Le ton sec de Kyo se fit plus doux, au moment où il se tournait vers l'Assemblée en général afin de mettre les grandes lignes au point, celles qui lui venaient immédiatement à l'esprit. Son ton hésitant et sa gestuelle hasardeuse avaient laissés place à plus de maturité.
- Un piège consistant à réunir dans une seule pièce une Kirijin et les Konohajins ici présent dont moi, qui nourrissons tant de rancœur contre cette nation, qui a provoqué tout ce tapage inutile alors que les ANBUS maitrisaient la situation et pouvaient neutraliser la Kunoichi avant même son arrivée .. On ne joue pas inutilement avec les vies des gens Messieurs, Mesdames.
Sa pique visant l'ANBU était claire, Kyo n'avait pas supporté de rapidement comprendre la position de l'ANBU dans cette affaire en les voyant inactifs durant toute l'opération.. Croyaient-ils ignares à ce point leurs propres compagnons ? Pensaient-ils que jouer avec leurs sentiments étaient corrects car les Shinobis ne devaient pas en avoir pour réussir ? Tout ce pourquoi le Senju combattait était présent dans cette pièce était là, bien présent.. il ne fallut pas longtemps au Jonin pour enchainer.
- La rancœur mène à la haine, la haine mène au sang. Cela a toujours été le cas depuis des générations, cependant j'ai espoir d'un meilleur avenir pour nous tous. Si nous cédons à la vengeance aujourd'hui en tuant cette Kunoichi de Kiri.. Demain, c'est Kiri qui se vengera, et ainsi de suite, menant à une boucle interminable pour chacun des camps, est-ce que c'est ce que vous souhaitez pour les enfants à naître, pour nos familles ? Pour moi, nous sommes présents pour rassembler des personnes dans un même et grande famille et nous serrer les coudes en veillant les uns sur les autres, sans tenter de nous corrompre entre nous, pour justement arriver à la paix, chose qui s'est perdue avec le temps..
Le Senju fit quelques pas, au milieu de l'Amphithéâtre, fixant tout ceux qui avaient répondu présent à l'appel, un sourire naissait alors sur le visage de Kyo, regardant droit dans les yeux toutes ces personnes impliquées comme lui dans la reconstruction du Village et sa stabilité.
- J'ai moi-même un passé douloureux depuis l'attaque de Kiri il y a quelques années et je déplore l'état dans lequel je me suis retrouvé à cause de cette pièce de théâtre sans queue ni tête.. si ce n'est effectivement pour souligner un manque de sang-froid et de discipline que j'assume entièrement. Je remercie cordialement l'ANBU pour cette mise en situation, qui souligne en premier lieu ce fait, qui nous empêcherait toute ouverture d'esprit vis à vis de nos ennemis présents pour arriver à autre chose que le sang et les morts à déplorer par la suite.
Kyo reprit une bouchée d'air frais tandis qu'il poursuivit son discours.
- D'autre part, nous devons reconstruire le Village, mais ne nous contentons pas de reconstruire simplement Konoha. J'ai beau être un Shinobi qui sait faire preuve d'implication dans le combat lorsque les miens sont en danger, et je l'ai démontré dans la lutte précédente contre Kami, puis Gobi.. J'ai aussi un rêve, pour moi, pour vous, pour nos compagnons, nos familles, nos enfants notamment.. Je veux arriver à retrouver cette paix qui nous a quitté depuis les années Uzumaki Naruto qui avait pu instaurer ce dont je parle.. Et je le sais, j'en suis convaincu.. Si nous joignons nous efforts, nous parviendrons à rebâtir un Village fort, qui tient sur ses jambes, tout en sachant tendre la main, plutôt qu'un Kunai à nos anciens ennemis pour arriver à quelque chose qui dépasse les champs de cadavres empestant le sang : une compréhension mutuelle, nous Villages Shinobis qui partageons les mêmes visions et les mêmes pertes humaines à chaque fois que nous répliquons par la voie de la haine ! Je vous remercie de votre attention et je vous laisse la parole.
Sur ces mots forts, une élocution qu'il ne se reconnaissait absolument pas, le visage de Kyo se détendit d'un seul coup, pour aller rejoindre sa place tandis qu'une larme perlait sur sa joue et un sourire. Il avait enfin réussi à exprimer ce qu'il ressentait et ce qu'il voulait, sans succomber à la haine, il se replaça donc en toute sérénité.
Une jeune pousse avait aujourd'hui grandi.
Shiro Umikaze Rang B
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Sujet: Re: La Course à l'échalote [RP OUVERT] Ven 12 Oct - 20:11
"Amusant" comme parfois on pouvait avoir la preuve directe que notre corps n'était pas entièrement sous notre contrôle. Shiro sentait son cœur battre dans ses tempes, elle sentait son souffle rapide, alors qu'elle n'avait pas fait grand-chose d'autres que d'utiliser un jutsu. Elle sentait ses mains trembler malgré le regard sévère qu'elle leur lançait. "Amusant" comme parfois, on avait beau rationnellement s'ordonner le calme, la réflexion, on avait beau avoir récupéré ses moyens intellectuels, mais pourtant le corps se rebellait. Secoué par l'émotion, par l'adrénaline peut-être. Shiro se voyait dans un état profondément improbable. Saisie par la sensation désagréable qu'une partie d'elle lui échappait, obsédée par la kirijin, par l'action, par les souvenirs, tandis que l'autre partie tentait vainement de la rattraper par la raison et la réflexion. Et comme si ça ne suffisait pas, cette seconde partie rationnelle tendait aussi à se scinder, entre celle qui essayait vraiment de tout remettre en place, et l'autre qui observait la situation, poussée par une fascination morbide pour l'instabilité. Quelle frustration de se rendre compte par l'expérience qu'après tout ce temps, sa tranche rationnelle n'était pas encore capable de maîtriser ces débordements. Le manque d'expérience sans doute. Elle se mettait très rarement dans ce genre d'état. Qui aurait cru qu'elle puisse le regretter.
Il s'était passé beaucoup de choses, très vite. L'échec de son attaque, l'inaction des Anbus, la réaction de Kyo, l'intervention d'autres personnes qu'elle connaissait au plus de vue et dont elle n'avait certainement pas mémorisé le nom. Son esprit peinait à tout saisir et tout comprendre, déjà occupé à essayer de remettre ses propres pièces en place. Dans ce genre de situation de détresse interne, il suffit souvent de pas grand-chose pour se remettre en état. Une paume sur l'épaule, quelqu'un prenant sa main, un sourire, une voix calme et de confiance. Shiro expira. Ses bras tremblaient un peu moins. Elle s'était appuyée sur un banc à moitié vide pour ne pas chanceler et elle s'y assit, lançant à Kyo l'un de ses rares sourires spontanés et chuchotant un remerciement.
Le temps que le jeune homme ne retourne à sa place, la kunoichi avait fini de reprendre ses esprits. Elle avait conscience des coups d'œil que lui jetaient ses voisins proches, la jugeant probablement pour ses actes à l'instant, mais elle entreprit de les ignorer. Elle n'allait pas s'excuser d'avoir attaqué un ennemi qui humiliait le village. Elle se contenta donc d'écouter les paroles du Senju
Elle apprécia ses premières remarques. À son sens, elles frappaient droit et juste. Elle fut moins sensible à la suite, qui illustrait le principal problème qu'elle voyait chez Kyo : sa naïveté. Une paix globale et stable entre village, entretenue par les interactions sociales et commerciales, serait très certainement bienvenue et bénéfique pour tous. Mais dans un monde où les shinobis ont un rôle si important, où le ninjutsu est si omniprésent, elle craignait un peu de ce que pourrait donner le fait de leur retirer toute occupation. Quelque part, l'avidité était humaine, et même si les grands pays atteignaient une paix si bénéfique qu'ils ne pouvaient plus la briser, elle ne doutait pas une seconde que certains villages ninjas iraient satisfaire leurs désirs ailleurs, dans des pays plus faibles, moins défendus. La guerre ne disparaissait pas, elle se déplaçait, que ce soit géographiquement ou conceptuellement. Cependant, si son idéal était une utopie, c'était aussi le cas de tous les autres idéaux. Donc quitte à viser une utopie, autant que ce soit celle qui réduisait le nombre de morts inutiles. S'assurant d'avoir pleinement regagné son calme et ses moyens, elle s'autorisa à reprendre la parole après son camarade, sa voix douce mais lente retrouvée :
- Je suis du même avis que Kyo Senju. Tout d'abord concernant l'Anbu, réputée pour être une élite aussi secrète qu'efficace, je n'ai vu ni discrétion, ni efficacité. Cette mascarade n'aura eu que trois effets : raviver les blessures de Kiri dans un état de faiblesse, ridiculiser l'organisation interne du village aux yeux de certains d'entre nous, et effiler la confiance interne que nous nous portons, et ce, au pire moment… Tout ceci ne se termine pas si mal, mais s'il s'agissait vraiment d'un plan prévu, alors il était ridiculement mauvais, car se basant sur bien trop de paramètres imprévisibles… Et ça, de la part d'une élite du village, de ceux responsables de sa reconstruction, ça ne devrait pas être tolérable.
Elle ferma ses yeux un instant pour chercher ses mots, puis renonça.
- J'ai en tête tellement d'exemples de situations qui aurait pu donner le même effet avec moins de problèmes que je ne sais pas par laquelle commencer… Mais il y a un point ironique à savoir. Comme Kyo, malgré ce que j'ai fait, j'aimerais voir la paix entre les grands villages, j'aimerais voir le monde shinobi rentrer dans un système différent. Mais à voir vos actes, on dirait que vous ne souhaitez pas la même chose. Un accord de paix avec Kiri aurait pu être possible si entamé dans les bonnes conditions, avec des discussions, des diplomates… Mais en exhibant cette intruse parmi nous, en la laissant nous insulter si ouvertement, en ravivant nos plaies, vous avez repoussé cette possibilité. Je ne pense pas être la seule dans cette salle à s'être sentie humiliée par cette situation, et qui y repensera à la moindre évocation de Kiri, ravivant une rage qui ne devrait plus avoir lieu d'être… Leur attaque n'a que quelques années, tout le monde n'a pas entièrement fait son deuil, surtout les membres de notre génération qui ont subi cet événement en pleine adolescence, en pleine période charnière. Et pourtant, progressivement, un rapprochement aurait pu être possible. S'il avait été bien fait et bien pensé…
Parcourant le conseil, les Anbu, les ninjas du regard, elle s'autorisa une pause d'une respiration, avant de reprendre :
- Je suis désolée d'avoir agi avec si peu de discipline, mais quand la discipline demande de laisser fuir un espion, ou quant au contraire, les dirigeants ont besoin d'une entorse à la discipline, alors il y a un véritable problème hiérarchique. Je n'avais pas cet avis au début de l'assemblée, mais maintenant je le rejoins : il nous faut un nouvel Hokage, maintenant. Pas un solitaire, pas un militariste borné, pas un idéaliste qui ne voit pas la réalité, pas un fantôme… Il nous faut un Hokage qui sait ce qu'il fait et ce qu'il veut, et qui sait s'entourer des bonnes personnes, qu'elles soient là pour le soutenir ou le remettre à sa place.
Elle lâcha un ultime soupir et entreprit de se rasseoir, concluant son monologue d'un simple :
- Et surtout, il faut que nous reportions cette assemblée. Entre l'absence de sécurité et ce qui vient de se passer, plus grand-chose de constructif ne risque d'en sortir…
Ooburi Rang B
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Sujet: Re: La Course à l'échalote [RP OUVERT] Ven 12 Oct - 21:22
Une misérable fourmis qui touchait en plein cœur, pour voir le monde il fallait ouvrir ses yeux c'était une étape des plus importante, le clan d'Ooburi un mystère pour les anciens membres de la racine à s' être retrouvés en mission auprès du Daymio. Une exile à peine maquillé qui avait pendant longtemps fait naître dans ce petit chef un complexe d'infériorité qu'il exprimait par une violence qu'il avait dissimulé tout au long de l'assemblé. L'envie de faire couler le sang n'était pas des moindres, mais l'escalade de violence donnée par les membres de Konoha n'avait pas besoin qu'on y ajoute une énième pierre qui sans doute pèserait son poids dans la futur prise de décision.
Qui étaient-ils ? Une origine inconnu qui faisait naître une noirceur dans ses yeux, mais une fierté dans son cœur, il allait officialisé par la même occasion le retour à la lumière de ceux qui avaient toujours vécu dans l'ombre selon leur nindo, selon leur coutume, selon leur allégeance aux principes qui régissaient la vie d'un ninja. Il la regardait dans les yeux, elle était un étrange personnage qui le fascinait, peu importe la raison, et allait prononcer ces mots, juste avant de se raviser reprennant alors conscience lorsque les mots du débris qui servait de conseiller vinrent à raisonner en sa tête comme un gong qui le sauvait du K.O et par la même occasion du chaos... Il fallait rétorquer et faire d'une pierre deux coups, le temps avait était si gaspillé jusque là... De un avoir l'aval du Sarutobi et faire régner le calme et de deux moucher cette petite... Qui l'avait bien importuné.
« Le nom de mon clan ?! Êtes vous simplement Konohajin ? Je le dirai une fois l'assemblée sécurisée. En d'autre cas Conseiller Sarutobi, je vous demandesi tel et le cas. Et pour vous si vous n'avez pas autre chose à faire que de brasser du vent... Troquez ces bandeaux que vous insultez en témoignant votre manque d'attachement à un village ninja mais surtout au respect du shinobi, contre quelques guenilles et allez donc trouvez un moulin qui accepterait bien vos capacités si fastidieuses... »
Les anbus qui avaient fait un piège de niveau pittoresque a première vue, finir par emporter la jeune suicidaire en manque d'estime en dehors de l'enceinte. Quand au clone il avait disparu suite à l'attaque de celui qui n'était pas vraiment une menace mais qui n'était pas vraiment inutile. Des yeux d'Ooburi, il était quasiment inexistant, pas de charisme, pas de réel discernement, une décision prise par instinct et surtout un manque criard de contrôle, comme pour toutes ces jeunes pousses en mal de ''shinobisme''. Leurs capacités pour certains laissaient présagé un grand potentiel, mais aussi un avenir radieux pour Konoha car même si la pierre était fissuré, il ne fallait pas tout jeter dans ce qui s'était déroulé bien au contraire, chacun ici avait son utilité pour renforcer, sécuriser et pérenniser le village. Et le soldat de plomb avait bien en tête de ce servir de cet argument. Le jeune homme à la chevelure blanche, qui avait une âme de héro de Kabuki intervenait et était suivit par la pâlichonne, mais terrifiante jeune fille... Leurs interventions se rejoignaient sur un point détestable mais qui confirmait ce qu'Ooburi avait précédemment dit à son ancien acolyte de parlotte. Il était grand temps pour lui de reprendre parole et de finir ce qu'il avait commencer.
« La paix (consterné) tout le monde la désir, tout le monde la chérie, tout le monde souhaite la vivre et moi aussi je l'envie et l'espère. C'est pour cela que dans mon plan d’extension de Konoha et du Pays du feu, je souhaite agir par des protocoles de protectorat envers les pays plus faibles que le notre, ils garderaient leurs coutumes et leurs chefs mais deviendrait un territoire de Hi-no-Kuni. C'est largement faisable car cela apporterait pour notre Daymio richesse, matière première, et assurerait le continue de ses privilèges. Quant à nous autre ninja nous auront des hommes en plus au cas où la menace seraient des plus vives. Pour ces pays que je mentionne et qui nous sont pour la plupart frontalier nous apportons protection et moyens de dissuasion envers ceux qui souhaiteraient les attaquer. »
Dit comme ça ça paraissait des plus simples, mais il savait pertinemment que beaucoup de village allaient être contre le fait de se soumettre, pour cela il avait choisis le mots protectorat, c'était une soumission déguisée en alliance, l'importance des termes ici était importante car l'avenir du monde shinobi se jouerait certainement demain dans un laps de temps réduit.
« Pour revenir à la paix il faut que vous compreniez une chose ! Vos idéaux sont nobles et beaux, ils méritent que je vous témoigne mon respect le plus sincère. Mais à l’opposé du désir se dresse la réalité ! Et avec l'apparition de Bijuu, et la nouvelle ère qui s'ouvre ici, nul doute que les autres villages ninja vont vouloir prendre part à cette quête de puissance qui dans l'ombre se dessine. La preuve en est, aujourd'hui une kirijin, un déserteur et une autre inconnu avec plusieurs affiliations sont présent alors que nous discutions de comment redresser Konoha. Le remettre sur pied ne sera pas chose aisé ! Quand je vois que ce qui ressort le plus ici, c'est la naïveté et le manque de maîtrise de soi dont font preuve nos shinobis. L'absence de leader urge et tombe à un mauvais moment hélas... »
Il regarde bien toutes les personnes présente dans l’amphithéâtre et fait mentalement la liste des clans présent ici, ceux qui ont fait par le passé, la renommé du village de la feuille sont bien ici. Et c'est en gagnant leur aval qu'Ooburi accédera à ce qu'il ambitionne.
« Pour la défense de Konoha, nous allons avoir besoin de compter sur chaque clan du village, c'est pour ça que je demande également le report de la réunion avec les six intervenants les plus pertinents et chaque chef de clan, dans le but de former un conseil clanique qui décidera avec vous et nous messieurs les conseillers de l'avenir de Konoha, nous pourrions alors envisager de parler restructuration dans des termes plus techniques et profonds. C'est nécessaire si nous voulons trouvez une solution à l'équation. »
Sans vouloir en rajouter il ne pensait qu'une seule chose, ici dans ce qui est normalement l'académie ninja, Ooburi se présentait comme la seule solution crédible au dilemme. Les autres étaient soit inexpérimenté, ou tout au plus incompétent pour remplir un rôle qui demandait bien plus que deux trois poignées de mains et un sourire.
Chiaki Hebikaze Rang A
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Sujet: Re: La Course à l'échalote [RP OUVERT] Ven 12 Oct - 23:39
Il me regardait, comme si j’avais fait une erreur ou que j’étais impardonnable avant de me provoquer vainement. Konoha-jin… Mes queues se balançaient de plus belle et je lui souriais. -Cela dépend de ce que vous entendez par Konoha-jin cher Ooburi-san. J’ai été adoptée par Konoha Juste après un cataclysme qui la ravageait, je n’avais pas de place dans ce monde, et parmi tout les Konoha-jin, seul un ma recueilli. Paix à son âme, il s’est révélé traître et ma première mission à été de l’anéantir puisque j’étais la plus proche de lui. C’est comme cela que j’ai obtenu ceci, et mon nom, Hebikaze Chiaki.
Je détachais mon bandeau de Konoha et le tendais devant lui pour qu’il l’observe et atteste de son authenticité avant de le poser sur la table. -Je ne suis pas une paysanne dans un moulin, je suis une Genin pour vous. Une Genin qui à sauvé la vie de deux de vos camarades, je suis toujours triste de savoir que la cheville de votre fille, clan Nara, ne sera jamais de nouveau comme elle était. Lors de la même mission, j’ai aidé Suzaku Tamasaburo-san à se sortir de l’enfer de la mission dans laquelle nous étions tout en complétant notre objectifs. Je sais que mon palmarès envie légèrement votre ancienne position en tant que garde du Daimyo cher Ooburi-san, néanmoins je ne suis que Genin. Que genin, une Sennin pour d’autres..
Je détachais mon bandeau ou l’inscription “farce” figurait et le tendais devant moi avant de le poser et de passer une main sur le bandeau de Suna pour le retourner. Je saisissais ensuite un pinceau et commençait à tracer quelque chose sur du papier en continuant mon monologue. -Et je suis également ANBU à Suna, deux choses qui m’ont malheureusement enjoint à avoir un contretemps et une mise à l’écart de Konoha pendant quelques années. Le bandeau d’Iwa est un reliquat. Mon clan d’adoption, celui des créatures sages auquel j’ai prêté serment m’enjoins à observer, tâche à laquelle je m’emploie et qui est l’un des piliers de la puissance d’un village et a fortiori, des Shinobi. Quelques membres de l’assemblée ont parlé de manque d’information ici, ce dont je suis conscient, d’ailleurs c’était également le principe premier de ma disciple, certains ici reconnaîtront sans doute son nom, et j’espère qu’il restera dans les mémoires… Uchiha Tenjo, paix à son âme. Il se trouve que lors de mon déplacement à Suna, j’ai pu infiltrer leur rangs, évidemment cela fait en partie de moi une Suna-jin me dira-t-on, mais c’est le principe même de l’espionnage. Pourquoi Suna? Les alliés sont les plus à même de trahir, Iwa était déjà détruite et Kiri… Kiri était ma prochaine cible, mais j’ai entendu l’appel du devoir en même temps que j’apprenais cela.
Je fermais le rouleau dans lequel j’écrivais et le lançais à un des collègues du chef de l’assemblée. -Il s’agit de la constitution de Suna, j’ai bien entendu d’autres informations et d’autres intelligences à transmettre, je ferais un rapport dès que possible, mais le sujet n’est pas vraiment là. J’ai donc rejoint les troupes de Suna momentanément pour m’assurer qu’elles arriveraient à bon port, en particulier l’arme secrète qu’ils avaient développé. Un poison létal pour Kami. Ce poison a été contré par le faux dieu pendant que je faisais diversion et que la cheffe de la sécurité de Suna tentais de lui injecter. Mais avec l’aide notamment de Senju Kyo-san et d’une autre Kunoichi du village, nous avons tenu tête au tyran jusqu’à qu’il cède à l’appel de son démon.
Je faisais un geste de la main, comme pour évacuer la brume d’un souvenir. -Murasaki Namikase-sama était à bout de souffle, mal en point et pratiquement aux portes de la mort pour tout vous dire. Cela n’excuse pas son absence ici, néanmoins elle n’est pas partie seule, et il n’est pas impossible qu’elle ait été exécutée ou soit morte de fatigue après son dernier jutsu. Je n’aurait pas donné cher de sa peau contre des bandits après son transport, mais ce ne sont la que des spéculations, l’enquête qui suivra l'élection nous en dira bien plus et certaines personnes ont l’air d’avoir d’autres informations importantes la concernant.
je faisais un clin d’œil à Hitobito Hogosha-senpai avant de reprendre. -J’en viens à un point que je souhaite vous soumettre, une idée, deux en vérité, qui augmenteront sans doute les chances de survie du prochain village. L’information nous fait cruellement défaut, et si nous attribuons des Shinobi entraînés pour l’assassinat à ce genre de tâche, c’est de la puissance de combat que nous ne pouvons pas engager sur un autre front. Je propose pour cela d’organiser une branche d’intelligence dans notre village, afin de focaliser les personnes aux aptitudes particulières pour ce domaine à concentrer leurs talents sur la recherche et la diffusion d’information au delà de ce que nos anciennes unités permettaient. De manière tout aussi logique, je ne comprends pas vraiment l’emplois de personnel d’assassinat pour la surveillance de nos intérêts. Nous avions une police militaire et fonctionnelle fût un temps, celle-ci a malheureusement périclité avec les années et nos défenses s’en sont probablement retrouvée entravées, entre autres, par ce biais.
Je récupérais mes bandeaux pour les ceindre à nouveau à ma taille en me levant, les laissant pendre les uns au dessus des autres, Sennin, Konoha, Suna, Iwa… Un sourire malicieux s’affichait sur mon visage pendant que l’extrémité des doigts de chaque mains se rencontraient vers mon nombril. -On en vient aux choses qui fâchent. Kiri, vous le savez, a été un envahisseur récurrent, aux saillies grossières et pourtant couronnées de succès. Cela vient entre autre de notre orgueil… Il est difficile de concevoir qu’une citée, puisque notre village ne peut être modérément appelé comme cela, puisse être caché. Notre dissimulation n’était effectivement pas totale, nous affichions les figures de nos Kage, et malheureusement, une façade de pierres singulières est visible, mais aussi l’un des points les moins défendables. La ville n’a cessé d’être rebâtie à même l’endroit ou elle tombait. Cela montrait notre détermination à ne pas laisser tomber, à affronter les défis que le monde nous imposait. Et plus nous étions défait, et plus nous creusions, Konoha n’était à sa dernière itération qu’une grande ville dépassant d’un cratère. Peut être est-il temps pour nous de cesser de creuser notre tombe chronique pour bâtir la maison de nos enfants à l'abris des oiseaux de proie, ou peut être pas, je n’ai pas la réponse mais peut être qu’un guide éclairé l’aura.
Je pointais un bras vers Ooburi et baissais légèrement la tête avec déférence envers le village entier devant moi. -Comme le soulignait Ooburi-san avec pertinence, il se peut qu’à vos yeux je ne soit pas suffisamment Konoha-jin, j’ai effectivement passé du temps hors du village et sans mission officielle aucune. Sachez toutefois que je ne souhaite qu’une chose, l’age d’or que souhaitais Jiraya-sama et son disciple Naruto. Un âge d’or dont la légende nous fait à tous, miroiter un Konoha paisible où nous n’avons pas à ramper pour notre survie, à prier pour notre futur et prier davantage pour notre héritage. Sur ces mots, je souhaite du courage à toutes les personnes souhaitant se présenter pour incarner l’étincelle d’espoir que tous attendent ici, une personne qu’ils pourront suivre et qu’il les aidera quand ils fléchiront tout comme ils l’aideront quand il fléchira. Je vais maintenant revenir à mes observations, je suis désolée que mon “humour” concernant le nombre de bandeaux que je possède ne vous ait pas fait rire, cher Ooburi-san, peut être devrons nous remettre ce moment d’allégresse à un autre jour, l’action me semblait trop prenante et trop envahissante pour discourir, surtout aux oreilles indiscrètes d’une ennemie soupçonnée et votre attention pour faire retomber la pesanteur qui s'aplatissait avec de l'humour m'avait paru si maligne et fort bien pensée.
Constitution de Suna:
Préambule : pouvoir
Article 1er : Suna est la capitale du pays.
Article 2nd : le Kazekage dirige le pays, il est élu au suffrage universel direct, s’il vient à disparaître, son second effectue la régence et doit impérativement organiser de nouvelles élections.
Article 3ème : le Kazekage seul à le pouvoir constitutionnel, un régent n’a nullement le droit de modifier d’une façon quelconque le moindre article.
Article 4ème : le chef de l’état établit de lui-même son gouvernement, et doit forcément nommer une personne en prévention de décès, de disparition, de maladie ou tout autre fait pouvant compromettre la direction du pays.
Article 5ème : la presse est libre, cependant, la diffamation est condamnée, et toute tentative de coup d’état est passible de peine de mort immédiate et sans jugement.
Chapitre Premier : liberté, droit et devoir
Article 1er : chaque citoyen du pays du vent naît libre et égal en droits, devoirs et libertés.
Article 2nd : chacun est jugé de manière équitable, soit en les conditions prévues par la loi, soit en un tribunal composé de ressortissants du pays du vent et de deux juges. Chaque juge représente un quart des voies décisionnelles, le peuple la moitié. Le nombre de commis dépendent de la gravité de l’acte commis. Enfin, le Kazekage ou les membres de son conseil peuvent juger seuls.
Article 3ème : les ressortissants de l’état ont la possibilité d’aller et venir à l’étranger selon les règles applicables en les autres pays pour peu de demander une autorisation.
Article 4ème : chaque individu du pays du vent peut être réquisitionné en cas de besoin. Tout refus est considéré comme une trahison et volonté de nuir à l’état et sera jugé en tant que tel. De plus, les nationaux à l’étranger peuvent aussi être rappelés.
Article 5ème : chaque citoyen se doit d’effectuer un service militaire de façon à servir au développement du pays et savoir se défendre en cas d’invasion.
Chapitre Second : nationalité, circulation
Article 1er : naître au pays du vent ou servir le pays permet d’obtenir la nationalité, chaque individu doit en permanence avoir un passe droit en règles constitué de documents d’identité, ainsi que d’un sceau reconnaissable par tous ninjas sensoriels du pays du vent. Les sceaux sont à faire renouveler tous les cinq ans.
Article 2nd : toutes personnes en voyage pour le pays du vent doit tout d’abord en faire la requête, qui sera étudiée. Les voyageurs subiront tous une audience quand à leurs motivations, en fonction de quoi ils recevront un sceau temporaire qui leur sera retiré à la sortie du pays. Trois catégories existent pour les étrangers, chacune reconnaissables aisément.
• L’une réservée aux marchands, qui peuvent aller et venir librement dans Suna, ceux-ci sont ceux qui subissent les investigations les plus poussées. • L’autre réservée aux représentants diplomatiques, qui peuvent aller où bon leur semble dans le pays du vent à l'exception du village de Suna où ils seront obligatoirement accompagnés. • La dernière est réservée aux voyageurs, vacanciers, réfugiés politiques et autres. Il leur est formellement interdit de pénétrer dans Suna, à moins d’aller directement les chercher, et leur itinéraire doit être précisé dans leur demande de séjour. Ils n’ont nullement le droit de s’en écarter.
[Note de doctrine : Face au danger, il semble que la Kazekage ait la volonté de contrôler les gens avec plus d’aisance de façon à faire du pays du Vent un lieu plus sûr. Pour autant, ce système semble aussi permettre des traversées moins accrocheuses]
Article 3ème : toute personne ne portant pas de sceau est considérée comme une menace et doit immédiatement être mise hors d’état de nuire et être longuement interrogé. Suite aux motivations de la personne, il en revient au pouvoir central, le Kazekage ou l’un de ses conseillers de décider, en fonction de l’identité de la personne de ce dont il est bon d’en faire.
Article 4ème : toute personne en présentant un intérêt légitime peut demander la nationalité. Les cas sont étudiés individuellement par le Kazekage et ses conseillers.
Article 5ème : si la peine de mort ou l’emprisonnement à vie n’est pas prononcé pour une personne ou que celle-ci tente de s’échapper de prison ou autre, elle perd automatiquement sa nationalité et sera incessamment traquée dans tout le pays.
Chapitre troisième : Sanction, pénalité
Article 1er : les violences envers autrui sont punies d’emprisonnement.
Le meurtre, l’attentat ou le trouble important à la vie publique délibéré est jugé individuellement par le Kazekage ou son conseiller le plus proche, seulement et uniquement.
Tout meurtre, attentat ou trouble à la vie publique commis en ne portant pas la nationalité ou un droit de présence dans le lieu-dit est passible de peine de mort par n’importe quel représentant de l’état présent sur les lieux. Cependant, revient à celui-ci de prouver que la personne n’avait pas de marque.
Article 2nd : en cas de manquement à une convocation, national ou étranger présent légalement sur le sol du pays est susceptible d’être pourchassé, immobilisé, ramené à la capitale et jugé.
Article 3ème : tout individu envers lequel est émis une plainte est présumé coupable si elle est émise d’un membre du gouvernement ou d’un juge. Aucune présomption si elle est émise du peuple, présomption d’innocence si elle est émise d’un étranger : il reviendra à celui-ci d’apporter la preuve de ce qu’il avance.
Article 4ème : tous les moyens de preuves sont bons, tant que celles-ci sont recevables.
Article 5ème : pour des raisons de sécurité, tous les colis, caravanes de marchandises, lettres, messages et autres sont susceptibles d’être intercepté et analysé pour surveiller ce qui entre et sort du pays.
Chapitre quatrième : d’ordre public
Article 1er : chaque individu à droit à la sécurité de son emploi, de sa vie et celle de sa famille, de sa santé et de son patrimoine. Un impôt de sécurité existe de façon à récolter des fonds pour l’intérêt de tous à l’échelle de leurs moyens.
Article 2nd : l’âge adulte est définis à 15 ans. Aucun acte de mariage, de permis de construire, de sortie du pays… avant. Le mariage n’a pas de condition d’âge ultérieure, est célébré entre deux personnes quelles qu’elles sont, permettent d’obtenir la nationalité seulement et uniquement si le mariage témoigne d’une volonté matrimoniale réelle et sérieuse.
Article 3ème : la liberté, la vie privée et la dignité doivent être préservées, de fait, les journalistes engagent leur responsabilité individuelle et celle de leur entreprise dans leurs communiqués.
Article 4ème : les bibliothèques sont ouvertes à tous moyennant une contribution à prix libre, cependant, le nombre d’ouvrage pouvant être empruntés dépend de la somme cotisée, sans quoi la consultation seule de la culture est totalement gratuite.
Article 5ème : les orphelins sont pupilles de la nation, les veufs et veuves doivent être protégées par l’état, financièrement.
Chapitre cinquième : d’ordre militaire
Article 1er : le chef des armées prends le nom de Kazeshoku, il à responsabilité de la gestion des missions dans le pays, de l’organisation stratégique militaire sur le plan national. Pour toute intervention à l’étranger cependant, il doit consulter le Kazekage, à défaut, lui est interdit d’agir sauf cas de force majeur. Le Kazeshoku remplace le Kazekage durant ses déplacements.
Article 2nd : est établit une police de proximité, sillonnant le pays de façon à être au contact de la population. Ceux-ci agissent, durant leur fonction, au nom de l’état.
Article 3ème : les militaires voient leur famille garantie d’une protection supplémentaire durant leurs actions à l’étranger et sont les seuls à pouvoir demander une autorisation exceptionnelle pour emmener des mineurs à l’étranger.
Article 4ème : le Kazekage possède un statut militaire, même si la séparation des pouvoirs l’entraîne à moins s’occuper des affaires de l’armée à partir du moment où le Kazeshoku est nommé, de façon à pouvoir se focaliser sur l’économie et la politique.
Article 5ème : le sceau des militaires doit obligatoirement être visible, celui-ci sert de matricule, et possède un type de gravure particulier et particulièrement difficilement imitable. Il est effacé et remplacé au changement de grade ou au départ en retraite. Ceux-ci doivent être sur une partie du corps non couverte de façon à pouvoir identifier immédiatement qui est un militaire, et qui se fait passer pour un militaire.
Shihone Senju Rang C
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Sujet: Re: La Course à l'échalote [RP OUVERT] Sam 13 Oct - 22:42
Le pouvoir aux fondateurs !
Un gros bordel, voilà, c'est peu de le dire, il fallait avouer que les ANBU avait rien fait pour arranger la chose, enfin, tu as conscience qu'ils n'ont jamais réellement fait dans la dentelle. Alors, bien gentiment, tu avais proposée au chef de la section interrogatoire de faire prisonnière cette jeune kunoichi de la brume, chose qui, à ta grande surprise, avait été fait une fois la demoiselle endormie. Autant dire que le calme revint vite.
Sora Uchiha, désormais recherché par une escouade d'ANBU dans le village, Chisame de Kiri, maîtrisée, le disciple du culte, exécuté publiquement. Le calme revint en effet, bien rapidement. Cependant, que dire ... chacun exposait son avis sans écouter celui des autres, répondant à la provocation, par la provocation, ce qui ne faisait, finalement, pas avancer le débat actuel, débat qui, en ce moment même, n'avait plus aucun sens. Cependant, les points discutables étaient bien mis en avant : la sécurité, l'économie, la direction et l'expansion. Soupirant donc, entendant parler du report de l'Assemblée, chose plutôt raisonnable mais ... assez risqué au vue de l'ambition du Colonel Moutarde, qui avait l'air assez décidé à rendre Konoha bien plus forte tout en semblant, prêt à mettre de côté le bien-être des villageois. Descendant donc calmement les marches, pour ne pas se vautrer comme une sous-merde, afin de retourner à sa place, tout en restant debout. Attendant un certains calme dans la salle, avant de finalement te permettre.
Je me permets de reprendre la parole pour souligner quelques choses.
Prenant un temps de pause, tu respirais doucement, tu semblais désormais déterminée, ton but ? Remettre finalement le village entre les mains du clan fondateur, et tu ne pensais pas aux Uchiha, loin de là. Il était temps de rejoindre le bon chemin après tant de catastrophes. Tu serais sans doute mise à mal, c'est si prévisible, après tout, tu es en béquille, ne l'oublie pas.
Ooburi-san, vous avez donc de grands projets. C'est une chose. Cependant, cela sous entends, et ne le niez pas, que vous désirez être le prochain Hokage. Comment pouvez-vous l'espérer ? Vous parler de ce village, mais, qui vous connait ? Qui connaissez vous ? Vous avez certes la preuve que vous êtes bien un ninja de Konoha, mais, vous êtes, pour nous tous, hormis apparemment pour Sarutobi-san, un inconnu, arrivant ici dans un moment de crise, dans le but de prendre un pouvoir, qui, visiblement, ne vous revient pas.
Le regardant désormais d'un air plus dur, plus droit, la petite Shihone était morte, finie, partie. Voilà alors la nouvelle, elle avait les yeux grands ouverts, et ce militariste, avait certes, de bons propos, mais ...
En résumé, vous vous contentez de brosser le chien, dans le sens du poil. Vous nous parlez de nos principes, vous paraissait honorable mais ... vous êtes le seul ici, à être venu accompagné de deux de vos hommes et ... je doute que ce soit pour discuter autour d'un saké.
Désignant dans la foulée les deux hommes qui avaient accompagnés le colonel Moutarde, tu ne semblais pas confiante en ceux-ci, soufflant donc un grand air, il allait bien falloir te lancer dans ta candidature et ... pas une fois que ce dictateur Hitlérien, sera passé au pouvoir. Te tournant alors vers les shinobis présents.
Konoha, ce village à souffert, les moyens sont justifiés, cependant, cela est bien extrémiste. Risquer la vie de nos genins. Mettre au pouvoir un inconnu, chose que nous avons déjà faite dans le passé, avec Atsui Shisei. Juste après l'attaque de Kiri, cet homme est passé au pouvoir. Où est-il maintenant ?
C'est bien ce que tu pensais. Le silence fit place. Le Kyûdaime avait disparu depuis bien longtemps, après une mission. Tu l'avais pensée mort, mais ... le corps ne fut jamais retrouvé, alors que penser ... enfin bon, au final, l'effet fut celui que tu désirais.
Au jour d'aujourd'hui, je souhaite faire de Konoha, un village plus fort qu'il ne l'était dans le passé. Un village plus riche. Je compte mettre un point d'honneur pour raviver la volonté du feu transmise par mon aieul, Hashirama-sama. Pour cela, je ne le nie pas, chaque villageois est important, chacun d'eux fait de Konoha ce qu'il est. Un roi ne peut être roi sans royaume, tout comme un Hokage ne peut l'être sans les habitants !
Tu avais dit ces derniers mots sur un ton fort, bien droite, peu importe que tu sois sur béquille, tu comptais offrir de toi une image digne, une image honorable mais dans la faiblesse, dont ils allaient sans aucun doute se servir. Le tout désormais, était de savoir répondre, en espérant avoir eu un minimum de soutien. Les conseillers te connaissaient après tout. Dans le passé, tu avais déjà été l'une des trois en lice pour le poste, un argument de taille finalement !
Résumé:
- Shihone tente d'ouvrir les yeux de chacun sur Ooburi en l'annonçant inconnu, extrémiste et opportuniste sur le pouvoir qu'il tente de conquérir en période de crise. - Suite à ça, elle fait un discours poignant et devient candidate pour le poste.
Ooburi Rang B
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Sujet: Re: La Course à l'échalote [RP OUVERT] Dim 14 Oct - 0:31
Il l'avait roulé dans la boue et était certain qu'elle aurait toute les peines du monde à se relever, ici devant tant de monde, et face au poids de ses responsabilités. Mais la petite qu'il qualifiait de sotte se montrait bientôt téméraire et à son avantage dans une tentative aux faux semblants de dernier espoir. Car son attitude et le ton de sa voix démontrait la nette impression qu'elle maîtrisait réellement son action. Et il restait pour dire vraie, sur le cul en regardant une demoiselle qui était finalement, le parfait exemple vivant de l'éducation féroce que son père lui avait donné. Ses yeux se plissaient alors qu'il la regardait enchaîner les preuves techniques et les sujets pertinents. Un effort de parole qui se transformait vite à ses yeux en ballet gracieux. Et ça elle le devait fort bien à ce caractère et ses étranges queues qu'elle balançait l'air de rien, comme pour dire qu'elle avait réussie à berner l'ensemble du Yuukan.
Il secouait la tête de gauche à droite en clignant des yeux afin de remettre son esprit si imperturbable dans le bon sens. Mais à chaque regard qu'il portait à celle qui avait le nom de Hebikaze, il semblait capturer par chacun des mouvements de ses lèvres, il imaginait rapidement être pris dans une illusion mais opter pour un mudras de ruptures ici, révélerait au tas de brique à braque qu'était Konoha, une paranoïa qui le frappait depuis bien longtemps maintenant. Elle tenait en ses mains une réplique de la constitution de Suna. Il voulait y cracher dessus car un village ninja n'avait pas besoin d'un corpus de loi, ce n'était pas un pays, ce n'était pas une citée. Mais bel et bien un endroit où devait régner l’adage militaire. Ce document pouvait être un faux, mais suspecter ça ici et maintenant pourrait conduire à remettre en question sa propre présence en ce lieu si chaotique. Alors il choisissait encore une fois de passer cela sous silence quitte à perdre la face. Ooburi levait son bras la main tendu, la pomme vers le plafond en direction de Chiaki pour et pris la parole calmement.
« Vous voyez camarades ! En dépit de vos actions irréfléchies et votre manque de clairvoyance il y a de l'espoir. Car vous avez devant vous la seule est unique Ninja de Konohagakure, j'ai bien peur que face à nous cette personne dénommée Chiaki Hebikaze remplisse toute les conditions préalables à la vie de shinobi. Quant à vous, jeune kunoïchi je vous dois mes plus plates excuses pour mon manque de tact. Je suis Ooburi du clan Gunjikimitsu. »
C'était rare pour que cela arrive, mais il fallait dire qu'après avoir fait mouche une première fois, cette fois-ci la jeune intrépide avait réussis à faire coup double en visant directement le cœur du militaire qui pour la première fois depuis presque vingts trois ans venait à présenter des excuses à quelqu'un. Elle était dangereuse pour lui, car elle représentait tout ce pourquoi il vivait. Le respect du code shinobi, de la fonction de ce dernier était devenu depuis Ema sa seule motivation afin de ne pas sombrer. Mais elle réveillerait à la fois de vieux démons, trop de démons en Oobrui qui savait que cette dernière pouvait le maître dans une position désobligeante. Il voulait s'en éloigner et essayait alors de se concentrer sur l’amphithéâtre dans sa globalité histoire de pouvoir rebondir sur un sujet qui ne soulèverait pas en lui des doutes et des remords bien enfouis. Cependant il ne pouvait s'empêcher de vouloir enchaîner sur le sujet qu'elle venait de soulever. Peut-être poussé par une soudaine attirance pour une personne visiblement bien trop jeune pour lui, mais dont l'action venait de lui faire gagner tout le respect que le petit chef pouvait avoir pour ceux qu'il considérait égales à lui même.
« Elle n'a pas tord, Murasaki-dono devait avoir ses raisons. Et nul doute que nous en saurions plus d'ici les jours qui viennent, si elle est en vie. Je rejoins une nouvelle fois son point de vue. »
Une pause et le retour de cet attitude de commandant, qui parfois pouvait exaspérer ceux qui l'écoutaient.
« J'avais demandé à ce que la réunion soit reportée, mais j'ai bien peur de devoir vous exprimmer ici mon ressentit, ma vision des choses... Dans le but de mettre en lumière les parts d'ombres qui peuvent encore faire douter le bon nombre d'entre vous. Hebikaze Chiaki et moi somme partageons visiblement le même constat, les troupes de Konoha étaient mal réparties et mal formées ! La spécialisation de shinobi ne doit pas seulement servir à un titre décoratif qu'on écrira tous dans nos mémoire. En mettant n'importe qui à n'importe quel place le village se fera encore une fois détruire et sans vouloir insulter personne ici. Je n'ai pas vraiment envie que cela deviennent une coutume et qu'on érige un jour funeste en fête de la reconstruction (d'un cynisme...) ! Réinstaurer une police militaire à Konoha serait une bonne chose et de ce que j'ai pu voir beaucoup ici ont les qualités requises pour en faire partie (en regardant le prétendu Sengo Kudaï). »
Pour surenchérir sur les propos de Chiaki avant d'attaquer tel un fauve lâché de sa cage la femme qui tenait à peine sur ses jambes et, qui avait pour dire la vérité flanquée un uppercut dans l’abdomen du moustachu.
« Cela rejoint ce que je dis depuis tout à l'heure messieurs dames. Le temps de la paix et pour le moment révolu, rangez vos mouchoirs blancs et vos espoirs utopiques. Le Yuukan va se retrouver dans une situation proche de la rupture avec des combats et une quêtes de pouvoir, si vous voulez vous faire rouler dessus par n'importe quel village de ce monde et perdre le peu qu'il vous restes faites le choix de inconscience. En revanche si vous ne voulez plus subir... Devenez les ninjas dont Konoha à aujourd'hui besoin. »
Il se retournait vers le canard boiteux, il voulait lui arracher la jugulaire à pleine dent et l'intensité de son regard n'en disait pas moins, prenant une grande bouffée d'air la pointant du doigts sans relâches à chaque fois qu'il rétorquait à ses prétentions qu'il jugeait misérables. Ooburi voulait montrer qui ici était digne de s'élever et qui n'avait d'autre choix que de rester assis à attendre que ça passe.
« Pourtant vous semblez boire mes paroles comme un veaux se tenant sous le pie. En effet, vu la situation urgente dans laquelle nous sommes, un homme d'expérience qui peu faire preuve de sang froid, qui peu analyser une situation et en tirer les conclusions adéquates sans se laisser emporter par ses sentiments est à mon humble avis nécessaire. C'est pour ça que je veux être Hokage. Car malheureusement à part des jeunes pousses sans expériences qui finiront sans aucun doute comme notre regrettée Hyuga Hanako Hokage la plus jeune connue à ce jour. Ces deux hommes sont ici pour une seul est bonne raison, si personne ne m'avait écouté et attaqué comme les deux intrus. Alors ils auraient servit à calmer la foule en essayant de s'interposer face à nous, vous pouvez constater que nous sommes désarmés depuis le début. Preuve que la violence que vous m'avanciez tant n'est que mensonge et affabulation. Et surtout preuve de ma capacité de diplomate qualité essentiel pour un leader de village à coutume militaire. Car oui même si cela vous déplaît madame la kunoïchi en convalescence, ce n'est que la réalité dans laquelle vous avez choisis de vivre. »
Il reprenait son souffle et cette fois était prêt.
« Maintenant je vous demande de me donnez l'entière exactitude de ma parole quand est-ce que j'ai dis que nos genins devaient être de la chair à canon ? Nul part, alors oui j'assume le fait qu'ils doivent être mis en avant par une prise en considération de leur rôle mais ne me donnez pas le rôle que peut-être vous vous réservez. La responsabilisations des genins passe par un rôle plus important au seing du village, mais avant tout par une réforme en profondeur de l'éducation du ninja. Nous n'allons pas leur apprendre à s’entre-tuer, ce serait se tirer un shuriken dans le pied ! Mais devons les sensibiliser aux maximums sur le devoir qui les attends une chose qui depuis presque un demi-siècle n'a pas vraiment été faite que ça soit par Hanako, Itade, Murasaki ou un autre !
L'apprentissage de la tactique militaire est une base essentielle pour maintenir un village en vie, et ici il manque cruellement de stratège. S'en vouloir offenser notre valeureux clan Nara, qui ne peux à lui seul combler notre déficit en la matière. Si nous avons toujours un coup de retard pas étonnant que l'on tienne annuellement ce genre de débat. Vous voulez être reine ?! Les bras m'en tombe ce n'est ici que la preuve de votre incompétence que vos ambitions nourrissent à coup de fable pour enfant !
Ne vous à-ton jamais dit qu'il valait mieux ne pas mettre la charrue avant les bœufs ? Revenez quand vous aurez autre chose que des arguments badigeonnés de sagesse emprunté à je ne sais qui, reposez vous et tachez de reprendre du poil de la bête ! Vous n'irez pas bien loin madame la monarque et Konoha ne peux se permettre d'être sur une jambe dans la course qui se dessinera devant lui. Il n'y a aucun monarque ici, seulement des shinobis qui n'ont en commun que leur envie de faire cesser les humiliations qui frappent leur village.»
C'était cinglant, et Ooburi en avait encore sous la semelle, il regardait du coin de l’œil Chiaki pour voir l'impression qu'elle avait de lui suite à sa prise de parole.
Spoiler:
Ooburi adresse à Chiaki ses excuses et ses preuves de respect avant de profiter des points qu'elle soumet à l'assemblée, pour argumenter en profondeur sur certains points qu'il avait avancés. Entre temps Shihone le fustige et se présente comme étant un Hokage, ses paroles enfantines sont prisent de volée par le combat d'Ooburi, qui malgré lui voit naître en Chiaki son désir ardent.
Renji Zakuro Rang C
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Sujet: Re: La Course à l'échalote [RP OUVERT] Dim 14 Oct - 8:00
Cela fessai trop longtemps que j’étais bloquer ici, j'avais d'autres choses à faire… Comme aidée, la nature a soigné notre monde. Les points de vue et les opinions ce déchaîné puis s’opposait, je sentais quelque peu l’atmosphère devenir électrique. L'apparition d'une revenante, une kirijin que je connais de nom, un homme sous henge... Du moins plusieurs, l'ambiance commence a me tendre.
Tous se passaient trop vite pour mon cerveau, tout le monde pète un câble à l'arrivé de la kirijin… De nouvelles vagues d'aggréssivité envahit le monde. Après cet épisode fâcheux passé… Je viens vider les cendres de ma pipe part la fenêtre. Et en me retournant, je vois mon gorille arrivé avec le rouleau, je souris légèrement. Une fois à porter, je prends le rouleau. Il était temps que je prenne la parole.
Je viens monter sur la table avant de claquer le rouleau contre la table pour signifié que j'allais parler. Je prends ma voix douce et enjouée comme a mon habitude.
'' Bonjour a toute et a tous, je vous pris de vouloir m'accorder cinq minutes de votre temps s'il vous plaît. ''
On dirait que ça commence bien pour un discours.. Alors que je n'en ai jamais fait.
'' mon nom est Renji Zakuro, je ne viens pas d'un grand clan et je ne suis même pas originaire de Konoha, mais j'y ai grandis et en temps que Konohajin c'est mon devoir de proposé des solutions pour avancer et crée un futur stable.
C'est bien beau, vous parler de sécurité, de créee des réseaux d'information… Mais qu'en est t'il de la nature ? Sans la mére nature, nous ne sommes rien. Pourquoi ne pas l'utiliser ? Je rejoins un point évoqué, celui d'Ooburi-san. La mal formation des ninja dois n'est sûrement pas assez poussé… Je propose la création d'une équipe spécialisé dans le senjutsu.
Oui, cela parait étrange, mais la nature est partout. C'est une puissance que l'on peut exploiter, pour préparer la paix, j'en suis convaincue. Si nous retournons à nos racines, nous pouvons accomplir de grande chose, et l'une d'être elle est très simple…. Chassez la haine de notre monde. ''
À la fin de mon long monologue, je viens activer mon mode ermite. Je gagne une dizaine de centimètres, une queue me pousse, mes cheveux s'allonge en dreadlocks, des poil me pousse part endroit, ma tête prend des aspects simiesque. Mon regard devenant légèrement dur. Et pour finir deux marques blanches viennent autour de mes yeux , signifiant ma marque d'ermite et le fait que je maîtrise le senjutsu.
'' la violence n'est pas une façon de régler les problèmes, la parole si. Mais nous en revenons au même, si nous voulons la paix, nous devons nous former pour être prêt. Une fois prêts, nous attendons et proposons des solutions pacifiques aux autres villages. ''
Je viens prendre ma respiration l'air commençais a manquer a force de parler.